Un sayen a l'hôtel

Le soleil se couchait, Pythar exténue de sa journée, il devait se calmer et se reposer un peu, il entra donc dans un hôtel de grande mesure, enfin le guerrier ne savait pas si il était luxurieux mais il est était très grand donc de bonne mesure en taille quoi. Le protecteur de Vegeta passa donc la porte garder par deux majordomes en bon uniforme, l'intérieur semblait assez pointilleux, une salle symétrique, très bien décoré de plusieurs plantes et de murs ornés, rien qui impressionnerait un guerrier comme Pythar, qui se rendit au comptoir, ou le responsable des chambres se tenait droit fixant le sayen, c'était un peu bizarre mais Pythar n'allait pas faire de gnognotes pour une nuit, même si le service client semble étrange, il s'avança donc et commanda sa chambre.

"Bonsoir, je veux une chambre, rien de plus."

Demande directe, Pythar n'avait rien de plus a dire, c'était a son interlocuteur souriant de prendre la parole.

"Bonsoir, dite monsieur, ce n'est pas vous qui avez détruits les monstres de métal qui attaquez la ville ?"

"On peut dire ça..."

Immédiatement le responsable lui tendit des clés en argent, le sayen les prit, perplexe de ne pas avoir a payer.

"Tenez c'est gratuit, c'est le moins que je puisse faire moi. Bonne nuit."

Et bien tant mieux, le protecteur de Vegeta allait pouvoir se reposer gratuitement dans une chambre, les clés étaient assignées au numéro 8, au rez de chaussé, Pythar trouva donc facilement la chambre, entra et examina les lieux. C'était une chambre de haute gamme c'est sûr, pas très grande mais avec un grand lit double, un écran plat, une baie vitrée, une cheminé, et même un chocolat sur l’oreiller, un classique.

Pythar s'écrase donc dans le lit, il avait qu'une envie, dormir, mais il se releva, il devait avant ça se laver, il mis donc son armure de coté, et prit une bonne douche, ceci fait, il fonça dormir. Au petit matin, le guerrier était en pleine forme, il se rhabilla, prêt a partir au complexe d'entrainement ! Enfin si il est ouvert, sinon Pythar devrait partir les mains vides, le sayen au épaulettes bicolores, sorti donc de l'hôtel direction le complexe sportif