Sujet: à la recherche de l'épouvante-ail Lun 5 Juin 2017 - 11:03
L'épouvante-ail, recherche, discussion et combat
Je m'étais dirigé vers le désert de Vegeta afin de capturer l'épouvante-ail, un criminel qui sévit sur la planète rouge. J'arrivai finalement dans le désert où, d'après mes informations se trouvait ce tas de paille. Arrivé à destination, je me dirigeai vers le plus grand centre d'hallucination du désert : la grande dune. À peine suis-je arrivé que je vois qu'une grosse tempête de sable se prépare, elle me fonce dessus et je l'explose grâce à une simple boule de feu. Je me rends compte que de nombreuses tempêtes de sable se dirigent vers moi et je décide de me cacher sous terre, en effet grâce à mon kaméhaméha je crée un grand trou dans lequel je saute afin d'être à l'abri des tempêtes. Après quelques heures passées dans ce trou, une tempête de sable vint tout chambouler en faisant tomber du sable sur ma tanière protectrice. J'ai l'impression d'être enfermé dans un sarcophage de sable, mais heureusement que je continuai de me protéger en montant mon ki en empêchant le sable d'approcher et finalement, après de nombreux efforts, j'arrivai finalement à retourner à la surface en fonçant vers le haut avec un ki dense au maximum.
Après être remonté à la surface, je me rendis compte qu'il ne me servait à rien de me créer un terrier, car dans tous les cas, une tempête le ferait s'écrouler et c'est pourquoi je décidai de directement aller chercher cet épouvantail, je m'approchai de la grande dune qui en plus d'être le plus grand centre d'hallucination du désert était également son plus grand centre de tempête de sable. C'était comme si les tempêtes venaient sur moi et m'empêchaient d'y aller. J'eus beau y aller les tempêtes me barrai la route. Finalement, je décidai de recourir au vol afin de passer par-dessus les embêtantes tempêtes. J'arrivai finalement devant l'entrée de la grande dune où était censé, d'après mes informations, se cacher l'épouvante-ail et immédiatement ou presque, je vis de l'eau à l'intérieur, mais je me doutai que c'était une illusion et d'une simple explosion très faible de mon ki je détruisis cette illusion pour découvrir que l'eau que je voyais était en réalité de la lave.
Après avoir passé la lave je vis qu'une tonne de pétales de rose me fonça dessus et je les esquivai tous une par une grâce à ma vitesse de déplacement, je vis ensuite que ces pétales de rose étaient en fait des seringues pleines de poisons et je pensai que j'avais bien fait de les éviter. J'avançai ensuite dans une longue ligne droite parsemée de pièges tels que des plaques piégées, des trous dans le sol, des distributeurs de flèches ou même des broyeurs, je n'avais pas l'impression d'être dans une dune, mais dans une maison des pièges à ce niveau-là, mais bon, s'il y avait tant de pièges leur boss devait être dans le coin.
Après avoir finalement passé tout les pièges de la dune se trouvant sur mon chemin, je me retrouvai malheureusement pour moi dans un cul-de-sac et des murs m'empêchèrent de faire marche arrière en tombant et faisant un son assourdissant. En plus de tout ce qui me tombait déjà dessus en même temps les murs de devant et de derrière commencèrent à s'approcher dangereusement de moi pour me broyer et après quelques longues secondes de réflexion ainsi qu'une fois les murs sur le point de me broyer, je me rendis finalement compte que je n'avais d'autre solution que de me téléporter vers l'aura la plus proche de moi et la seule que je pus repérer pour survivre à ces murs meurtriers.
Quand j'arrivai à l'endroit où se trouvait la seule personne repérable, j'inspectai les alentours pour voir où je m'étais encore fourré, déjà la personne semblait être un saiyen tout comme moi, mais elle semblait bien plus vieille que moi, de plus nous semblions être dans une sorte de prison, je m'étais surement téléporté vers quelqu'un qui avait voulu faire la mission avant moi et qui s'était fait capturer par l'épouvante-ail mais tout ça n'expliquait pas pourquoi c'était la seul personne repérable, car en effet, j'aurai dû repérer également l'épouvante-ail. Comme je ne trouvais pas de réponse à ses questions, je décidais de parler au prisonnier :
« -Bonjour, qui êtes-vous et où sommes-nous ? » Lui demandai-je
Aucune réponse... Je continuai d'essayer de l'interpeller et je me rendis soudain compte qu'il dormait en réalité. J'essayai de le réveiller, mais il semblait qu'on lui avait administré un puissant somnifère. Je me demandai comment le réveiller et j'eus soudain une idée : je l'interpellai en lui disant que j'avais de la viande pour lui, technique imparable pour les saiyen et en effet, il se réveilla.
« - De la viande ? Où ça ?» Demanda-t-il.
Il devait vraiment être affamé pour se réveiller ainsi et ça me dégoûta presque de lui dire la vérité, mais bon, ce n'est pas comme si j'avais eu le choix, c'était partir ou avouer la vérité et si je mentais trop longtemps, il s'énerverait en découvrant la vérité sur la viande.
« -Y'en à pas, mais maintenant que t'es réveillé tu peux me dire on est ? »
Je me doutai qu'on fût dans une prison de l'épouvante-ail et je n'attendais même pas de vraie réponse de la part de l'autre saiyen puisque de toute façon ma vraie question était celle que j'allais poser juste après
« -On est dans la prison où ce salaud d'épouvante-ail va torturer les prisonniers »
La seule nouvelle information là-dedans, c'était qu'il torturait ses prisonniers et je m'en fichais un peu donc je posai finalement la question dont la réponse m'intéressait vraiment :
« -Mais pourquoi je ne ressens pas le ki ? »
« -Son quoi ? En tout cas si tu ne peux pas le repérer au détecteur, c'est parce que...»
Avant même que le prisonnier n'ait le temps de répondre à ma question une flèche se planta dans son cœur et il mourut sur le coup. Je vis apparaître au loin une sorte d'épouvantail de trois mètres de haut qui peinait à avancer dans un si petit passage. Ça devait être lui celui sur l'avis de recherche là, l'épouvante-ail. Je me rendis compte qu'il m'était impossible de sentir son ki ou d'entendre ses battements de cœur, on aurait vraiment dit un cyborg, mais après tout, c'était normal qu'un tas de paille ne soit pas vivante…
« -C'est toi l'épouvante-ail ? »
« -Oui c'est bien moi, et toi qui es-tu ? Je ne me rappelle pas t'avoir emmené en prison » Dit le tas de paille d'une voix grinçante
« -Je m'apelle Nasu et je vais te capturer !!! »
J'avais décidé de me la jouer un peu justicier aujourd'hui juste pour changer un peu, il ne m'aurait plus manqué qu'une tenue et j'aurais pu faire un film au cinéma
« -Intéressant, ton taux d'adrénaline est assez élevé et mon détecteur indique que tu es puissant. »
Je venais de remarquer qu'en effet l'épouvante-ail avait sur son « œil » gauche un détecteur de saiyen qu'il avait probablement volé à l'ancien prisonnier. Je n 'avais pas beaucoup de temps, car je me rappelai que mon émission préférée se passait à seize heures !!! Je ne tardai pas à me mettre à fond en rage saiyen puis à envoyer le kaméhaméha X10 vers mon adversaire. Une fois l'attaque lancée, je me rendis compte que c'était sur une illusion que je l'avais jeté et que le vrai était juste devant moi en train de me penser incapable de faire quoi que ce soit, et bien, il allait être surpris.
Alors qu'il s'apprêtait à me planter son épée dans le cœur, il fut attaqué par-derrière, en effet, je pouvais commander mes kaméhaméha depuis mon entraînement dans la salle de gravité. Une fois la fumée due à l'attaque dissipée, je vis que mon attaque ne l'avait même pas égratigné, enfin d'apparence, c'était probablement encore une de ses illusions ayant pour but de me déstabiliser pendant le combat et je trouvai finalement le point faible de cet épouvantail : le bon sens. En effet, les illusions semblaient se désactiver quand tu découvrais que c'était des illusions.
Soudain, alors que je fonçai sur mon adversaire en étant toujours en rage saiyen je vis que c'était Cabberoge qui avait pris sa place, ce salaud pouvait prendre l'apparence des proches de ses victimes apparemment et c'était surement l'une de ses principales compétences. Encore une fois comme j'avais décelé le mensonge dans son illusion, il reprit forme normale et je pus l'enchaîner coup sur coup jusqu'à ce qu'il soit presque Ko, mais j'avais une ou deux dernières questions à poser à ce tas de paille avant de l'assommer.
« - Il était sur le point de te dire ce que j'étais mais bon maintenant que je suis à terre autant te le dire : je suis une ombre, j'étais toujours invisible derrière mon frère, lui, il était très fort, je voulais tellement lui ressembler, moi tout ce que j'avais, c'était mon intelligence et mon ingénierie. Un jour quand mon frère dormait profondément et je suis entré dans sa chambre, je l'ai tué dans son sommeil avec un coup de poignard. Je pensai que j'allai enfin être reconnu par ma famille, mais non, il ne voulait pas d'un fils faible et ils m'abandonnèrent à mon sort.
J'étais à la rue, seul, personne ne faisait attention à moi, mais un jour un scientifique est venu me prendre, il m'a dit qu'il m'offrirait tout ce que je voudrais si je le laissais utiliser mon corps pour ses expériences. J'ai accepté, quelqu'un avait enfin fait attention à moi et j'en étais si heureux. Un jour alors qu'il faisait ses expériences, je me suis réveillé et j'étais dans ce corps inutile, il avait créé un cyborg capable de créer des illusions et il en était heureux, mais il ne pensa pas à mon avis. Un jour, je lui ai injecté une dose d'anesthésiant et je l'ai emmené avec moi dans la grande dune afin de prendre la vengeance.
Pour survivre dans ce désert, je créais des hallucinations pour voler les vivres , l'eau et les habits des voyageurs. Cet homme que tu vois-là et le professeur qui m'a transformé en monstre ne font qu'un, je l'ai fait souffrir un maximum afin de prendre ma vengeance pour tout ce qu'il m'avait fait subir en me transformant en monstre ainsi. C'est toute mon histoire, tu peux me tuer maintenant. »
Son histoire était émouvante en partie, mais en même temps qu'elle idée d'accepter d'être un cobaye pour un professeur, de plus rien ne retirera les deux crimes qu'il avait faits, néanmoins, je n'allai pas le tuer et c'est ce que je voulais lui expliquer
« - Je risque pas de te tuer je suis pas un assassin non plus »
Après avoir dit ça, je me téléportai derrière lui et appuya sur un bouton avec marqué off, l'épouvante-ail ne bougeait plus et c'était écrasé. Je l'avais ramassé et je m'étais téléporté en ville puis dirigé vers la maison des missions afin de le rendre.
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à la recherche de l'épouvante-ail
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