Sujet: Re: Les soins d'un Saiyan. [PV : Raditz]
Mar 26 Sep 2017 - 11:48
Ces yeux s'ouvraient lentement alors qu’il revenait conscient. Il se réveillait, enveloppait dans ce liquide miraculeux permettant de soigner tout les blessures, même les plus graves. Il avait survécu la confrontation avec l’assassin. Comment avait-il réussi un tel prodige, il ne le savait pas. Il y avait personne dans la salle qui le surveillait, du moins, de ce qu’il pouvait en voir depuis sa capsule de régénération. Le od se mit à sonner, annonçant la sortie de la capsule. Il sortit et observa ces alentours par crainte. Qui dit que la femme meurtrière était partie, ou une personne pour lui raconter ce qui s’était passé après qu’il soit tombé dans les pommes. Mais personne était là, aucune zone d’ombre, tout était éclairé. Il était complètement confus. Il apercevait une nouvelle armure, identique à la sienne, prêt à être porté. Alors qu’il l’attrapa pour l’enfiler, il vit un bout de papier tomber de la cuirasse. Peut être les réponses à ces questions. Il le ramassa et le lu, et aussitôt, sa rétine se réduit à sa lecture. La folle lui rappela la proposition de trahir l’armée sayenne et qu’elle reviendrait pour avoir sa réponse. En attendant, elle garderait un oeil sur lui. Parfait, il ne manquait plus que cela, il avait un assassin à ses trousses lui proposant de trahir sa loyauté à son espèce ou la mort. Enfin, la proposition restait alléchante. Combattre pour revenir à l’ancien système et pouvoir conquérir de nombreuses planètes comme avant. Gagner en grade pour avoir donner service à l’ancienne couronne mais en même temps. Être reconnu comme un opportuniste qui serait prêt à trahir sa patrie pour son propre compte n’est pas une image qu’il voulait être associé avec lui et il ne pourrait plus se regarder dans un miroir pour son manque de loyauté à ces confrères. Il ne pouvait se décider maintenant laquelle de ces possibilités étaient la bonne, mais bon, il avait encore le temps pour y réfléchir. C’est pas comme si l’ancien roi allait attaquer la dyarchie à l’instant même. Maintenant, il était temps de faire son devoir de caporal. Il enfila son armure et un scouter qui trainait dans la salle et sortit du centre de régénération, s’envolant vers des choses plus simple que des questions sur où se trouvait sa loyauté, du moins, il l’espérait.