Supervision du travail

Le jour se levait sur la belle Hera, c’est après une victoire éclatante la veille que le Tyran Freezer s’éveillait dans sa chambre royale, ayant écrasé l’ange au service du Dieu du sable, prouvant une fois de plus que même un Dieu était impuissant face à lui. Cependant, il faudrait plus que l’assassina d’un être angélique pour assouvir et exploiter correctement la planète rocailleuse, le Cold le savait et avait prit en conséquence les bonnes mesures en s’assurant lui-même du développement de sa chaine d’usines. En effet, dans une zone en proche banlieue de la capitale, le Maître de l’univers avait ordonné la construction d’un vaste complexe industriel, ces dernières allaient exploiter les richesses du sol de la belle planète chaude, extrayant le maximum de richesses. Evidement, Freezer recherchait exclusivement le profit sur Hera, il se fichait complétement du reste, il avait réduit en esclavage la population, embrigadé la moitié des enfants et privé de tout bien biens les familles moyennes de ce monde. De plus, le l’empereur du mal avait aussi ordonné la construction des usines sans prendre en compte l’environnement, permettant d’utiliser des technologies de forage très efficace, mais aussi extrêmement polluantes.

C’est ainsi que de vastes constructions s’élevaient aux abords de la cité, des colonnes de métal, des transporteurs, des caisses, tout ceci manipuler par les esclaves supervisés par des troupes de la mort, des bandits recrutés contre de grandes sommes d’argent. C’est donc forcés et battus que les pauvres habitants travaillaient, mettant en place de grands bâtiments, construisant de grandes machines, le tout surveiller par des brutes d’une taille moyenne de 2 mètres 30. Visitant les quelques premiers chantiers, le Tyran fut traité avec le plus grands respects, les pillards qu’il avait recrutés le vénérait comme un chef redoutable, et les habitants n’avaient par d’autre choix que de se mettre à genou devant leur nouveau Maître. Toute la visite était réalisée dans le plus grand calme, les esclaves n’avaient pas le droit de communiquer entre eux, s’ils le faisaient tout de même, ils étaient fouettés ou punis de manière brusque et directe, sans aucun état d’âme.
C’est dans cette ambiance grise et sombre que Freezer se sentait le mieux, il était le seul être bien traité, le plus vénéré et crain des être vivants car tel était sa place : Il était le Maître de la vie, de l’univers, de tout ce qui existe. Après la visite relativement courte, Freezer pris en compte quelques rapports de l’efficacité des esclaves, il était clair que dans un esprit de terreur et de mort, les travailleurs étaient bien plus rapides et efficaces. C’était d’ailleurs une simple logique, animé par la peur de mourir, les misérables de Hera donnaient tout ce qu’ils avaient, et c’était parfaitement ce que recherchait Freezer, le rendement maximum.

C’était donc avec une grande satisfaction que le Tyran quittait le chantier, accordant que les constructions avançaient bien, les délais allaient être respectés : Dans deux mois, les usines seront en fonctionnement et le Cold recevra enfin des profits de cette planète désertique. Pour le moment, Freezer devait reprendre son entrainement sur la planète portant son nom, cette fois-ci, il comptait bien obtenir le fameux pouvoir que lui avait promis Reibai.