Viva la Résistance

Le Président venait de quitter ses collègues de la Résistance, venant d'apprendre qu'une guerre s'était déroulée sur Terre sans que les Black Feathers ne bougent le petit doigt. Il était pas loin de 21 heure, Kennedy venait de quitter le QG des résistants situé dans un petit café. Alors qu'il allait rejoindre un taxi, il reçu un texto : Rendez-vous à 21h30 dans l'appartement numéro 36, rue Hercule Satan. Anxieux, il se demandait si c'était un piège ou non, cependant il était curieux. Cela pouvait déboucher sur quelque chose d'intéressant, on ne sait jamais. John se trouvait déjà à SatanCity et l'appartement se trouvait pas loin, quelques ruelles plus loin. Discrètement, il engagea ses pas vers le lieu indiqué.

Trente minutes plus tard, comme prévu, il se trouvait devant l'immeuble. Il poussa le battant permettant de pénétrer à l'intérieur du bâtiment, puis se rendit à l'appartement exact, numéro 36 exactement. Il frappa la porte avec deux de ses doigts. Il patienta quelques secondes, le temps que les larbins du Prince viennent lui ouvrir. Une fois la chose faite, il pénétra dans la pièce et fit face au Prince Turion avec en signe de bonjour un simple hochement de tête.

- Bonjour, Tyrion. Je suis John Ferdinand Kennedy, Président de la Capitale de l'Est et chef d'un groupe de résistants. Vous vouliez me parler ?

Une table était entreposée au milieu de la pièce, une chaise à ses côtés. Calmement, John s'avança vers cette dernière et s'y assit confortablement. Touchant régulièrement sa bague placée sur son index, il se tourna vers Turion.

- Alors, qu'as-tu à me dire ?

Qu'avait il de si important à lui dire ?

Enfin le président Kennedy se tenait devant lui en chair et en os. Il entra dans la pièce dans toute sa splendeur. Au moment de son entrée, l'un des gardes lui demanda de se tenir droit et d'écarter les bras afin de procéder à une fouille sommaire tandis qu'un de ses collègues passa le detecdéte de métal autour de lui rapidement, avec quelques détections au passage qui n'attirèrent guère son attention. Puis on l'invita à prendre place sur le canapé devant le prince.



- Bonjour, Tyrion. Je suis John Ferdinand Kennedy, Président de la Capitale de l'Est et chef d'un groupe de résistants. Vous vouliez me parler ? 

[size=35]Une table était entreposée au milieu de la pièce, une chaise à ses côtés. Calmement, John s'avança vers cette dernière et s'y assit confortablement. Touchant régulièrement sa bague placée sur son index, il se tourna vers Turion. [/size]

- Alors, qu'as-tu à me dire ?

Qu'avait il de si important à lui dire ? 


- Monsieur le président Kennedy, c'est un honneur que vous nous faites de votre présence. Je serai bref et direct, nous avons tous deux un point commun, c'est que nous sommes prêts à mourrir pour mettre un terme à la tyrannie des Black Feathers. Votre but est de le renverser, le mien également, mais en plus je souhaite réclamer le trône qui a eét occupé par ma famille durant des générations et qui nous a été arraché par l'insurrection Alien. Je n'ai rien contre les aliens, mais ce coup d'état à la base était illégal et les Black Feathers n'amènent que le chaos. J'ai besoin d'associer le réseau de résistance et les Combattants de la Liberté. Ensemble, nous saurons trouver le moyen de les vaincre. Tout ce qu'il nous manquera sera le support de la Z Team afin que je sois entraîné de manière à vaincre le tyran. Ensemble nous saurons rallier le peuple de la Terre à la famille royale terrienne, la mienne, et regagner leur confiance. Monsieur le Président, le peuple vous élu, vous êtes donc plus dans leur grâce que moi-même. Aidons-nous.


Ainsi, Turion attendit la réponse du président.