Faits divers au coin de la rue
Cela fais maintenant quelques minutes que j'entend des cries d'une femme, j'avais à peine fermé les yeux, si c'est grave il vas certainement avoir de l'animation dans pas longtemps. Je ne veux pas faire de nouveau un face à face avec l'inspecteur. Je fini par ouvrir les yeux constatant que Shadow n'était plus à sa place. Avait-il prit la fuite, d'ailleurs je n'est rien ressenti, avais-je quand même trouver le sommeil quelque instant. Soudain Shadow refit son apparition ce posant sur mon ventre, sautillant, encore quelque chose de bien plus étrange cette fois.
Les cries eux ce fis bien plus effrayant, deux coup de feu retenti, suivit de quelque nouveau crie puis plus rien. Shadow devenait de plus en plus insistant. Visiblement il voulait que j'intervienne, je me lève et regarde quelle heure il est, ma montre indique 7h04. Shadow passe devant alors que je sort du sous sol, la ruelle était sombre et pas un chat y traînait, jusque là rien d'anormale. Après quelque seconde de marche pour aller au bout de la rue, je me retrouve au pied de l'immeuble. Mon corbeau pousse la porte d'entrée à l'aide de son bec, c'était certainement de là que venait les cries. Je prend mes précaution, j’empoigne ma dague, lame collé à mon avant bras, j'avance avec précaution très peu de lumière était présent malgré le soleil qui commence à ce lever à l'extérieur. Je monte les premières marches des escaliers regardant autour de moi. J'arrive au première étage, j'aperçois une porte entre ouverte. Des murmures voilà ce que j'entends, une inspiration et une expiration soutenu, de la peur ? C'était bien possible. Je pousse alors la porte avec délicatesse, j'aperçois du mouvement dans la pièce qui ce trouve directement sur la droite, impossible de dire avec détail ce qu'il s'y passe, j'arrive avec mal à apercevoir du rouge, peut être du sang ? C'était même certain le coup de feu n'avait pas était tiré dans le vent. Je peut facilement dire que dans la pièce il y avait une femme qui pleure, et un homme.
Après quelque minutes d'observation et d'écoute, je fini par pousser violemment la porte avec mon pied, en premier lieu je vois un homme armé d'un magnum 44. Putain vas falloir être sacrément habile pour esquiver une balle de ce calibre. Nul doute que mon apparence les fais flipper, l'homme comme la femme qui était visiblement un peu plus effrayé maintenant. En voyant ce qui ce trouve sous mes yeux je fais un rapide diagnostique de la scène. La femme est en pleure et en sueur son ventre est gonflé, l'homme allongé au pied du lit est certainement son marie ou tout du moins ce qu'il en reste, sa cervelle jonchait le sol. L'homme armé est visiblement pas dans son état normale ou peut être bien que ci. Ce dernier fini par pointer son arme vers moi. Oh non par pitier joue pas à ce jeu avec moi. Tout ce passe dans un calme presque absolue entre la forte respiration de la jeune femme, le planché sous mes pieds qui grince. L'homme ne disait aucun mot pourtant on pouvait lire le stresse sur son visage, la goutte de sueur qui coule long de son visage, il vient d'avaler, il a certainement la gorge sèche.
L'enfant... Où est l'enfant, dans son ventre ? Impossible sinon d'où viendrait tout ce sang sur le lit. Je fit un mouvement brusque sec envoyant mon poignard dans l'épaule de l’intrus, dans un excès de panique un coup de feu partie, déstabilisée par mon attaque la balle ce planta dans le mur, ce qui fis un peu de poussière. Sans attendre je fonce vers le type sortant et pointant ma canne en plein dans le cœur. Je peux sentir au bout de ma canne les derniers instant du palpitant, je n'avait pas manqué ma cible. J'enfonce un peu plus ma canne transperçant le corps. Son arme tombe au sol, il me regarde dans les yeux, il avait l'air de regretter. Moi je n'en n'est peut être pas. Je m'attarde pas plus longtemps sur l'homme que je venais de tuer pourtant c'est ce que je devrais faire. Je me retourne et vois une partie de la chambre que je n'avais pas vue, là une scène des plus horrible, difficile à d'écrire, le nourrisson était là allongé sur le sol... Je leva la tête alors que la femme prit la parole:
"Il... Il avait dis qu'il étais médecin... Qu'il pouvait mettre au monde notre enfant et soudain... je comprends pas... je je..." Des pas, quelqu'un était entrain de monter les escaliers, quelques secondes plus tard l'inspecteur Mac Allan entra à son tour accompagné par quelqu'un de plus haut gradé que lui. Je les acceuille mon poignard à la main.
"Putain c'est quoi ce bordel ! Ton compte est bon médecin, pose ce poignard au sol, j'hésiterais pas à tirer dans ta jolie petite gueule !" Et voilà, comment me sortir de cette situation, je savais que c'était une mauvaise idée de venir, je me retrouve accusé de trois meurtres dont un des plus odieux, même si la femme témoignera peut être pour moi, Mac Allan voudra tellement me foutre au trou qu'il me fera porter le chapeau jusqu'au bout si c'est pas des trois ça sera au moins un des trois, celui que j'ai tué. La femme, elle, restait silencieuse encore sous le choc très probablement. Dans la poche droite de ma veste, là ce trouve une solution qui pourrait m'aider à foutre le camp, oui j'ai pas le choix je veux dégager au plus d'ici. Je suis innocent, je le sais, elle le sait, vous le savez.
"Pas un geste je viens de te dire !" Voilà ce que vient de gueuler l'inspecteur alors que je viens de mettre ma main dans ma poche, il était sensé tirer mais il ne la pas fais, son supérieur à coter avait l'air dépassé par les événements, haut gradé mais pas habitué à l'action. Il me faut un plan pour la suite, la fenêtre qui ce trouve derrière moi devrais faire l'affaire et après ? Le réveil posé sur la table de nuit indique 7h30, plus en plus de service vont être mis au courant, on peut être sûr qu'à 8h00 le quartier sera bouclé et rien n'y personne ne pourra rentré et sortir. J'ai alors très exactement 30 minutes, on enlève 5 minutes pour établir un itinéraire une fois sortie d'ici.
- Spoiler:
Enfin mon billet de sorti, Shadow arriva fonçant sur l'arme de Mac Allan, déstabilisé cela me donne le temps suffisant. J'envoie alors une boule fumigène en plein sur l'inspecteur, l'unique fumigène qu'il me restait jusqu'à maintenant, je n'est plus assez de composant pour en fabriquer à nouveau. Quelque seconde suffit pour être aveuglé par la fumé:
"Cherchez la vérité inspecteur..." Je balança mon corps en arrière cassant la fenêtre avec mon dos, qui aurait l'idée de ce défenestré à 7h30 du mat, j'arrive avec mal à chopper la gouttière qui longeait la façade de l'immeuble. J'amortie difficilement ma chute, les nerfs on prit un coup et je peux sentir une douleur partir des talons jusqu'au genoux, je devrais attendre quelque minutes avant de partir mais j'ai pas le temps. Je commence donc une course effrénée alors que j'entend derrière moi Mac Allan crier, désolé une fois de plus je n'est pas plus de temps à vous accordez. Des ruelles perpendiculaire, parallèle, je sais un peu prêt où je me trouve, je regarde en l'air et vois Shadow, il m'indique le chemin. J'aurais voulus passé dans mon sous sol miteux, mais le temps joue contre moi. Je n'est pas le choix je doit partir. J'entend des véhicules, merde ils sont là bien plus vite que prévu, je dois prendre de la hauteur et vite. Une issue en voilà une devant moi à quelque mètre une porte, quand soudain un véhicule de police s'arrête net à la sorti de la ruelle me barrant le chemin, j'ai pas le choix vas falloir les traverser. Le passager est le premier à sortir me pointant avec son arme mais il déjà trop tard je suis bien trop prêt pour qu'il est le temps de faire un tire efficace. Mon corbeau est déjà sur le coup lui fonçant sur le visage le griffant à multiples endroit. Me voilà proche de lui je donne un violent coup de canne dans la main. Le premier est éliminé, je prend alors appuie sur le toit de la voiture avec mes mains son coéquipier témoin de la scène ne savait pas quoi faire et voilà que maintenant il vois mes deux pieds arriver en plein dans son visage le poussant il fis trois pas en arrière comme prévue ce qui me donne suffisamment le temps d'atterrir au sol et lui foncer en plein dessus pour l'utiliser comme bouclier, j'enfonce violemment la porte en utilisant ce dernier.
Je monte enfin les escaliers, il fut facile de trouver une sortie pour arriver sur le toit. Voilà que maintenant je saute de toit en toit, plus que quelque mètres et je serais un peu plus en sécurité. Je vois au loin un vaisseau s'approcher sur ma position, j'arrive à me cacher derrière une armoire électrique avant de le voir faire demi tour, plus de peur que de mal cette fois. Je prends une grande respiration, le soleil m'éblouissait un peu entre les nuages gris et noir. Shadow ce posa sur le rebord du toit, c'est de sa faute si j'en suis là, mais je peux pas lui en vouloirs c'est plus fort que moi, il voulait aider des personnes dans le besoin, il ferais certainement une bien meilleure personne que moi je n'en doute pas.
Je ne sais où aller, quitter Dark n'est pas envisageable et pourtant c'est bien ce que je dois faire. Une vive douleur fit son apparition au niveau de ma colonne vertébrale certainement à cause ma chute, il vas falloir faire attention. Qu'es que je vais devenir, jusque là si je dois faire un bilan de ma situation il ne serait pas fameux, voir peut être même catastrophique. Jusque là je me contentais simplement d'esquiver Mac Allan, soigner ceux qui sont au plus mal, mais réellement pour qu'elle raison suis-je encore en vie, pourquoi elle et pas moi, qu'es qu'elle ferait à ma place, pourquoi ai-je l'impression que tout vas dans le désordre. Un coup de vent m'envoya une page de journal sur ma jambe, je n'était pas plus intrigué que ça jusqu'à ce que je vois le titre de cet dernière "La science à la vent en poupe" intéressent cet article disait très clairement que pendant ces dix dernière années la science à fais des pas considérable dans l'avancement de différente recherche. Engrangent beaucoup d'argent. Tous des vendus, donner des faux espoirs au gens qui finisse par mourir la bouche ouverte, ses gens on pas vue dans quel état ce trouvait Dark dans certain quartier.
J'allume ma lanterne et brûle la page, personne ne devait lire ce genre d'idiotie.