Intéressant ce Dossier [Solo]

Je me trouvais sur le toit et après quelque instant où je réaliste que j'ai échappé à Mac Allan, maintenant il était inévitable que les images que j'ai vue dans l'appartement resurgisse comme si cela ne suffisait, le nouveau née allongé sur le sol, comment peut on condamner un être si innocent, aujourd'hui il y a un fou meurtrier qui ce ballade librement alors que je suis pointé du doigt injustement payant les frais pour un autre. Je me sens soudainement nauséeux me rappelant les terrible images que j'ai pu voir, je suis un peu bousculer par les effets, je pose ma main sur mon ventre, tandis qu'avec mon autre main je me retient à la rambarde qui ce trouve sur le toit. Je devrais utiliser un antidote mais je considère que pour l'heure il est inutile d'utiliser un antidote pour ses quelque effets certes désagréable mais surmontable. Après un moment et après avoir reprit mes esprits, je réaliste que je suis encore sur le toit de l'immeuble je devrais être en bas depuis longtemps, si un vaisseau envoyé par l'inspecteur me trouve ici je suis encore une fois prit pour cible, je me relève adroitement, avant de sauter sur le balcon qui ce trouve dans les dernier étage pour ensuite enchaîner par les autres pour arriver en bas. Arrivé dans la rue, il y a peu de gens qui circule mais suffisamment pour considérer qu'il y a du mouvement, les commerces son ouvert et je parie que dans quelque minutes quelqu'un vas m'interpeller pour louer mes services, je fais alors deux pas et ça ne rate pas une gamine, vêtu d'une robe pas très propre qui descend jusqu'à ses tibia, abordant des couettes m'interpelle en me tirant la veste, je me retourne et je la vois sursauter au moment où elle voit mon masque, elle n'était certainement pas prêt à voir un masque de ce genre. Je la regarde des pieds jusqu'à la tête, elle était pied nue le visage et les bras marqué par des traces noir de saleté, elle baissa la tête croisant les bras comme si elle était gêné, c'est à ce moment qu'elle prit alors la parole :

"Bon-Bonjour m-monsieur je viens vous demandez si vous pouviez ai-aider ma maman."

Je sens immédiatement une légère dyslexique de la part de la petite fille je fais un pas en arrière avant de regarder autour de moi, Shadow ce posa au sol s'approchant de l'enfant, plus je vois ce corbeau et plus je me dis qu'il change toujours un peu plus. Je prends ma tête entre mes mains, oui les images du nourrisson étalé sur le sol n'as toujours pas quitté mon esprit, plus les images revienne et plus des détails effrayant font surface : la langue sortait de sa bouche pendent dans le vide.


Tout d'un coup la gamine fit de pas rapide avant de me prendre la main et de me tirer, effrayé de ce mouvement brusque Shadow s'envola quelque mètres, pendant son action la petite fille s'effraya elle aussi de l'action de mon corbeau en collant son prend contre elle et en clignant rapidement des yeux, elle me tira dans une petite ruelle juste à quelque mètre, moi plongé dans mes pensées je ne réaliste pas tout de suite, arriver dans la ruelle je me trouve au pied du mur, la gamine poussa deux trois poubelles, et là je trouve ce qui semblait être sa mère aussi sale que sa fille, l'odeur qu'elle dégage est la première chose que je remarque, puis ça jambe plus précisément son mollet bouffé par les verres, son bras effectué lui aussi mais la plais était déjà fermé. Comment cela peut être possible, je porte un masque et j'arrive à sentir l'odeur putride, je n'ose pas imager l'odeur sans mon masque, malgré la situation je reste serein, je remarque aussi le sang séché sur le bas de son haut, ses paumons doivent être certainement dans un mauvaise état, elle utilise le bas de son haut pour tousser dans ce dernier. Je m’accroupis alors devant elle, et je lis dans son regard qu'il ne reste plus beaucoup de temps à vivre pour cette maman, même si je peux lui donner quelque chose je doute fort qu'elle pourra aller mieux, je croise le regard de sa fille qui abordait un sourire comme si elle avait trouvé en moi le messie qui pourra sauver sa maman, hélas, je ne suis qu'un médecin je ne peu donc faire aucun miracle. Je vois les yeux de la maman monter au ciel de temps à autre, les paupières lourde, elle souffre cela se vois. Je fouille dans ma veste un trouve compris que je tends à la gamine, je le dis en prenant une vois rassurante :

"Prends ceci ça aidera ta maman à aller mieux."

Evidemment vous en conviendrez que mes dires son totalement absurde mais à cette age là et dans la condition dans la quel elles ce trouvent elle ne pouvait qui croire, les effets son immédiats la gamine s’effondre de sommeil, je lui est donné un puissant somnifère. Je viens d'effectuer la partie facile de ma tâche. Je sort alors une seringue de ma sacoche, retirant la protection de l'aiguille je la regarde une dernière fois quand soudain la mère me prends par le col de ma veste et me tire vers elle et chuchote quelque mots, je fis de grand yeux, j'enfonce alors l'aiguille dans son bras et injecte le produit qui pourra la libérer de toutes ses douleurs qui la rongeait de l'intérieur, sa tête bascule vers l'avant tombant sur mon épaule ses yeux ce ferma, en effectuer ses dernières respiration, je reste quelque instant dans cette position, avant de pousser délicatement le corps contre le mur sur le quel elle était adossé. J'étais entrain de ranger la seringue quand soudain j'entendis la porte grincé derrière moi, un homme jeta sa poubelle juste à coter de moi, puis il s'alluma une cigarette je me retourna et je vois enfin le gros tas de merde que j'avais devant moi, il prit la parole avec le reste de dents qu'il lui restait dans sa gueule :

"Il était temps qu'elle crève, ça fais plus d'un mois qu'elle était là, ça me foutait la gerbe à chaque fois que je sortait fumer ma clope, merci monsieur l'homme masqué sorti tout droit d'un carnaval." finissant sa phrase en rigolant.

Je continue ce que j'avais à faire sans prêter plus attention à ce gars là, je sort alors un flacon de ma sacoche c'est de l’alcool à 90 degrés que je verse sur la jambe qui grouillais de verre, cela les fera dégager.

"Eh dis moi tu prends aussi la gamine j'espère parce que bon voilà, elle y passera tôt au tard comme sa mère, enfin bon je dis ça moi je m'en tape." cette fois il fini ça phrase en crachant au sol.

Je me relève rangeant mon flacon et prit à mon tour la parole :

"C'est bien ça le problème..."
"Hien ? Qu'es que tu baragouine ?"

Je fis deux pas et me retrouve alors quelque centimètre de lui, il me souffla la fumé de sa cigarette au visage, mon front traversa la fumé il fut donc surpris de voir quelque chose arriver en plein dans son nez, mon coup de fut violent j'ai pu entendre l'os de ce briser, je le rattrape par la gorge avant qu'il ce soit trop en arrière, je lui ouvre la bouche et lui enfonce dans cette dernière la poignée de verre que j'avais ramassé sur le sol, il essaye de ce débattre évidemment mais sort mon poignard et lui enfonce dans l'un de ses bras, je prends alors ma canne et lui enfonce cette dernière dans l'autre bras. Maintenant il faisait moins le fière il était effrayer cela ce voyait, je recule un peu et lui donne un violent coup de pied dans le torse le dégageant en arrière dans la cuisine de son restaura, allonger au sol, tout les cuisiniers me regardait mais aucun ne bronchait, je saisie alors la jambe du gros tas et la soulève avant d'écraser mon pied sur le genoux, je fis alors ressortir ce dernière de l'autre coter, il crie, il crie fort, et ça me dérange, j'imagine que les verres qu'il avait en bouche son eux aussi agacé par cela.

"Tu savait que cette femme était dehors souffrante avec son enfant, et tu n'as rien fait, pire encore tu te plains de leur présente, mais dis moi à tu une réponse à cela, peut-tu me donner une seule bonne réponse valable ?..."

Le malheureux ne trouvais pas mot, je lui fais le geste d’ouvrir la bouche, vue qu'il ne savait plus parler, je communique avec les gestes avec cette merde, je me saisie de la marmite qui contenait de l'huile chaude, que dis-je plutôt en ébullition :

"T'inquiète je vais te donner une réponse qui me fera plaisir, là tu aura une bonne raison de te plaindre, les verres seront je l'espère pour toi meilleure comme cela... Bonne appétit... Chef."

Je verse alors l'huile dans ça bouche, dans un crie de douleur atroce et assourdissant, alors que les cuisiniers s'échappe de la cuisine effrayé de cette scène. Je repose délicatement la marmite sur la plaque, je coupe le feu. Je me dirige vers l'extérieure ne regardant pas l'enfant allonger au sol et prends la direction de la rue de la quel je venais, je met mes mains dans les poches arrivant au bout de la ruelle fixant le sol me perdant dans mes pensées une fois de plus : les yeux du nourrisson était grand ouvert, son regard était vide.

Shadow ce posa sur mon épaule me sortant de ce que je voyais dans mon esprit, je relève la tête regarde à gauche puis à droite et commença à marcher, quelque minutes plus tard, je tenait dans mes bras la gamine endormit, dans quel situation je venais encore de me mettre, cette pas la meilleure des solutions je le sais bien, j'avais encore d'autre problème à régler avant de coltiner cette enfant, mais maintenant il est trop tard je ne peux l'abandonner au coin d'une ruelle, dieux sais qu'elle horreur il pourrait lui arriver. Mon plan que je préparait est terminé et il vas falloir que je me sépare de la gamine l'espace de quelque heure, je ne l'aurait donc pas à l’œil. Tout d'un coup je vois une véhicule des force de l'ordre, je pousse la porte qui ce trouve sur ma droite, et comme un heureux hasard je trouve la solution au problème, quelque secondes plus tard me voilà entrain de réserver une chambre d’hôtel, certes pas dans le meilleure des états mais cela suffira pour quelque heures, le type à l’accueil me regarde bizarre, et en effet cela peut sembler bizarre voire même très étrange de prendre une chambre d’hôtel pour seulement quelque heures avec mon apparence et un corbeau ainsi  qu'une gamine endormie dans les bras j'essaie avec certaine phrase de lui faire comprendre que c'est pas ce qu'il pense. Je monte une étage puis un second, je trouve enfin la chambre, c'était la B.02.

Je dépose la petite fille sur le lit, je devais pas m’éterniser ici, je devais faire vite, au vue des soupçons étrange que le type de l’accueil avait sur moi, j'ordonne alors à Shadow de rester ici, je n'avait pas le choix si je pouvais pas garder une œil sur elle, c'est mon corbeau qui le fera pour moi, il sera quoi faire en cas de problème. J'ouvre la fenêtre et monte rapidement sur le toit je regarde au loin et arrive à trouver ma destination, je commence alors à me diriger vers cette dernière avec précaution. Tout cela j'aurais dû le faire depuis bien longtemps, je prends un risque c'est certainement un allé simple, mais je dois le faire. J'arrive enfin devant le bâtiment : le commissariat il était gros et imposant il vas falloir que je trouve une entrée, à cette heure si comme on peut le constater c'est le vrais bordel de plus avec ce qu'on m'accuse ça doit fusé à l'intérieur. Je devrais prendre l'entrée principale c'est souvent ce qu'on a sous le nez qu'on ne vois pas mais il suffit qu'un des flics était là ce matin pour qu'il donne l'alerte, je vais plutôt m'infiltrer depuis le toit.


Je me suis déplacer et me voilà maintenant sur le toit je cherche une entrée, une fenêtre mal fermé me donne un accès, à l'aide ma canne et en effectuant un système de levier j'arrive sans trop de mal à ouvrir la fenêtre. Me voilà à l'intérieur il semblerait que je sois tombé dans l'une des pièces des archives. Comme je pouvais le prévoir c'est le vrais bordel, tout le monde parle très fort je peux les entendre malgré que je suis un étage au dessus. Je peux voire qu'il y a aussi du mouvements à l'étage où je me trouve, je regarde dans les cartons rien de ce que je suis venu chercher ne s'y trouve. Je m'approche de la porte vitré je vois écrit sur la porte en face « Affaires non classés » aurais-je donc de la chance pour une fois, sa c'est calmé dans les couloirs c'est ma chance j'ouvre la porte et regarde de gauche à droite, personne. Je sort et rentre rapidement dans la pièce d'en face donc. Dans les cartons toute est rangé par quartier de la ville, sauf un je l'ouvre et commence à chercher quelque chose qui me définirait je fini de feuilleté les différents dossier, rien sur moi de près ou de loin. Je vais devoir trouver le bureau de notre chère Mac Allan, si mon dossier et quelque part c'est certainement ici. Mais un dossier m'interpelle, portant comme titre : Projet Remède, mes yeux suivent les lignes que contient ce dossier, des rapports, des notes, des diagnostiques, des graphiques, « l'aide espérer par l'homme masqué ne se fera pas […] Il devient un ennemie. » « Le laboratoire du quartier sud-ouest prends feu après des testes officiel sur des corps humain. » Tout ce que je lisais était surréaliste : « Première rencontre au sommet entre les services secrets et les médecins de la planète Vegeta. » Ça bouge dans le couloir ça me coupe dans ma lecture je range le carton, je prends le dossier avec moi je mets dans ma veste, la poignet de la porte s'abaisse. Me voilà planquer dans un rayon des dossier non classées le flics qui est maintenant rentré cherche quelque chose je me déplace doucement derrière lui, je prends ça mâchoire et lui tord le coups, le policier tombe au sol inconscient, me voilà changer portant l'uniforme. Je le conçoit mon masque ne fais pas trop policier mais je ne peux le retiré de loin je ne me ferais peut être pas repérer mais il suffit de garder tout le monde à distance ou de tuer tout le monde sans me faire repérer.

Je laisse mes effets dans un coin de la pièce, je sort et me balade dans les couloirs cherchant le bureau de notre chère amie, visiblement il y a du mouvements par vague après cinq minutes de recherche je me trouve enfin le bureau, j'y pénètre et commence fouiller il ne m'as fallut que très peu de temps pour trouver mon dossier qui était finalement posé joliment sur le bureau. Je me permet de m’asseoir sur le vieux siège. Mon dossier n'était pas très épais mais il était bien fournis et fournis de très belle merde et connerie en tout genre à propos de moi, c'est beau ça me donne presque une petite larme à l’œil. J'ouvre une des tiroirs du bureau j'y trouve un revolver à 6 coups voilà qui me serra utile, je le pose sur le bureau et continue la lecture de mon dossier. Soudain après dix minutes, MacAllan entre dans son bureau me trouvant poser confortablement dans son siège. Il ce saisie de son arme, je me saisie du revolver.

"Putain mais qu'es que tu fou là !" me lança t-il énervé

"Je lis, je lis mon dossier ne voyez vous pas Mac Allan, dite moi c'est une mine d'or pour écrire un vrais thriller, vous engagez un réalisateur et un producteur je suis sûr que vous ferez un vrais tabac avec tout ce qu'il y a écrit dans mon dossier, dite moi vous avez déjà écrit la fin, ça m’intéresse."

"La fin c'est je tire ta cervelle éclate sur le bureau et on en parle plus, fin de l'histoire ! » Alors que deux autres policiers entre et pointe leur armes sur moi.

"Sympa vraiment sympa, mais l'histoire ne mentionne pas le passé chaotique du commissaire qui a tiré, comment, pourquoi, je trouve que cette partie serait vraiment fabuleux à expliquer, enfin ce n'est qu'une suggestion, mais vous s'av..." Mac Allan me coupa dans mes dires

"Ta gueule, t'es foutu, t'es mort tu sortira pas de ce bâtiment."

"Vraiment ? Incroyable, mais si je vous dis que j'ai piégé tout le bâtiment et que c'est vous qui n'allez pas sortir d'ici, là tout d'un coup c'est beaucoup, beaucoup plus intéressent."

"Tu bluff aller lève les mains en l'air !" Me lança t-il avec un air comme s'il était entrain de géré la situation

"Envoyez donc un peu de votre personnel sur toit vous saurez bien si je bluff ou non."

Pas vraiment rassurez Mac Allan regarde ses collègues et leur fais un geste d'aller voir. Maintenant il fallait attendre, et moi j’étais déjà bien trop longtemps ici. Quelque minutes plus tard et flic crie de douleur et un autre s'exclame :

"Putain il bluff pas !!!"

"Les seringues planté par tout dans le corps ça fait pas du bien surtout quand on regarde pas où on marche, on glisse on tombe et aie aie aie... "

Mac Allan resserre ses mains sur son pistolet prêt à tirer :
"Qu'es que tu veux bordel ?!" Cria toute en me menaçant.

"Moi, bah lire mon dossier, et éventuellement le supprimer, et vous qu'es que vous voulez ? et ah oui avant que j'oublie j'aimerais récupérer mes affaires, ils sont dans le salle des affaires non classés, et n'ouvrait pas mon sac ou tout ce qui pourrait être ouvert, à moins que vous voulez perdre un autre de votre petit copain et toute la pièce entière finira dans les flammes, j'aimerais mentionner que c'est là aussi qu'une suggestion."

Visiblement Mac Allan est devenue bien tendus depuis qu'il est entré dans son bureau, il n'avait pas le choix que de dire au copain policier d'aller chercher mes affaires après quelque minutes d'attente voilà enfin mes affaires :

"Aller monsieur Mac Allan dite leur de sortir, vous n'avez pas le choix la pièce et elle aussi piégé, moi je m'en contre fou si tout vous pète à la gueule c'est juste le mec de l'entretient qui vas râler quand il verra tout le sang partout dans le bureau."

Mac Allan regarda partout autour de lui soudain en plus d'être tenu il n'était pas rassuré il fis de pas en arrière et demanda au policier de quitter son bureau.

"Vous permettez que je me change, toute façon vous n'avez pas le choix hien." Tout sourire, je me change, mon petit tour marche, il y a pas de quoi être fière je l'avoue mais jusque là, je semble être bien trop tendre, depuis qu'il était entré Mac Allan n'avait cessé de me pointé avec son arme. Une fois avoir mis mon accoutrement habituel, je me saisie de ma lanterne et sans attendre je met le feu à mon dossier, on pouvais voir le visage du commissaire tendus énerver, c'est vrais que cela doit être plutôt fâcheux de voir brûler un dossier si important, et pourtant il n'avait rien d'important ce dossier était remplit de mensonge, de rumeurs qui circule.

Mon issue de secours je l'avait vue depuis que j'étais entré dans le bureau : la baie vitré qui ce trouve derrière moi, et merde... Pour la deuxième fois aujourd'hui je vais me défenestre il y a bien un jour où ça va mal tourner mais pas aujourd'hui... Enfin je l'espère.

"Bien bien, voilà qui est fais, bon bah c'est pas tout mais on a tous nos projets qui attende hien, alors bon je vais pas vous retire plus longtemps, on ce quitte une fois de plus et désolé vraiment mais je n'est pas plus de temps à vous accordez."

"Eh eh où compte tu aller là ! Tu bouge pas ! Dit moi ce que tu as piégé !"

"A vous de démêler le vrais du faux, bluff pas bluff, c'est vous l'enquêteur pas moi."

J’enduis le sol d'huile de ma lanterne, ça évitera au moins qu'il s'approche de la fenêtre pour voir par où je fuis, je me retourne et lance violemment le revolver contre la vitre, cela suffit pour faire un impacte avec mon corps j'arrive à briser la fenêtre, je la traverse donc et me retourne un coup de feu est tiré, immédiatement je sens une vive douleur.

*Bordel cette fois il a eu les couille de tirer.*

Ma chute n'était pas de très haut, mon corps s'écrase sur un véhicule, je met quelque instant pour reprendre mes esprits et descendre du véhicule, j'entends déjà les premiers flics ce la ramener, j'arrive à leur échapper en courant dans une ruelle. Je doit retourner à l’hôtel et dégager d'ici cette fois plus grand chose me retient de quitter Dark ou pas, à vrais dire j'en sais rien.