[EVENT] Maison d'Epina

Le grand luxe ! Voilà ce que pensait le Saiyan de cette petite maison bien que vide disposait du minimum requis pour commencer à préparer sa survie en ce lieu si particulier. Un lit, des chaises, une table et des meubles. Le bois de certaines matériaux pourrait être utilisé pour la fabrication potentiel d’armes, et il pourrait potentiellement bloquer les accès à sa maison par les fenêtres ainsi que barricader la porte si jamais il se retrouvait dans le besoin.
Le manque de vêtement et de nourriture pourrait poser problème, mais le Saiyan avait l’intuition que les sélectionné pour le jeu de Demigra n’était pas les seuls êtres vivant sous la cloche. Non il devait y avoir quelque chose à chasser. Et au besoin leurs fourrures pourrait servir potentiellement à fabriquer des vêtements. Néanmoins il comptait essayer de passer le moins de temps possible dans ce lieu.

Se rapprochant du lit, il remarqua alors une étrange clé qui avait été clairement posé là pour y être remarqué et poser la question suivante : où se trouvait la chose qu’elle déverrouillait.
Curieux et faisant fi de la fatigue, le Saiyan commença à fouiller la maison, l’étrange clé à la main. Il se reposera plus tard. Pour l’heure, les recherches continuait. Mais bon dieu par contre la quantité de poussière était tel que le Saiyan ne se demandait pas si Demigra avait apporté un soin particulier pour rendre cette maison le plus dégelasse possible. Il avait quelque chose en particulier contre lui ou bien ?
Pour commencer, il allait vérifier si il n'y avait pas de meubles ou de porte-caché. Il connaissait ce petit coup.

Un environnement vide et plein de poussière... était-ce vraiment tout ce à quoi Epina avait le droit ? S'il avait beau faire partie d'une espèce qui haïssait plus que tout les tâches ingrates telles que le ménage, méritait-il vraiment une telle punition ? Et bien non ! Cette fameuse clef n'était pas là pour rien et notre ami le demi-saiyan avait tout de suite compris l'évidence même de cet objet qui avait été mis à sa disposition. En cherchant correctement, ce petit fouineur avait finalement trouvé quelque chose de très intéressant dans cette demeure qui semblait si démunie aux premiers abords. Sous le tapis de la chambre se trouvait une trappe. Cette dernière étant soigneusement cachée, il n'y avait rien d'étonnant à ce que l'on ne la découvre pas tout de suite, même en marchant dessus. Enfin passons. Elle était là et le trou de serrure n'attendait rien d'autre qu'une clef pour ouvrir l'accès au sous-sol.

Ce sous-sol par ailleurs n'était pas une simple cave. S'il avait le courage de pénétrer à l'intérieur alors Epina allait très vite découvrir le rôle et les attributs qui furent conférés à cette maison. Au beau milieu de cette dernière se trouvait une grande table de forme rectangulaire sur laquelle était parsemée un large arsenal d'outils bien étranges. Tout d'abord, nous avions là une belle collection de crochets dont l'utilité était très claire : déverrouiller des serrures sans faire usage d'une clef. Ensuite, nous avions d'autres curieux objets dont l'utilité ne semblait pas encore très claire. A partir de là, on pouvait bien se douter que l'on se trouvait dans le repère d'un voleur mais la vérité était plus cruelle encore. Plus loin, dans l'ombre, se trouvaient des cages, trois en tout. Si une chose était sûre, c'est que celles-ci avaient été disposées ici pour enfermer des personnes à l'intérieur et quand à ce qui se situait juste à coté des cages... et bien nous avions une véritable table torture, équipée de sangles et de chaines. Ainsi, peut-être que le guerrier pouvait comprendre à quoi servait les autres outils qui étaient bien disposés sur la table mais la vrai question était plutôt : Allait-il en faire usage ? Et si oui... quand, comment et avec qui ?

Un sacré matos, c’était à vrai dire plutôt impressionnant de voir ce que certains pouvaient cacher chez eux. Des cages, du matériel de tortures. Non vraiment c’était assez intéressant. Il était presque curieux de voir ce qu’il pouvait faire avec tout cela, mais il fut plus curieux d’enfiler l’étrange armure. Cela pourrait toujours être utile étant donné qu’il n’avait plus sa résistance passé -un coup de poing contre le mur lui confirma que oui, il était bien plus fragile qu’auparavant. Et qu’il était très con de frapper sur un mur pour tester ce genre de chose.-

S’asseyant sur les marches. Le Saiyan désormais entièrement humain essayait de réfléchir à la situation. Très certainement aucun moyen d’appeler du secours pour lui et les autres, ce Demigra devait être particulièrement puissant pour être capable de telles choses. Il pouvait très bien paraître pour un Dieu comme Chronoa l’était. Mais il se refusait à le nommer ainsi. Demigra était une engeance, un monstre qui un jour allait se prendre le poing d’Epina tellement profondément que la seule chose restante du Démon sera une gerbe de sang étalé sur plusieurs mètres. Mis avant cela… Il devait trouver un moyen pour résister.
Il n’avait aucune intention de mourir -bien qu’il fût désormais en possession d’information sur l’Autre Monde grâce à Kakarrot- et cet aspect lui faisait désormais moins peur. Mais l’anxiété en revanche restait présente. Mourir ne serait pas la fin, mais c’était possiblement un arrêt complet sur ses plans pour rejoindre Végéta, retrouver son équipe et pourquoi pas donner une potentiel solutions aux pertes humaines sur Terre. Car oui, il avait eu le temps de clipser les choses. L’explosion, nul doute qu’il était arrivé trop tard sur les lieux. Et naturellement, de nombreuses pertes parmis les Humains à ne point en douter.

Il y a quelques temps il aurait cru que c’était fini mais… Les Dragons Balls. D’étrange boules de cristal permettant d’invoquer Shenron le Dragon Sacré, capable de ressusciter les morts. Voilà qui pouvait potentiellement annuler les dégâts engendrés par le chef des Black Feather.
Il ignorait si les Rois connaissaient l’existence de ceci. Et il aurait été incapable d’émettre le moindre avis… Parce qu’il était déjà trop occupé à tenter de sauver son propre cul !

Rah mais qu’est ce qu’il était censé faire ? Jouer le jeu de ce putain de Démon ? Ou bien rester sur sa ligne et mourir en faisant un gros doigt à Demigra.
… Il commençait à perdre un peu les pédales avec la succession d’évènements… Et c’est pour cela qu’il se contenta de retourner en haut, verrouiller la porte à clé. Et rentrer dans la cave après avoir replacé le tapis dessus pour que la trappe ne soit pas visible. La verrouillant également. Il voulait juste se reposer et dormir, simplement se reposer suffira. Et c’est pour cela qu’il s’installa dans le coin de la pièce, cherchant à trouver un peu de repos pour une nuit qu’il savait risquait d’être agité. Il voulait juste un peu de calme, sinon il craquerait et il ne préférait pas voir de quoi il était capable dans cet état... Même sous forme humaine.

« Gohan ! »

Le Saiyan -désormais humain- se réveilla en sursaut. La sueur dégoulinant de son visage et sa respiration en hyperventilation. Voilà qu’il avait espérer pouvoir se reposer tranquillement après tous les événements. Mais même son esprit refusait de lui donner un peu de tranquillité.
Revoyant dans un étrange mélange la mort d’un Gohan avec l’arrivé du Roi Cold et de Cooler et de sa propre impuissance se terminant dans une cité en feu avec devant lui une bombe explosant quand il la toucha.

Les rêves étaient généralement révélateur du psyché des personnes. Mais ça le soldat ne s’en préoccupa pas, secouant la tête pour complètement se réveiller et reconnecter son cerveau. Préférant ne pas s'occuper pour le moment de ce foutu cauchemars. Se levant plutôt maladroitement dans son corps endoloris par une nuit passé dans une cave de torture qui…

Ah oui, ce putain de jeu de Demigra. D’ailleurs… Il était censé voir les autres sur la place du village avant la tombé de la nuit mais avait complètement oublié avec toute la fatigue et le stress de ces journées les plus dangereuses les unes que les autres.

Quittant la cave et prenant soin de masquer l’entrée de ladite cave.

Il regarda l’une des chaises et après plusieurs minutes à forcé dessus, parvint enfin à briser l’un des pieds pour en faire un petit pic de fortune. De quoi avoir au moins de quoi se défendre… Peut-être…
Sortant alors et refermant la porte. Il observa les alentours et… il avait faim.
Mais genre, TRÈS faim. Il n’avait rien mangé depuis hier et cela s’entendait. Son ventre partait en mode gargouillement.

Un peu déjà las de cette journée -potentiellement fatal- qui s’annonçait. Il sortit du périmètre de sa maison. Errant dans une direction un peu aléatoire. Mais qu'est ce qu'il pouvait détester cette endroit de merde...

Ceux qui ne savent ou aller finissent toujours par se perdre, tôt ou tard. Ou ira-tu, jeune ami ? Est-ce la détermination qui te manque ou alors ton courage s'est évaporé au fil des heures. Compréhensible. Tous ses hurlements et ses effusions de sang ne pouvait qu'instiller la terreur, même dans le cœur des plus courageux. Enfin soit, si les lâches tenaient vraiment à rester à l'écart alors peut-être qu'un petit coup de pouce divin les aiderait à apprécier d'avantage ce jeu de la mort dans lequel ils sont tous plongés. Voyez Epina par exemple ; le pauvre bougre ne sait plus ou donner de la tête et ose à peine sortir de chez lui avec une arme. Poussé au danger à cause de la faim, le guerrier démuni de ses pouvoirs ignorait tout ce qu'il pouvait se produire de l'autre coté du village. Amusé par la situation actuelle, le diable eut alors la brillante idée de lui offrir un petit cadeau sorti de sa galerie personnelle.

« Pauvre petit. Tu es voué à toi même, seul dans ce monde de brutes. »

Il n'était pas fou, la voix du diable résonnait dans son esprit. Ce pauvre paysan, démuni de la puissance qui résumait tout ce qu'il était autrefois, n'était plus rien aujourd'hui. Était-ce donc cela, le problème ? Cette absence de force engendrait donc cette absence de courage ? Il fallait le dire plus tôt, voyons ! Si tu veux de la force et du courage, chers Epina alors te voilà servi ! Une sombre aura émanait d'un arbre, non loin en face de la petite demeure du patrouilleur. En approchant quelque peu de celui-ci, l'intéressé put alors distinguer un masque bien étrange et bien accroché. Cette couleur de peau aussi rouge que le feu... ce regard aussi sombre que la nuit. Pas de doute là dessus, c'était bien ça ; le légendaire « Masque d'Oni ». Cette création du diable fut utilisée et répandue dans bien des cultures. Aujourd'hui encore, ce terrible masque allait répandre sa malédiction sur Chutelière IX.

« Voici un petit cadeau pour t'encourager, tu ne peux pas refuser. »

Spoiler:

Au moment même ou la victime du dieu-démon déposa son regard sur le masque, il était déjà trop tard. Sous l'emprise du malin, Epina abandonnait tout ce qu'il venait d'entreprendre et avançait doucement, un pas après l'autre jusqu'à ce masque maudit. Finissant alors par le décrocher de l'arbre, à sa hauteur. Le guerrier saiyan ne pouvait pas résister une seule seconde. Le masque appelait son nouveau porteur. Dès lors qu'il sera porté par notre pauvre homme, incapable de résister à cet infâme sortilège, celui-ci ne sera plus que l'ombre de lui même, condamné à se voir plongé dans une furie sanguinaire et réduit à l'état de meurtrier. Cette chose, capable de faire ressurgir tout ce qu'il y a de pire chez l'être humain, allait bien se servir de son nouvel hôte pour générer un tout nouveau bain de sang. Tiens toi prêt, chien de Chronoa. Au moment ou se masque sera apposé sur ton visage, ton seul maître sera le diable... et le diable appelle le meurtre.

« Pauvre petit. Tu es voué à toi même, seul dans ce monde de brutes. »

Le Saiyan eu un petit sursaut en entendant la voix, reconnaissant instantanément la voix inoubliable de Demigra et aussitôt Epina s’énerva. Insultant mentalement le démon d’une quantité incalculable -et donc difficile à calculer- de mots tous aussi significatif les uns que les autres sur ce que pensait le Time Patroller Bénévole de celui qu’il avait dans sa tête surnommé "Dédé", un surnom tout aussi ridicule que l’accoutrement de l’intéresser. Mais hélas, bien trop puissant pour l’instant et totalement maître de la situation. Bref, c’était la merde !

Son regard fut alors attiré par un mystérieux objet accroché à l’arbre juste devant sa "maison". Quelque chose de rouge qui contrastait naturellement avec le marron du tronc d’arbre et l’herbe environnante.
Un masque.

« Voici un petit cadeau pour t'encourager, tu ne peux pas refuser. »

Dès que l’objet fut clairement visible par le Saiyan, il abandonna tout. Insultes mentalement envoyé vers Demigra, et pourquoi faire ? Aller chercher à manger ? Pourquoi faire ? Tout ce qu’il voulait était ce masque. Le mettre sur son visage et obtenir enfin des réponses, découvrir enfin son véritable but, se libérer et libérer les autres. Chaque pas le rapprochant du masque créait un sentiment d’excitation palpable tandis qu’un sourire neutre se dessinait sur son visage. Plus que quelques mètres… Il aurait presque envie de courir vers le masque pour aussitôt l’installer sur l’Emplacement qu’il méritait : son visage. Un visage qui désormais affichait des yeux dont les pupilles étaient réduite au maximum.

Enfin il prit en main le masque et le posa sur son visage.

Aussitôt un bref claquement se fit… Et le masque devenait presque organique, comme s’il avait été depuis toujours le visage du Saiyan, bardé de corne et de deux dents en pointe comme les tigres à dent de sabre des anciens temps.
Sa vision autrefois montrant uniquement le paysage désormais affichait bien plus que cela. Un nuage rouge où se trouvait du sang, des pulsations régulières : des battements de cœurs. Des battements de coeurs qui demandaient à être libérer de leurs prisons de chair. Des bras qui demandaient à être brisé, des yeux qui voulaient être libérer de leurs fardeaux pour voir.
Tant de choses à faire, si peu de temps. Libérer, libérer de ce jeu enfantin, libérer de ces chaînes, libérer de la moral, libérer… Il devait libérer chaque participant, les uns après les autres. Qu’ils l’acceptent ou non.
Libérer de ces pièges de chairs.

Aucun son ne sortit du libérateur, tandis qu’il se mit soudainement à courir à l’intérieur de la maison, un bruit de bois arraché. Une porte qui s’ouvrit. Quelques instants plus tard le Héro Oni quittait la maison d’un pas joyeux vers son lieu de travail. Sur lui un bout de chaise faisant une massue parfaite rangé sur son dos, dans sa main un autre bout de bois pointu suffisant pour transpercer la chair. Ainsi qu’une longue chaîne parfaite pour attraper, immobiliser, étouffer, ou tout simplement fouetter.
Il avait également sur lui les crochets servant à l’origine pour crocheter. Mais leurs bouts pointue seront suffisant pour se planter dans la chair.

Une bonne journée en perspective commençait ! Et l’Oni se dirigeait désormais vers… Et bien là où il le souhaitait. Et il avait faim, dévorer un lapin sera un bon petit met pour commencer la journée. Mais... Il pouvait le voir ce nuage de sang qui planait là où se trouvait les pauvres malheureux dont il devra bientôt s’occuper, le nuage l’indiquait et les pulsations des cœurs semblaient l’appeler en permanence. Un appel qu’il devait absolument prendre et satisfaire ! Il aurait peut-être du prendre un couteau pour les sortir plus facilement tout de même… Bah il fera sans ! On ne pouvait pas avancer dans la vie sans mettre un peu les mains dans le cambouis ! Patience patience patience !

Sans un bruit désormais, ses propres pensées lui disparurent. Plongé dans un silence total, n’entendant que les bruits ambiants.

Hey... pssst ! Auriez-vous vue une chanteuse de Jazz dans le coin ? On raconte qu'une dame en robe de soirée venait tout juste de disparaître, tel un mirage au beau milieu de cet enfer. Oh, en parlant d'enfer justement, vous voulez entendre une information croustillante ? Il paraîtrait que la voix angélique de notre très chère Aonori est en train de résonner ici, en ce moment même. Quoi ? Vous me demandez ce qu'est cette nouvelle chanson ? Mais enfin, c'est celle des supplications, bien sur ! Il n'y a rien de plus beau à entendre que les hurlements d'un ange. Allez, pleure ma belle, crie ma chère car très bientôt, le démon viendra te cueillir dans la petite cage ou tu as magiquement été transportée. Ravissante colombe, nous ignorons tout de toi et nul ne sait vers quel dieu se tourneront tes prières mais une certitude perdure dans nos cœurs. Tu vas souffrir le martyr sale chienne que tu es ! Meurs, toi et toutes les créatures de ton espèces !  Que tes os soient rompus et ta chair déchirée ! Subit l'humiliation ! Que ta pureté soit souillée à tout jamais ! Que tes larmes et ton sang se déversent sur la terre depuis le ciel et délivre nous de ta présence ! Amen.

DU BOULOT ! Ho que oui ! Enfin du boulot ! Son sixième sens -non pas l’intuition féminine connard- et surtout les battements de cœurs lui avait signalé quelqu’un dans sa propre maison ! Comment ? Pourquoi ? Il s’en fichait complètement ! Tout ce qu’il voulait désormais était de s’occuper de son invité et il avait couru ! Couru à toute berzingue à tel point qu’on aurait put aisément imaginer une ligne de feu dans son sillage.
Et là devant lui, une magnifique femme enfermé dans l’une de ses cages cherchant à sortir. Un coup de Demigra très certainement mais il allait en profiter, mais pas de panique il n’allait pas faire durer le plaisir !

De son pieu, il transperça purement et simplement la tête de l’invité qui mourru sur le coup. Pourquoi faire souffrir ? Après tout, il n’était pas non plus un sadique… Sauf envers les lapins qu’il avait gobé vivant mais bon IL AVAIT FAIM DONC TA GUEULE, le corps d’Aonori désormais gisait sans vie dans la cage, cage rapidement ouverte et l’Oni voulait débuter son travail de libération du cœur… S’apprêtant à déchirer les vêtements de la femme quand il se stoppa net.
… Il ne pouvait PAS LE FAIRE ! PAS LE FAIRE PAS LE FAIRE PAS LE FAIRE ! Et pourquoi ?
Et bien très cher lecteur qui s’imaginait des saloperies, PARCE QU’ON NE DÉCHIRE PAS LES VÊTEMENT D’UNE FEMME BORDEL DE PUTAIN DE MERDE !
On a quand même des standard tout de même. Et il est hors de question de voir le moindre petit bout qui aussitôt foutrait du rating +18 bordel !
A la place il se contentera de laisser faire le temps, et il trainera le corps durant la nuit dans la forêt pour que Mère Nature s’occupe du reste.


Et puis quoi encore ? L’Oni veut bien libérer des coeurs, mais pas si ça implique une tel indécence que de foutre torse-nue une femme !