| De la menthe et des cerises | |
| | Age : 24 Date d'inscription : 03/10/2020 Nombre de messages : 122 Rang : - TechniquesTechniques illimitées : Goliath / Trucage / CacophonieTechniques 3/combat : Jet de Gros Trucs / Traumatisme CrânienTechniques 1/combat : Corps Perdu
| Sujet: De la menthe et des cerises Dim 11 Oct 2020 - 16:17 La plus belle ville fantôme au monde.
Il y avait une centrale électrique non loin de là. Les lampadaires s’allumaient tout seuls la nuit. Les ampoules ne grilleraient probablement jamais. La route était fraîchement goudronnée, sèche, plus noire et blanche que la philosophie d’un gosse. Cette dichotomie aurait un sens quelque part, un jour, probablement. Tout était symbolisme à un moment ou à un autre. Il y avait un immeuble vide plein de bureaux. Aucune enseigne, aucun symbole. N’importe quel gros commerce pouvait s’installer ici. Il n’y avait presque plus de puissants déjà installés. Les banques étaient parties en fumée avant de réapparaître, impeccables, avec leurs coffres vides et immaculés. Sept milliards, anéantis. Plus de surpopulation. Plus d’injustice. La nature reprenait sa place. L’architecture était désignée pour accueillir. La propriété n’était plus lucrative. Tout le monde pouvait avoir accès à tous ses besoins. Dans le noir de la nuit, deux yeux rouges se promenaient dans la ville fantôme. Ils illuminaient chaque bâtiment. Tant d’espace à aménager. Le bol n’est utile que s’il est vide…
Une ombre était brûlée contre l’immeuble.
Le miracle des villes reconstruites avait effacé toutes les signatures. Plus aucun artefact dans les musées, plus aucune photo de Papi et de Mamie. Des clouds perdus dans l’internet on tentait à tout pris de sauver les films, les séries et les jeux. Le patrimoine de la fiction et de la culture devait courir sans ses jambes. Tant mieux, l’iconoclaste se dit, tant mieux. Moins de distractions et plus d’actions. On arrêtera de parler de l’anti-consumérisme de Fight Club et on commencera à éclater le consumérisme avec nos poings. Mais ça aurait plus d’impact de dire ça s’il restait encore un consumérisme. Un camion passe, illumine les lampes rouges de ses phares, klaxonne, dérape et se rétablit, se tire loin d’ici.
Si seulement les moustiques s’étaient éteints avec les bombes. Quelle magnifique beauté de pouvoir dormir la nuit sans être distraits par le bourdonnement et les boutons.
Il avait eu ce job d’été dans une maison de retraite. Une aide, un homme à tout faire. L’autre connard serait venu lui accrocher des burnes pour les lui éclater aussitôt s’il avait appris ça. Il préférait faire le malin. Il se souvenait de ses dents en avant, de son visage tristement imberbe et des insultes des vieux. Il poussait le fauteuil roulant de madame Delanaux, une petite vieille qui n’avait eut comme crime d’avoir un certain dédain pour les demi-dieux volants dans le ciel et capable de raser une ville d’un mouvement de la main. Mais bon, les vingt dernières années n’avaient pas été clémentes. D’abord un vieux Namek, puis un grand chauve volant, puis un homme insecte… Tous les cinq ans, c’est la même chose. C’était inimaginable que de penser que la génération d’avant avait eu des étoiles plein les yeux quand on leur parlait de vie extraterrestre. Mais Delanaux avait été de ces gens. Cela n’avait plus été le cas.
La télévision était allumée. La maison de retraite était éloignée des grandes villes. Les Saiyen étaient de nouveau arrivé sur Terre. Soudainement, plus rien. Plus d'électricité, plus de télévision. Des gros tremblements de terre. On s'agrippa à tout ce qui était à proximité. Un ancêtre se cassa la hanche. Des vitres se fracturèrent. Des infirmiers eurent le réflexe d’aller activer des moteurs électriques de secours. Beaucoup avaient besoin d’équipement électrique, ici. Il suffisait d’un court-circuit pour mettre une poignée de grand-parents face à face avec la mort. L’électricité ne revenait pas toute seule. Il fallait y aller manuellement, malgré les secousses.
Monsieur Pickleworth avait sorti son téléphone portable. Il avait fait de son mieux pour s’habituer aux nouvelles technologie. Twitter lui avait tout dit. Ses yeux s’écarquillèrent. Marcos se souvint du mouvement de ses lèvres quand il annonça la destruction de toutes les grandes villes terriennes. Il ne se souvint pas de sa voix. Certains l’accusèrent de dire des conneries. Certains pleurèrent. Madame Delanaux eut une crise de panique. Ses trois enfants, leurs enfants à eux, tous potentiellement parti en fumée. La plupart étaient silencieux. Marcos ne se souvint pas de ses émotions à lui. Il savait juste qu’il n’était pas censé bosser ce jour-là. Il avait décidé de remplacer un collègue pour que celui-ci récupère d’un mauvais rhume.
Cette ombre brûlée ne se différenciait que par sa mort. Le clochard qui s’était assis contre ce mur avant de l’avoir signé avec sa graisse carbonisée n’était qu’un autre vagabond parmi tant d’autres. Maintenant, il choquerait tout le monde. On passera à côté de ce souvenir et on se souviendra de pourquoi et comment l’humanité se fit encore violer par des envahisseurs. Peut-être qu’on en fera un monument. Une vingtaine d’artiste peindront des toiles de larmes et de flammes. Rien ne sera atteint. Rien ne sera fait. Des dieux simiens se baladeront encore et toujours dans le ciel. Même si on venait à créer de quoi limiter la reproduction infernale de ces créatures, ils finiraient par baiser les autres espèces. Leurs gènes s’adaptent à n’importe quoi, après tout.
Serait-ce trop demander qu’une météorite s’abatte sur leurs planètes ? Les réduire à quelques millions, les rendre dociles. Les faire se préoccuper d’autre chose que du bonheur des autres civilisations. C’est dur de garder une pensée humaine quand il n’y a que des statistiques et du vide en face de soi. Les Saiyen existaient depuis plus de trente ans. Pourquoi la Terre n’avait-elle pas développé d’arme pour les combattre ? Donner à chaque ménage un revolver capable de percer leur épiderme de gorille magique de merde. Rendre l’hégémonie aux terriens.
Mothman, Mothman, can’t you see ? Sometimes Man must kill a Monkey And… mmh...
Quoi mettre de plus ? Les yeux rouges dans la nuit s’éloignèrent de la chair cramée contre le béton. Il avait les deux premiers vers. Il lui fallait plus, quand même. Les prochains fils de pute à queue de singe qui chercheraient la bagarre devaient se prendre une claque monumentale, mais il fallait un minimum de build-up avant de leur dévisser les poignets et de leur décapsuler les yeux. Avoir un truc à chanter, c’était peut-être plus classe que de faire un autre speech à voix haute face à de futures victimes. Oh. Ils avaient rétabli un musée, ici. “Galerie Elton”. C’était mignon. Il traversa la route en se préparant pour le saccager. Il n’y avait aucun témoin pour dire que ce serait sa faute, après tout.
Il entendit un camion à nouveau. Sa tête se tourna vers la droite, au milieu du passage clouté. Un rire large. Les roues tournaient à vive allure. Le moteur était audible depuis un demi-kilomètre. Un attardé roulait à pleine vitesse dans le noir. Les yeux rouges virent des tâches sur le pare-choc. Les lumières du phares étaient toutes proches, maintenant. Le choc était imminent.
”Roh, ça va être génial.”
Ses mains s'agrippèrent aux deux côtés du capot. Ses pieds s’enfoncèrent dans le goudron. Les roues tournaient et se frottaient contre le sol. Le conducteur avaient des cheveux en pic, partant dans tous les sens. Il était poilu. Il était sale. Ses yeux trahissaient son héritage. Le sang sur la vitre trahissaient son crime. Les doigts de Marcos s’enfonçant dans l’acier trahissaient sa destiné. Il souleva le véhicule avant de tourner sur lui-même de le catapulter dans le musée, détruisant probablement une soixantaine de peintures inutiles pleurant le massacre, ou bien ayant été conservé au lieu des vies humaines. Qui en avait quelque chose à foutre ? Il s’avança dans les débris et arracha la portière, avant de saisir le macaque. Ce dernier voulut tenter de le giffler en hurlant. Marcos donna un coup de tête dans son poignée. Crac. Il enfonça ses doigts dans sa bouche et en ressortit un petit paquet de dents, toutes appartenant à ce chauffard dangereux. Quelqu’un adorerait l’avoir en taule. Il doit valoir quelque chose, quelque part. D’une claque, il enfonça les dents dans son torse. Cela devrait suffir à le faire couiner de douleur le temps de le jeter quelque part. Malgré le rétablissement des infrastructures, il y avait tellement de bandits qui ne demandaient qu’à faire les malins sur des petites populations ou des habitants perdus. Marcos le prit par la jambe et le fit traîner dans les décombres qu’il enjambait tranquillement.
”T’as de la chance, connard, tu devrais survivre le temps que je te jette devant un commissariat des environs. D’autres t’auraient juste décapités. Mais bon, on sait tous les deux que tu mérites pas de survivre. ”
L’autre continuait de couiner non-stop. Il valait mieux s’en aller avant que ça commence à attirer le peu de monde qui vivait véritablement ici.
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| Sujet: Re: De la menthe et des cerises Ven 20 Nov 2020 - 19:32 Cela faisait maintenant 4 mois que moi, Izuku Midoriya élèves de secondes A, en filière héroïque et reçus le pouvoir du numéros un des super-héros ALL MIGHT. Moi Izuku n'a pas eu de chance dans la vie, je suis née sans alter (pouvoir) malgré mon rêve de devenir le numéro un des héro le prochain symbole de la paix. J'ai faillit abandonner se rêve de ma temps, quand un beau jour all might le symbole de la paix, mon idole. Il m'a donné la chance de devenir le futur symbole de la paix en me transmettant son alter, le ONE FOR ALL.
Cet alter est le seul alter capable, de se transmettre de génération en génération ce pouvoir, est comme un flambeau qui se religue de génération en génération, qui deviens plus puissant de porteur en porteur Ces donc moi le jeune Izuku le neuvième porteur de se flambo qu'est le one for all.
met mon seul problème avec cet alter et, que je ne sais pas le métriser à ca pleine puissance.
Comme le temps passait vite ca faisais déjà donc quatre moi qui se son passais j'était donc, enfin en vacance mais, ce n'est pour autan que je vais relâcher mes effort j'ai beaucoup à apprendre si je veux devenir un héro. Je me suis donc décider à aller courir pour entrainer mon corp, j'aurais quand même voulut que all might sois la pour m'aider mais malheureusement, il est beaucoup trop occupé à cause de l'incident qui c'était produit sca il y a, un mois de cela.
Je me suis mit donc à courir quand soudainement , je vit une camion foncer à pleine vitesse sur un individu, je me mit soudainement à courir vers l'individu pour essayer de le secourir mais , trop tard l'engin l'avait percute.
*non, non!!!!!*.
Non, je n'est même pas put sauver un innocent qui se trouvé en face de moi, comment pourrai-je devenir un héro, je suis alors écrouler au sol avec une impuissance face à la situation. Quand j'entendait un bruit, je relève alors ma tète et vie la personne que je croyais sous les roue porter la voiture, j'eu soudainement un soulagement je me relevait et des que je fut arriver debout l'homme, arrache un paquet de dent au bandit.
Je me mit soudainement à devenir pale face à cette horreur, que faire essayer d'arrêter cet homme, ou partir comme si de rien n'était. Comment je dois réagir, comment aurait réagit all might à ma place, tout ce mélange dans ma tète que dois je faire. je prit soudain une grande inspiration pour me calmer et reprendre mes esprit et je fonçais vers le bandit en courant pour lui adresser un simple coup de poing.
Apres avoir fais cela je m'éloigner de lui, tout en continuant à garder une respiration stable pour rester calme.
"je ne sais pas qui vous êtes mais vous feriez bien, de laisser cet homme tranquille". | | Age : 24 Date d'inscription : 03/10/2020 Nombre de messages : 122 Rang : - TechniquesTechniques illimitées : Goliath / Trucage / CacophonieTechniques 3/combat : Jet de Gros Trucs / Traumatisme CrânienTechniques 1/combat : Corps Perdu
| Sujet: Re: De la menthe et des cerises Ven 20 Nov 2020 - 23:30 Les deux yeux rouges avançaient toujours dans l’obscurité, et en dessous traînait une source de couinements. Une main sur la mallette, une autre sur la cheville de conneau le choffard. On évite de se faire renverser par la bagnole et mattez-moi ça, on a un petit macaque homicidaire sous les bras. Du cash facile. C’était une bonne nuit de boulot, quoi. Une qui avait décidé qu’un probable criminel recherché se trouve en plein face au plus terrifiant et au plus stylé des chasseurs de prime, bien sûr. Et puis il se prit un coup de poing dans l’arrière de la tête.
”Aïeuh !”
Il posa sa mallette sur le sol avant de se frotter l’arrière de la tête. Un cri assez plaintif, pas très monstrueux. Il appartenait plus au registre de “ah mais merde mais ça se passait bien jusque là pourquoi faut qu’un con me tape l’arrière de la tête ?” que de celui de “QUI OSE ATTAQUER L’INVINCIBLE MOTHMAN ?!” Les ronds carmins et brillants dans l'obscurité s’étaient caché à l’aide de ses paupières, le rendant invisible un court instant dans le noir de la nuit.
”Aaaah… Fils de puteuh, mais qui c’est le con qui...”
La figure démesurée et horrifiquement bossue tourna les phares couleur sang dans la direction de celui qui lui avait giflé l’occiput. Vous vous êtes déjà fait jeter un caillou sur l’arrière de la tête ? Genre, un petit. Ça vous aurait fait mal mais ça n'aurait eu aucune conséquence sur vos facultés cognitives. Et c’était ce que ressentait le Mothman à présent. Une douleur nuisible au-dessus de sa nuque et deux quarts de cercles qui trahissaient un grand agacement.
”Qu’est-ce que tu veux, gamin ? C’est pas censé être tard pour toi ? T’as pas genre, des devoirs à faire ou un truc comme ça ?”
C’était, euh… c’était un gosse. Un gosse qui devait avoir des problèmes familiaux parce qu’il se... teignait les cheveux en vert ? Ouais, c’était clairement des cheveux verts. Pauvre petit. Et aucun coiffeur à l’horizon en plus. Gros yeux hagards, tâches de rousseurs, et les cheveux susmentionnés. Oh mon dieu, un garçon précoce qui commence à avoir de mauvaises notes. Et en vêtement de sports, en plus. Au moins il se prenait physiquement en main. C’était admirable. Franchement. Mais voilà qu’il lui demande de larguer sa capture du jour. Ah, probablement un justicier amateur qui n'avait pas vu toute la situation.
”Non, je pense pas que je vais faire ça. Vois-tu, le Saiyan que j’ai dans ma main droite vient de tuer un camionneur, laissant de nombreuses traces de sang dans le véhicule. Et moi je suis un chasseur de primes. Un bandit d’une autre planète tue un citoyen terrien, j’arrête le bandit, je le mets hors d’état de nuire, je le dépose auprès des autorités.”
La créature de plumes et de membranes s’approcha du garçon aux gros yeux ramassa sa mallette à nouveau et s’approcha du petit garçon sorti tout droit du collège. Il s’arrêta devant la lumière d’un lampadaire, toujours camouflé par l’obscurité, laissant sa forme vague intimider le pauvre gosse. Un mastodonte face à un pygmé. Il le dépassait d’une demi-douzaine de têtes, sans même se tenir droit. Il reposa sa valise métallique sur le sol, avant de dresser son hideuse main désarticulée et de la faire disparaître sous les ailes qui cachaient son corps comme un manteau. Il en ressortit une petite carte qu’il tendit vers le gosse. On voyait un petit mothman aux yeux souriant qui tendait le bras avec le poing fermé et le pouce en l’air, et quelques lignes autour du poing qui faisaient éclat de lumière. À côté, un numéro de téléphone, ainsi que son nom et prénom. Derrière, des informations typiques du service d’un mercenaire/chasseur de prime. Marcos était prêt à servir de garde du corps (avec RELATION D’ÉGAL À ÉGAL marqué en gros à côté), de traqueur, de muscle pour intimider, ou véritablement de combattant à envoyer tabasser les êtres dangereux du moment. Il était marqué qu’il fallait des preuves à l’appuis pour les actions criminels de potentielles cibles, et qu’il ne tuait également pas. Il ne s’attaquait pas non plus physiquement aux enfants.
”Le dessin est mignon, hein ? C’est ma meilleure pote qui l’a fait. Enfin, comme tu peux le voir, je suis légalement autorisé à utiliser ma force contre des malfaiteurs tant que le résultat n’est pas létal.”
Le connard tenu par le col couina de douleur.
”Chut, toi.”
Les yeux se tournèrent à nouveau vers Cheveux-verts l’ahuri.
”Mais dis-moi, gamin, qu’est-ce que tu fous tout seul à vingt-trois heures un mardi soir, dans une ville désaffectée ? Genre, tu fais du jogging si loin de chez toi, la nuit ? Où qu’ils sont, tes parents ? Ça peut être dangereux, tard le soir, comme ça. Tu peux rencontrer des malfaiteurs en tout genre. Pire, peut-être des Saiyen !” | | Age : 19 Date d'inscription : 01/11/2020 Nombre de messages : 68 Zénies : 1400 Rang : - TechniquesTechniques illimitées : Detroit Smash/ St Louis smash/one for all revêtement intégraleTechniques 3/combat : Delaware Smash/Manchester smashTechniques 1/combat : Delaware Detroit Smash
| Sujet: Re: De la menthe et des cerises Sam 21 Nov 2020 - 16:09 Apres que je lui est adressé se coup de poing, qui n'avait rien d'incroyable j'eu un moment de regret en entendent les insultes de l'homme qui se trouve en face de moi.
*Pourquoi j'ai fais ca moi, et si maintenant il veut se battre, contre moi je suis débile je ne sais même pas contrôler le one for all, comment je pourrai me défendre*.
Je me mit alors à réfléchir à se que j'ai put voir, de quoi est capable cet homme. - un il à une sorte de super force. - deux il est super violent à ce que j'ai pus voir. - trois il peut résister à un camion à pleine vitesse.
Je fut interrompu soudainement dans ma réflexion par l'individu qui me dit:
”Qu’est-ce que tu veux, gamin ? C’est pas censé être tard pour toi ? T’as pas genre, des devoirs à faire ou un truc comme ça ?”
L'homme me prenne surement pour un gamin, en même temps je le comprend je n'ai pas trop une tète de lycéen, et pas trop le caractère qui va avec. Mais bon, je ne répondais pas j'était bien trop occupé à, examiner celui que j'avais en face de lui de haut en bas, puis j'observé au passage la sorte de scène de crime qui avait eu lieux il y a quelque minute de ca. L'homme me réadressa la parole une secondes fois.
”Non, je pense pas que je vais faire ça. Vois-tu, le Saiyan que j’ai dans ma main droite vient de tuer un camionneur, laissant de nombreuses traces de sang dans le véhicule. Et moi je suis un chasseur de primes. Un bandit d’une autre planète tue un citoyen terrien, j’arrête le bandit, je le mets hors d’état de nuire, je le dépose auprès des autorités.”
En entendant cela, je me senti gêné car cet homme en face de moi, n'est pas un criminel comme je le pense pais une sorte de chasseur, je m'abaissait et lui présente mes plus sincère excuse de l'avoir accuse sans preuve.
"Veuiller m'excuse, de vous avoir tapé, j'ai crut que vous étiez un super vilain excuser moi".
Je repensais soudainement à quelque mots que l'homme m'avait dit, comme sayan ces quoi un sayan une sorte d'alter, un nom de bandit ou quelque chose du genre? Mais je fut rassure que l'homme au final n'est pas de mauvaise intension, cela me rassura je laisse donc sortir un soupir de soulagement. Mais je devrai quand même, en parle à all might en rentrant de ce que je viens de voir au cas ou on ne sais jamais.
L'homme s'approchait de moi il était beaucoup plus grand que moi, à mon avis il devait surement êtres plus grand que all might, mais l'individu se rapprochait de moi j'eu soudainement un frisson qui parcourut tout mon corp, j'était tétanise de peur. L'individu me tendit une sorte de carte, je prit donc la carte sur celle ci on pouvait constater le nom et prénom de la créature. Je regardais attentivement la photo sur la carte afin de mémoriser son apparence, puis l'homme me racontait qui avait fais le dessin sur la carte et qu'il était en droit de faire ce qu'il faisais. Ce que je comprit bien évidement.
Le bandit que Marco tenait se mit a couiner, je me mit alors a le regarder surpris qu'il ne sois pas inconscients, puis la créature me posa encore des question, se qui ne me gêner pas.
”Mais dis-moi, gamin, qu’est-ce que tu fous tout seul à vingt-trois heures un mardi soir, dans une ville désaffectée ? Genre, tu fais du jogging si loin de chez toi, la nuit ? Où qu’ils sont, tes parents ? Ça peut être dangereux, tard le soir, comme ça. Tu peux rencontrer des malfaiteurs en tout genre. Pire, peut-être des Saiyen !”
"quoi il est déjà vingt-trois heures!!!!!!!!!!!!!".
Mince je n'avais pas fais attention à quelle heure il était, et en plus je n'ai n'y fais attention ou je me situer, mince j'était trop occuper à penser tout en courant que je n'ai même pas fais attention.
"En tout cas je voulais encore m'excuser de vous avoir taper, et au faite avant que j'oublie moi je me nomme Izuku Midoriya apprenti héro au lycée ua". | | Age : 24 Date d'inscription : 03/10/2020 Nombre de messages : 122 Rang : - TechniquesTechniques illimitées : Goliath / Trucage / CacophonieTechniques 3/combat : Jet de Gros Trucs / Traumatisme CrânienTechniques 1/combat : Corps Perdu
| Sujet: Re: De la menthe et des cerises Sam 21 Nov 2020 - 18:03 Super vilain ? Est-ce que ce petit con s’était cru dans un Marvel ? Ah, ça devait expliquer le petit coup dans l’arrière de la tête. Mais genre, il faisait du jogging, et puis soudainement il décida d’aller gifler une bébête qui fait le double de sa taille sous prétexte qu’elle tenait un gars dans sa main ? Il n'avait pas non plus l’air terrifié du gigantesque homme-hibou-papillon de nuit qui se tenait dans l’obscurité face à lui. En fait, il courbait le dos pour s’excuser. Marcos s'était-il retrouvé au Japon ? Genre vraiment, il pensait qu’il était en Amérique, jusqu’à présent. Il n’avait pas vu de salaryman mort de fatigue sur les bancs jusque là ou bien de travailleurs en plein burn-out décidant de se jeter d’un immeuble. On devait pas vraiment être au pays du soleil levant, alors.
Et puis, quand on lui annonça qu’il était vingt-trois heures, il hurla. Très, très fort. Comme si sa phrase avait été suivie de treize points d’exclamation. Mais bordel, c’était quoi son problème ?! Il était vraiment si surpris que ça de ne pas avoir remarqué la nuit noire autour de lui ? Sa voix aiguë lui avait ébouriffé les deux antennes qui lui servaient d’oreilles. Oh pauvre de toi, Cheveux-vert. Non seulement t’as une tête à te perdre dans un pré à vache, mais ta voix est l’une des pires que le Mothman ait jamais entendu.
”Pas besoin de crier… Regarde autour de toi, il fait nuit, mec. Heureusement qu’il est vingt-trois heures avec une obscurité pareille, sinon on aurait des soucis à se faire.”
Izuku Midoriya. Suce du cul Mie de Riz, ah ! Oh bordel, Marcos, t’es déjà si crevé que ça ? Il s’excuse à nouveau, encore plus désolé de ses actions qu’un canadien. Il lui avait dit qu’il allait au lycée UA. Généralement, quand on utilisait un acronyme, c’était qu’on estimait que l’autre savait à quoi ça correspondait. Cependant, le Mothman n’avait jamais entendu parlé d’un lycée UA. Le pauvre, avoir gardé cette tête et cette voix au lycée, il demandait qu’à se faire harceler.
”Écoute, mon gars, c’est pas que j’en ai rien à foutre, et j’apprécie tes excuses, mais je m’inquiète surtout de pourquoi t’es tout seul dans une ville quasiment inhabitée, si tard le soir. C’est bien de faire du jogging, qu’importe l’heure, hein, mais il y a personne ici en dehors de personnes mal intentionnées et des flics. Ce qui me rappelle qu’il faudrait que je dépose monsieur au commissariat afin de me faire un peu de sous...”
Il sortit rapidement son portable avant d’aller sur Maps pour voir où était la maison de keufs la plus proche. Ah, deux rues de là ! Il rangea son téléphone et reprit sa valise. Une mallette dans une main et un connard dans une autre, il entama sa marche vers le bâtiment où on déposait les aliens délinquants. Passant sous le projecteur, ce dernier eut une panne de courant au moment où la figure imposante du papillon d’obscurité aurait pu être révélée, le laissant difforme dans l’obscurité.
”Hey, tu devrais me suivre. Je me sens pas bien chaud de laisser un gosse tout seul au milieu de pétaouchnok. Je le dépose et puis je te ramène chez toi, ça te va ?” | | Age : 19 Date d'inscription : 01/11/2020 Nombre de messages : 68 Zénies : 1400 Rang : - TechniquesTechniques illimitées : Detroit Smash/ St Louis smash/one for all revêtement intégraleTechniques 3/combat : Delaware Smash/Manchester smashTechniques 1/combat : Delaware Detroit Smash
| Sujet: Re: De la menthe et des cerises Dim 22 Nov 2020 - 15:15 j'ai plein plein de question, à poser à la créature qu'elle était son alter, ou encore ces un costume qu'il porte ou son corp, de ou il venait et j'en passe. Mothan me dit brusquement d'arrêter de crier, en même temps j'était tellement surpris de l'heure qu'il était, j'espère que maman ne s'inquiète pas trop, je la préviendrai après pour la rassurer.
”Écoute, mon gars, c’est pas que j’en ai rien à foutre, et j’apprécie tes excuses, mais je m’inquiète surtout de pourquoi t’es tout seul dans une ville quasiment inhabitée, si tard le soir. C’est bien de faire du jogging, qu’importe l’heure, hein, mais il y a personne ici en dehors de personnes mal intentionnées et des flics. Ce qui me rappelle qu’il faudrait que je dépose monsieur au commissariat afin de me faire un peu de sous...”
Ces vrai que j'aurais du faire attention à l'heure qu'il était, en plus je viens à peine de me rendre compte que j'ai oublie mon téléphone chez moi, mince du coup impossible de prévenir maman je suis sur qu'elle va se mettre à paniquer, j'eu soudainement un remord, elle se donne du mal pour m'aider en me fabriquant un costume, en me soutenant et moi je ne fais que la faire des frayeurs. j'irais m'excuser en rentrant, en espérant qu'elle n'est pas appeler la police ou me lycée.
*je devrai rentrer vite, avant d'avoir des ennuies*
j'était sur le point de dire aurevoir à mothan, quand il me proposa de le suivre par question de sécurité car, il avait surement peur qu'il m'arriva quelque chose. Que faire le suivre au comicairia et perdre beaucoup plus de temps mais, revenir en un seul morceaux ou bien, ne pas le suivre mais de grande chance de revenir blesser ou même pire mort, vue que je ne contrôle pas mon alter. Bon le choix et vite fais je vais suivre la créature.
"D'accord je veux bien vous suivre".
C'était donc l'occasion, de lui poser poser question que j'avais penser.
"Excuser moi, j'ai quelque question à vous poser: qu'elle est votre pouvoir, s'est un costume que vous portez ou ces vraiment votre apparence normal, que veut dire sayan et dernier question d'où venait vous exactement".
J'avais hâte d'entendre ces réponses je sortit alors, un de mes carnet de note sur les super-héros cela tombe bien c'était un tout nouveaux en plus, j'était prêt à noter tout se que la créature allais me dire. | | Age : 24 Date d'inscription : 03/10/2020 Nombre de messages : 122 Rang : - TechniquesTechniques illimitées : Goliath / Trucage / CacophonieTechniques 3/combat : Jet de Gros Trucs / Traumatisme CrânienTechniques 1/combat : Corps Perdu
| Sujet: Re: De la menthe et des cerises Mar 24 Nov 2020 - 0:24 Heureusement, cette tête à claque savait qu’il fallait éviter d’être seul passé vingt-trois heures, surtout avant d’avoir la gueule d’un gars qui sait se défendre. Marcos était assez terrifiant pour décourager n’importe qui de s’approcher d’un lycéen perdu tout seul au milieu de la nuit. Avoir la tête tournée vers ce jeune con qui rapidement se rapprochait avait l’air d’une distraction pour son prisonnier, qui tenta de remuer prestement pour se sortir de son pétrin. Il n’eut qu’un coup de genou dans le pif pour le calmer. Une fois ses narines bouchées par son propre sang, il recommença à geindre de temps à autre, sans rien faire de plus.
”Tais-toi, toi.”
De nouveau, il marcha en avant. Et c’est là que l’autre se mit à lui poser des questions. C’était quoi qu’il pouvait faire, est-ce que sa sale gueule était naturelle, qu’est-ce qu’un macaque de l’espace, et vas-y d’où vient-il. Il eut un instant de vide mental vis-à-vis de cette soudaine suite d’interrogations, en particulier quand elles étaient listées de cette matière. Sa tête regarda vaguement l’horizon, avant de se tourner vers le jeune.
”Genre t’as jamais entendu parler de Saiy - d’où tu sors ce carnet, mec ? Tu prends un carnet pour faire du jogging ?”
Qui prend un carnet pour faire du jogging ?
”En fait, tu sais quoi, je vais pas poser la question, peut-être que tu prends des notes sur des refs pour faire de l’art ou quoi, t’as une teinture verte dans les cheveux, t’as une gueule à être dessinateur - Je veux dire, j’estime qu’une majorité de cheveux colorés font généralement de...”
On juge des adolescents incertains qui cherchent à se trouver un look qui leur plaît, Marcos ?
”De… de… Euh, mes pouvoirs, mon costume… C’est pas un costume, non, je suis vraiment un vrai Mothman ! Je fais genre, deux mètres cinquante, peut-être plus, je crois ? J’ai des grandes ailes que je peux déployer, j’ai des grands bras qui peuvent soulever des bus, je peux me relever après m’être fait percuté par un TGV...”
Il pointa le doigt vers les lumières qui s'éteignaient sur son passage et qui se rallumaient derrière lui.
”En plus, je suis perpétuellement entouré par l’obscurité, comme ça. Parfois c’est le brouillard, parfois c’est l’ombre d’une forêt, parfois c’est la fumée d’un incendi et parfois c’est juste toutes les fenêtres qui se ferment en même temps quand j’entre dans une maison. Mais généralement c’est juste que je sors la nuit. Ah, et sinon j’apporte la malchance sur mes ennemis. Je sais pas si c’est un pouvoir ou genre une simple qualification métaphysique d’un phénomène inexplicable autrement que par un déterminisme compliqué mais… mais… mais je crois que c’est plutôt cool de voir un ennemi tenter de te tirer dessus avant de voir son fusil se coincer.”
Le commissariat s’approchait à grand pas.
”Un Saiyan, c’est genre… Tu te rappelles des explosions de l’année dernière qui ont tué la moitié de la population terrienne ? C’était eux. C’était leur faute. Tu te rappelles quand le chauve et son petit copain ont détruit des villes entières il y a trente ans ? Fin, non tu te rappelles pas, t’étais pas né. Mais ouais, c’est pas la première fois qu’on en voit. C’est des extraterrestres et depuis qu’ils ont découvert la Terre, ils n’ont jamais fait quoi que ce soit d’autre pour l’anéantir. Et on les a laissé faire tellement de fois… En même temps, ils peuvent voler, faire des lasers avec leurs mains, se transformer en gorilles géants, ils peuvent devenir encore plus invincibles à chaque fois qu’ils se font battre. Mais, tonton Marcos vient d’en attraper un !… Une seconde...”
Les voilà arrivés. C’était le seul bâtiment avec une lumière allumée dans ce bled. Avec l’hôpital, si Marcos se souvenait bien. Terminant son dialogue, le Mothman posa sa mallette par terre et sortit une autre de ses cartes avant de l’appuyer contre la vitre après avoir toqué plusieurs fois avec son doigt. Un gars en vêtements de combat - bah oui, maintenant les humains sont sur-équipés après la dernière catastrophe - s’approcha lentement de l’autre côté du verre, regardant un instant la carte. Ses lèvres bougèrent, mais on n’entendit rien. Il sembla attendre une confirmation, puis hocha la tête en ouvrant la porte.
”Simple mesure de sécurité, monsieur, hum, Smith ? Toutes les stations ne sont pas renseignés sur les vas et viens de chaque chasseur de prime. Je présume que le gentilhomme que vous transportez est une cible ?”
Les lumières s’éteignirent alors que le Mothman entra dans la salle d’attente. Il n’y avait d’éclairage que celui des lumières d’un couloir plus loin et d’un écran d’ordinateur à la réception.
”C’est moi, c’est moi la lumière, ne vous inquiétez pas. Et ouais, ce connard a tenté de me percuter avec un camion. Et il y avait du sang dans le camion. Donc, meurtre, vol de véhicule, tentative de meurtre - bref, c’est les trucs de flics, j’aimerais juste être payé.”
”Avez-vous ramené le véhicule en question ?”
”Hhhhhh… Merde, ouais, j’aurais dû le prendre. L’est tout prêt, vous avez qu’à descendre la rue, il est rentré dans un, euh… un musée. J’ai dû me protéger en le faisant dévier dedans.”
D’autres types en armure moderne s’approchaient, plaçant à l’aide de perches deux parties d’un collier électrique autour du cou du macaque, avant de le forcer à les suivre tout en l’insultant de meurtrier et de macaque.
”Veuillez attendre ici, qu’on l’identifie, ça durera pas longtemps.”
”Okay...”
Putain, flemme d’attendre ! Enfin, il avait du temps à perdre pour… Isku ? Isku, quelque chose-a.
”Bon, et pour ta dernière question… Je viens d’une ville du Vermont… C’était un état d’Amérique, maintenant c’est une province. Y en a qui disent que ça a perdu en identité. Moi je sais qu’avant l’unification, ils avaient pas de sécurité sociale. Mais bon, avant d’être une grosse mite, j’étais un homme. En fait, ça fait pas si longtemps que ça que je suis un gros papillon de nuit...”
Il s’approcha des sièges de la salle d’attente, avant d’y poser sa valise. Il se retourna et posa son arrière-dos à côté.
”Et toi, tu viens d’où, pour le coup ? Parce que c’est bien, le lycée UA, mais j’en ai jamais entendu parler. Puis, sans être méchant, ça fait quarante ans qu’on sait que les Saiyen existent et tu les a jamais vu ? T’as été si isolé que ça pendant tes, genre, quatorze ans ?” | | Age : 19 Date d'inscription : 01/11/2020 Nombre de messages : 68 Zénies : 1400 Rang : - TechniquesTechniques illimitées : Detroit Smash/ St Louis smash/one for all revêtement intégraleTechniques 3/combat : Delaware Smash/Manchester smashTechniques 1/combat : Delaware Detroit Smash
| Sujet: Re: De la menthe et des cerises Mer 25 Nov 2020 - 17:32 je regardais de temps en temps le sayan que la créature tenait, il était vraiment dans un mauvais états j'eu quand même de la pitié pour lui le pauvre, il est quand même trainer de force et blesser, mais bon si il est comme ca, ces qu'il à quand même fonçait sur Mothan avec un camion ce n'est quand pas rien. Mothan répondit, à mes question se qui me rendait heureux car je voulais vraiment savoir de quoi il était capable et qu'est ca qu'un sayan exactement.
”De… de… Euh, mes pouvoirs, mon costume… C’est pas un costume, non, je suis vraiment un vrai Mothman ! Je fais genre, deux mètres cinquante, peut-être plus, je crois ? J’ai des grandes ailes que je peux déployer, j’ai des grands bras qui peuvent soulever des bus, je peux me relever après m’être fait percuté par un TGV...”
Je me dépêcher de noter dans mon nouveaux carnet, ce que la créature me disait ces quand même incroyable il peut, voler grâce à ces ailes afin de voler se qui est grandement pratique, il peut aussi soulever des bus ce qui n'est pas donner à tout le monde. Mais se que je retenait le plus c'était qu'il ne portait pas un costumes, c'était son apparence normal je me mit alors à le dessiner vite fait sur mon carnet afin d'avoir un visuel et, de me rappeler de son apparence.
Marco se mit aussi au passage à me répondre sur ma question qu'est ce qu'un sayan je prit, une autre page afin d'écrire se que la créature allait me dire. Il me dit qu'un sayan est capable de voler, lancer des rayons de leurs main et surtout de se transformer en gorille géant en entendant cela, je compris pourquoi ils était si dangereux vue de quoi ils étaient capable.
*whoua, si ils sont capable le de tel chose vaut mieux que j'évite de me battre face à eux en plus si il gagne en force à chaque combat, mais surtout ils ont plusieurs faculté un peux comme brenles???!!!!*.
En pensants à cela mon corp se figeât en repensant à brenles il avait quand même réussi, à blesser all might le symbole de la paix. Mais bon je ne dois plus penser à cela ces pas comme si il existait plusieurs brenles.
On était enfin arrive à destination j'eu un soulagement, d'êtres revenu en un seul morceau je me mit alors à regarder Marco qui se mit à poser sa mallette par terre et sortit, une carte qu'il mit contre la vitre, puis il ouvra la porte. Soudainement un homme apparut face à nous deux je fit alors un pas en arrière par méfiance en vers le nouvelle individu qui venait d'apparaitre face à nous deux. Je suivit Marco avec un peu de méfiance, on se trouvait alors dans se qui ressemble à une salle d'attente les lumières, s'éteignit alors je compris que c'etait à cause du pouvoir de Mothan.
”Avez-vous ramené le véhicule en question ?” Dit l'homme en armure à Marcos.
Attendais il voulais quand même pas le faire ramener le camion, ces quand même gonfler même pas un merci d'avoir ramener le sayan. je me mit alors à serrer les dents, d'autre homme surgit de la pièce et mit un collier au cous du sayan surement un collier électrique, mais se qui me marquais le plus ces la violence dont faisais preuve les individus, cela était vraiment brutal celons moi. L'homme en armure nous dit soudainement d'attendre ici en attendant qu'il identifie qui était le sayan que Marcos avait réussi à capture. Je compris tout de suite qu'il fallait attendre le contre rendu, en espérant que maman ne s'inquiète pas trop que je ne sois pas encore rentre. Je me mit alors à serrer les poings qui se trouvais sur mes genoux car je m'envoulais de ne pas avoir fais attention à l'heure.
Marcos répondait à la dernière question que je lui avais posé d'où il venait, il m'a dit qu'il venait du Vermon, un endroit en Amerique, qui sais peut êtres que all might a déjà sauve des vie las bas, je devrai lui demander en rentrant. La créature allait s'assoir et se mit à poser une question qui me surprenais.
"Quoi tu ne sais pas se qu'est le lycée UA!!!!! tu n'as jamais entendit parlé su symbole de la paix all might qui a était forme la bas comme la plus part des plus grand héros".
Je n'en revenais pas que quelqu'un n'est jamais entendu parle de UA ces pourtant la bas que les plus grands se font connaitre j'était vraiment stupéfiait de cela, mais pour moi savoir ca était plus logique que de savoir ce qu'est un sayan.
"eux non je n'ai jamais entendu parle des sayan avant que tu m'en parle, d'ailleurs merci de m'en avoir parle". | | Age : 24 Date d'inscription : 03/10/2020 Nombre de messages : 122 Rang : - TechniquesTechniques illimitées : Goliath / Trucage / CacophonieTechniques 3/combat : Jet de Gros Trucs / Traumatisme CrânienTechniques 1/combat : Corps Perdu
| Sujet: Re: De la menthe et des cerises Mer 25 Nov 2020 - 19:02 ”Arrête de gueuler...”
Vous devez vous souvenir des métronomes à billes. Une rangée de petites boules de métal et une dernière qui se jette sur le reste. L’impact est transmis à travers toutes et c’est celle de la fin de rangée opposée qui est alors catapultée en avant. En retombant, elle se cogne contre le reste du groupe, et c’est la première qui retourne dans les airs. Puis elle retombe elle-aussi, et ainsi de suite. Un continuel “poc, poc, poc”. Maintenant imaginez à la place des billes fixes le cerveau de Marcos. “Poc, poc, poc” sur la tempe droite, puis gauche, puis droite. C’était une parfaite représentation de la migraine du Mothman qui redoublait de puissance à chaque fois qu’Issku gueulait de sa surpuissante voix prépubère. Ouais, il avait encore griffé le tableau du silence avec ses cordes vocales. Tout ça parce que le papillon ne savait pas ce qu’était son lycée de merde, là.
”Aïe aïe aïeeeeuh… All Might ?... Genre, comme l’adjectif “All-mighty” ? Le même utilisé pour qualifier les dieux dans les textes sacrés ?... Ça pue un peu le gourou de secte, honnêtement...”
Il sortit son portable, tenté de faire une recherche internet sur ce qu’était ce lycée… avant de ranger son téléphone sans n’avoir rien fait. Il préférait ne pas savoir comment on éduquait les jeunes de nos jours. Il s’approchait dangereusement des trente ans. Il préférait ne pas s’ouvrir à un autre centre d’indoctrination de jeunes naïfs. All Might… Par ce seul nom il méritait de perdre sa mâchoire. L’égo de ce mec...
”En tant que l’un des… “plus grands héros”, il n’a donc rien fait contre l’attaque Saiyanne de l’année dernière qui envoya la moitié de la population terrienne dans sa tombe, j’imagine. S’il n’a jamais rien dit sur ces putains de singes de l’espace, c’est qu’il devait en avoir un peu rien à foutre de cette menace qui, qui fait plus d’une centaine de millier de morts humains par ans !”
Il prit sa mallette et la posa sur ses genoux. Une pensée traversa son esprit : et si, pour une fois, il évitait de s’engueuler avec n’importe qui au sujet de n’importe quoi. Et comme un papillon, elle disparut rapidement. Son coeur avait commencé à se serrer quelque peu. Il était très, très investi dans ses élans de grande gueule.
”Il était où durant la guerre de 1014, hein ? Est-ce qu’il a empêché les Black Feathers de prendre le pouvoir, ton All Might ? Est-ce que… Mmmh...”
Il se rattrapa dans l’instant. Il souffla… enfin, il en fit le bruit.
”Désolé, mec… je veux pas te niquer le moral. Mais j’ai une douzaine d’amis crevés qui me font signe depuis leur fosse commune que ton héros favoris a probablement rien foutu au moment où on attendait le plus de lui. Puis bon… les héros...”
Il ne termina pas sa phrase, mais on pouvait comprendre sa position par rapport à cette culture de l’héroïsme qui écartait l'œil publique des véritables tragédies.
”Tu m’as pas répondu, d’ailleurs. Tu sais, d’où tu viens. Si tu veux pas en parler, tu peux, mais genre… j’ai égayé ta curiosité, tu pourrais faire de même, quoi… Ah ! Attends !”
Il se releva en voyant l’un des membres des forces terriennes s’approcher. Il avait une petite machine dans la main. Marcos savait très bien ce que ça voulait dire : un montant certain de zénis serait transmis dans son compte bancaire à travers sa carte !
”Monsieur Smith, félicitations ! Vous avez appréhendé un criminel du nom de Bagabaga, meurtrier en série recherché depuis un moment, instable et violent. Votre...”
Sans tact, Marcos avait déjà envoyé sa carte à l’intérieur. Et bim ! 250 Zénies ! Avec ce qu’il avait à l’heure actuelle, ça devait lui faire 1150… Il ferait un transfert vers MOTHMAN MOTHMAN plus tard. Il arrondissait ça à 1000 pour lui, et 150 pour l’agence. Parfait ! Quelques appuis de boutons, et on lui rendit sa carte.
”Merci pour votre service ! Nous espérons que vous attraperez d’autres ordures pour la défense de la terre.”
Le papillon fit un simple salut avec deux doigts, avant de sortir du bâtiment. L’ampoule se ralluma derrière lui alors qu’il passait par la porte.
”Putain de merde, ces gars-là sont tellement hors de leur élément… Il y a des demi-dieux simiesques volant qui éclatent des villes d’un mouvement de la main, et eux, ils ont que des armes. Des pauvres fusils qui avec un peu de chance peuvent parfois faire mal à un de ces, de ces putain de gorilles !”
Une autre tirade de dialogues alors qu’il descendait les escaliers. Il se retourna immédiatement vers le gamin.
”Issku, pardon si je prononce mal ton prénom, euh… Issku, si tu vois un Saiyan, tu remarqueras qu’ils ont des queues de chimpanzé. Ils en font parfois des ceintures. C’est leur point faible. Si t’as aucune échappatoire, il faut leur attrapper la queue et la tirer, la mordre, la frapper, c’est vraiment le truc qu’il faut éclater au plus vite ! Je déconne pas, ça a peut-être l’air con, mais c’est absolument cette queue de merde qu’il faut détruire.”
Il faisait froid dehors. Il était presque minuit, en même temps. Dans sa fourrure et sa membrane, Marcos ne ressentait rien. Il se retourna encore, et avança de quelques pas en levant la tête un instant. Sa main libre, exosquelettique, passa sur son visage diforme dans l’obscurité, lentement. Un peu de fraîcheur.
”Donc, ma question… Tu viens d’où, que je t’y raccompagne ?… Je peux pas te laisser seul à minuit, quoi.” | | Age : 19 Date d'inscription : 01/11/2020 Nombre de messages : 68 Zénies : 1400 Rang : - TechniquesTechniques illimitées : Detroit Smash/ St Louis smash/one for all revêtement intégraleTechniques 3/combat : Delaware Smash/Manchester smashTechniques 1/combat : Delaware Detroit Smash
| Sujet: Re: De la menthe et des cerises Ven 27 Nov 2020 - 18:57 Marco me dit quelque chose, qui me traversa l'esprit.
”En tant que l’un des… “plus grands héros”, il n’a donc rien fait contre l’attaque Saiyanne de l’année dernière qui envoya la moitié de la population terrienne dans sa tombe, j’imagine. S’il n’a jamais rien dit sur ces putains de singes de l’espace, c’est qu’il devait en avoir un peu rien à foutre de cette menace qui, qui fait plus d’une centaine de millier de morts humains par ans !”
Cela est vrai que All Might ne m'a jamais parlé des hommes à queux de singes, mais peut êtres n'était il juste pas au courant de leur existence et, de ce qu'ils avaient fais il y à un ans. Ou peut êtres qu'il n'était pas en mesure de stopper cette guerre à cause de son temps limite du à ca blessure qui, l'empêche de garder ca forme malabar pendant plus de trois heures. Ou peut êtres n'était t-il pas au courant de cette guerre, mais je ne savais pas quoi répondre à la créature à par passer ma tète et écouter ses arguments.
Puis Marcos me posa une autre question ou était All Might pendant la guerre de 1410, je n'avais jamais entendu parler de cette guerre mais All Might avait il entendu parler d'elle???? Ca aussi je lui demanderai en rentrant mais cela est vrai que faisais t-il le symbole de la paix??? Je me mit alors à réfléchir ce que All Might aurait put faire, quand marco s'excusait et ne me disais pas cela pour me démoraliser, mais plutôt pour m'expliquer que All Might ou d'autre héro n'ont rien fais pour aider ces innocents. On s'entait que la créature n'avait pas une bonne opinion des super héros se que je compris grâce à ce qu'il m'avait dit.
Un homme entrais dans la salle Marco, se levait je fit alors de même l'homme tenait une drôle de machine, que je n'avais encore jamais vue à mon avis cela devait surement êtres pour recevoir la récompense de la capture du sayan. L'homme se mit alors à féliciter la créature de sa capture, et tendait la machine à Marco celui mit alors dans la machine une carte surement, pour recevoir la prime de ca chasse.
Marco partis du bâtiment je me mit à le suivre et, des qu'il fut parti les lumière se rallumait, j'eus toujours cette culpabilité pour se pauvre sayan, même si ces surement un monstre de la pire espèce j'espères qu'il ne vont pas le tuer. La créature se mit à critiquer les hommes à qui il avait remit le sayan il critiqué, leur manque de moyen se qui était totalement logique, combattre des sure homme, avec des simples fusils même moi qui est loin d'être un héros professionnelle je saurai que cela ne servirai à rien.
Marco me dit qu'elle que chose d'intéressant sur le sayan, qu'avec leur queue de singe il utilise parfois pour en faire une ceinture se qui, pouvais êtres pratique mais il me dit aussi que cette queue était un énorme point faible pour les sayan et qu'il faut la détruire à tout prit pour se débarrasser d'eux. Je prit le temps de noter ses informations dans mon carnet à la pages ou j'avais dessine un sayan et mit la description.
"merci, pour ces informations".
J'eu un petit frisson, à cause de la température qu'il faisait dehors puis la créature me posa une question que j'vais oublié de lui répondre les premières fois.
"Eux oui, désoler je viens de la ville de yosu, mais tu n'est pas obliger de m'accompagner je ne veut pas te déranger après tous se qui ces passe".
Je n'osais pas regarder la créature pas par peur mais, plutôt à cause de mon manque de confiance je me mit soudainement à baisser la tète je ne savais pas pourquoi. | | Age : 24 Date d'inscription : 03/10/2020 Nombre de messages : 122 Rang : - TechniquesTechniques illimitées : Goliath / Trucage / CacophonieTechniques 3/combat : Jet de Gros Trucs / Traumatisme CrânienTechniques 1/combat : Corps Perdu
| Sujet: Re: De la menthe et des cerises Sam 28 Nov 2020 - 17:22 ”’Après tout ce qui s’est passé’ ? Mec… T’as juste été trop distrait pour répondre à une question la première fois, c’est tout. T’as rien fait de mal, c’est moi qui m’excite tout seul.”
Le portable de la bête brillait entre ses mains dans l’obscurité, projetant sur ses yeux rouges le logo d’une application GPS. Yosu, c’était assez loin, mine de rien. Mais bon, ce gamin avait fait du jogging jusqu’à vingt-trois heures sans s’en rendre compte. L’endurance d’un gosse… Il l’avait giflé dans l’arrière de la tête, s’excusa immédiatement, gueula à plein poumons deux fois en une demi-heure, employa “supervillain” dans sa phrase avec un sérieux total, vouait un culte à un héros au nom blasphématoire, et se trouva honteux de ne pas avoir répondu à une question. Il fallait le voir et l’entendre pour le croire. Peut-être qu’il était sur un spectre d’autisme avec son obsession pour tout noter dans son carnet et ses réactions très émotionnelles, même pour un ado de son âge. C’était assez adorable dans un sens. Il devait se faire harceler à l’école, par contre.
Ah, et sinon, putain… qu’est-ce que Marcos foutait au Japon ?! Toutes les villes avaient un nom qui sonnait comme ça, dans les parages. On dirait que les vols du Mothman l’amenaient de plus en plus loin, de plus en plus rapidement. Bientôt, une promenade le fera circumnaviguer en moins d’une heure. On peut se féliciter pour ça.
”’Bon, je vais te ramener chez toi. Ne vomis pas.”
Prononçant cela, il s’était placé derrière le mioche à la tête baissée et aux pensées troubles, avant de placer l’un de ses deux bras sous les siens, le soulevant doucement par les aisselles et le torse. Issku pouvait sentir qu’il n’y avait pas l’habituelle membrane recouvrant les membres du colosse qui l’élevait sans efforts vers son thorax. Il n’y avait qu’une veste tout ce qu’il y a de plus normale par-dessus les serres exosquelettiques. Un regard sur les côtés suffisait à comprendre que les ailes du Mothman étaient déployées. Elles étaient gigantesques et indescriptibles. Non seulement cet hideux mélange de mite et de hiboux avait-il laissé ses élytres se dresser dans la noirceur de minuit, mais il s’était également redresser, craquant sa colonne en se mettant droit. Ensuite, il plia légèrement les genoux alors que sa membrane s’étira vers le ciel. Et après, il décolla, mallette dans une main et Issku contre lui. Sa vitesse montante était plus terrifiante que celle de la chute libre d’une montagne russe.
”’Alors ! Quand tu vois ta maison, tu la pointes du doigt !!”
Avec le vent dans les oreilles causé par sa propulsion continuelle dans les airs, Marcos devait crier un minimum pour se faire entendre. Une ombre passa devant la lune aux yeux des habitants de Yonu et de sa périphérie. Oui, Marcos avait traversé le ciel en si peu de temps. Ses ailes n’avaient laissés qu’une petite minute s’écouler pour traverser la poignée de kilomètres parcourus par le jogging d’Issku. Le Mothman couvrit la lune une demi-seconde et puis disparut du regard des habitants. Cette ville était trop petite pour avoir été ciblée par l’attaque Saiyanne. C’était ce qui l’avait sauvé. Après quelques instants, le jeune garçon put reconnaître sa maison (ce que j’admets qu’il fit, car sinon une petite partie de mon post meurt). Les ailes s’arrêtèrent de battre, et ils planèrent doucement vers le sol en esquissant des ronds dans l’air, avant d'atterrir doucement devant cette demeure. Marcos laissa le gamin toucher le goudron de la rue de ses chaussures avant de desserer son bras. Son allure redevint courbée, son corps couvert de ses élytres de chair et de plume.
”’Voler la nuit dans les bras d’un monstre. Voilà une nouvelle expérience à raconter à tes parents, Issku… Allez, tu devrais rentrer, ils doivent être morts de trouille.”
Il n’avait plus rien à faire hormis s’assurer de voir que c’était en effet la demeure de Grande-gueule Cheveux-verts, reculant dans l’obscurité pour éviter de se faire voir. Si ce gosse n’avait plus rien à faire ni à dire, Marcos s’envolerait à nouveau pour disparaître dans le ciel noir de la nuit. | | Age : 19 Date d'inscription : 01/11/2020 Nombre de messages : 68 Zénies : 1400 Rang : - TechniquesTechniques illimitées : Detroit Smash/ St Louis smash/one for all revêtement intégraleTechniques 3/combat : Delaware Smash/Manchester smashTechniques 1/combat : Delaware Detroit Smash
| Sujet: Re: De la menthe et des cerises Dim 29 Nov 2020 - 17:37 Le portable de Marco se mit à briller entre ses mains et, affichait un logo d'un GPS je comprit tout de suite, que la bête voulait me raccompagner cher moi mais, comment compter t-il faire car je suis sur que prendre un taxi n'était pas envisageable. Hum... ou peut êtres allait il m'accompagner à pieds non, cela lui ferai perdre un temps énorme et aussi pour moi.
Au moment ou la créature me dit de ne pas vomir je compris, de qu'elle manière j'allais rentrer chez moi en volant ce qui, me fit un peu peur car la seul fois ou je me suis retrouvé dans les airs je m'était casse les deux jambes à cause du one for all ce qui, était très embêtant. Marco se mit derrière moi et prit un des ses bras puis, les plaçait sous les miens afin d'avoir une bonne prise pour me faire voler dans les airs avec lui sans, qu'il y est d'accident. La créature se mit à déployer ses ailes que je trouvait magnifique puis , avec celle ci on se mit tout les deux à s'éloigner de la terre pour se retrouver dans le ciel près des nuages.
Ce qui m'étonné ces que Marcos arrivait à porter à une main tout en volant et en portant sa mallette dans l'autre main. La vitesse de Marcos était incroyable on dirait presque celle de All Might pour vous dires, à quel point il allait vite puis, la créature me dit que des que je vit ma maison je devais lui faire signe du doigt pour lui montrer ou elle se trouve afin qu'il me dépose.
"D'accord, je te ferais un signe pour te dire ou est ma maison".
Je me mit à regarder la ville qui brillait de mille feu avec tout ses lumières qui me fit retourner en enfance je me dit aussi, qu'un jours moi aussi comme All Might je protègerai celle-ci de tout mes forces et jusqu'aux péril de ma vie peut importe le prix. Car ces mon devoir en tant que successeur du pouvoir de la paix. Je vit enfin ma maison je fit donc, signe à la créature de se poser la ou mon doigt était dirigeait la créature, ses ailes se mirent soudainement à planer et à se rapprocher du sol en douceur, mes pieds touchère le sol se qui me soulage un peu, puis des que nous fîmes pose tout les deux la créature me lâchait et se remit à sa posture initial puis m'adressait quelque mot.
”’Voler la nuit dans les bras d’un monstre. Voilà une nouvelle expérience à raconter à tes parents, Issku… Allez, tu devrais rentrer, ils doivent être morts de trouille.”
Evidement, que cela fut une bonne expérience pour moi que, je ne referai pas régulièrement mais, cette soir fut agréable et remplie de surprise mais, raconter cela à maman ne serai pas une bonne idée sauf si je veux lui faire faire une crise cardiaque se qui, n'est pas mon but.
"Merci en tout cas de m'avoir ramener chez moi et, encore désoler de vous avoir temps embêter cette soirée j'espère vous revoir un jour".
Puis je me dirigeait vers la porte d'entrée et me tournait pour voir une dernière fois Marcos puis, je me mit à rentrer dans la maison, tout en priant que maman ne soit pas trop inquiète. | |
| Sujet: Re: De la menthe et des cerises | |
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