Sujet: Pas de pitié pour les brigands
Mar 13 Juil 2010 - 16:42
Ambroz partait une nouvelle fois de chez lui en direction d’aventures, du moins c’est-ce qu’il espérais car il était parfois un peu déçu de ses derniers voyages. Le guerrier avait prit soin de dire au revoir à toute sa famille, les laissant aussi dans l’inquiétude mais le jeune homme s’était promis de revenir les voir très bientôt, après un lot d’aventures qu’il espérait cette fois-ci plus palpitante que d’habitude. Le sabreur était partit en volant dans une direction inconnue comme souvent, il n’avait pas vraiment de but à l’heure actuel et se demandait bien ce qu’il pouvait faire pour passer le temps. Vous l’aurez compris, le plus grand ennemi d’Ambroz était l’ennui et il était vraiment avide d’actions et autres quêtes palpitantes.
Ambroz survola d’abord sa ville natale avant celle de Satan-City, il décida de ne pas s’arrêter là, il n’avait pas spécialement besoin d’y aller et n’aimait pas vraiment la foule. Le guerrier ne s’attendait pas vraiment à se retrouver à l’aventure dès maintenant alors il ne cherchait pas un lieur où il trouverait forcément quelque chose à faire. Souvent, c’est de cette manière là que l’on trouve quelque chose: en ne cherchant pas justement et ça le guerrier le savais, c’est pourquoi il chercha simplement un lieu où il pourrait se dégourdir les jambes. Il trouva: le Mont Paozu. Ambroz se posa au sol et traversa plusieurs endroits plus ou moins garnit en végétaux, longea un ruisseau calmement en ne croisant personne avant de trouver un lieu idéal pour se reposer près d’un arbre. Il s’y mit contre et tenta de se reposer un peu à l’ombre, il prit le temps de contempler le ciel qui était bien bleu ce jour là avec un joli soleil. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas pris le temps pour ce genre de choses, des choses si simples que l’on oublie parfois de profiter.
Soudain, alors que le jeune homme s’était pratiquement endormit, sa tranquillité fut troubler par des cris, c’était à quelques centaines de mètres de lui et il pu reconnaître une voix de femme qui criait. Ambroz se releva directement et chercha du regard s’il trouvait cette personne qui criait mais il ne vit personne, il essaya de repérer d’où provenait les hurlements et se dirigea en leur directions en courant. Il ne décida pas de voler car la personne semblait être assez proches et à vu d’oiseau pas sûr qu’il l’a trouverait très rapidement avec tous ces arbres qui l’entourait. Le sabreur courut donc jusqu’aux cris et arriva dans un sentier.
Tout d’abord il ne vit personne, puis il continua de suivre ce chemin en écoutant toujours les cris de cette femme pour le guider. C’est alors qu’il aperçu un peu plus loin une jeune femme agresser par trois malfrats habillés en noir. La femme était à terre contre un arbre, sa robe rose à moitié déchiré, en face d’elle un homme avec un couteau s’approchait dangereusement d’elle et lui caressa la jambe. Derrière lui un autre homme rigolait bêtement et avait l’air d’un fauve prêt à bondir sur sa proie et le dernier était à côté accroupi avec un sac dans les mains en train de fouiller, il devait sûrement s’agir du sac de la jeune femme et ces trois brigands avait du lui voler. Ambroz avait un regard noir mais les trois gars ne l’avait pas encore remarquer, il profita donc de l’effet de surprise pour se placer derrière les trois hommes et dit:
"On ne vous a jamais appris à bien traiter les femmes ?!"
Après ces quelques mots il frappa d’un coup de poing le type qui avait prit le sac, remarquant la présence du sabreur l’autre homme se jeta sur Ambroz qui sortit son épée, non pas pour trancher ce type avec sa lame mais plutôt pour le frapper avec le manche d’un coup en pleine tête. Les deux premiers étant neutraliser, le troisième homme tenta d’embarquer la jeune femme avec lui en courant. La victime tenta de se débattre mais rien à faire cet idiot continuait sa route en courant. Diminué en portant la jeune femme, il fut bien vite rattraper par Ambroz qui se mit devant lui pour lui faire un croche patte et le faire tomber. De manière assez classe le guerrier rattrapa la jeune femme dans sa chute et la reposa délicatement. Le brigand se releva mais Ambroz ne le laissa pas agir et le cogna au visage sans qu’il ne puisse rien faire. Les trois types furent neutraliser et le sabreur redonna le sac à la jeune femme avec tout son contenu. La jeune femme regarda Ambroz, toujours un peu apeurer par ce qui venait de se passer, elle semblait un peu choquer et n’avait pas tout compris ce qui s’était passer mais elle le remercia:
"Je…Merci…Vous m‘avez sauvé de ces quatre monstres…Merci."
"Hum…Ce n‘est rien. Ils n‘avait pas à…Hein ? Vous avez dit quatre ? Je nen ait compter que trois !"
C’est alors, pile au moment où il prononça ces mots un quatrième homme surgit de nulle part, Ambroz ne savait pas d’où il sortait, il devait sûrement être aller se soulager près d’un arbre ou on ne sais quoi mais en tout cas il y avait bien un quatrième homme. Ambroz l’assomma d’un coup de poing. Ces quatre types était largement inférieur à Ambroz, pas l’aventure qu’il rêvait mais au moins il avait fait une bonne action. D’ailleurs le sabreur ramena même la jeune femme en ville en sécurité.
Ambroz s’envola ensuite dans les airs dans une direction inconnue après ce petit passage au Mont Paozu.