Age : 33 Date d'inscription : 22/06/2007 Nombre de messages : 639 Bon ou mauvais ? : Influençable Zénies : 540 Rang : - TechniquesTechniques illimitées : Déplacement instantané,Canon Garric,KaméhaméhaTechniques 3/combat : Enchainement surpuissant,Super kaméhaméhaTechniques 1/combat : Ultime Etoile
| Sujet: Après la guerre.. Jeu 14 Oct 2010 - 1:41 Le dernier souvenir de Gogéta était assez flou. Un combat face à Candaves, une tour branlante, une guerre qui faisait rage. Voilà à peu près ce qu’il en restait dans l’esprit du sayen aujourd’hui. Oui aujourd’hui car depuis qu’il avait lancé son attaque ultime face à Candaves, le temps avait filé. La meilleure déduction serait que pendant la destruction de la tour, Gogéta ait été assommé par un lourd morceau de pierre et soit tombé inconscient.
Aujourd’hui était le jour de son réveil, non plus dans la tour de combat, mais dans une maison sayenne traditionnelle. Il avait été recueilli par une petite famille, modeste, de Végéta. Apparemment, on l’aurait retrouvé avec les débris de l’ancienne tour et cela ferait plusieurs mois qu’il était dans une sorte de coma. Le réveil fut brutal et bien brumeux, mais peu à peu, les choses revenaient en mémoire de la fusion, avec de plus en plus de clarté. Aujourd’hui la guerre était terminée, l’heure était aux réparations. Gogéta aida le peuple sayen dans ces longs travaux, c’était son peuple à lui aussi après tout. Et puis il devait bien faire un geste envers ces personnes qui avaient pris soin de lui durant ces derniers mois.
Enfin, les réparations achevées, l’heure du départ était venu. Gogéta allait retrouver son monde, celui de l’alliance Genshou, d’un Univers en perpétuel changement mais aussi en perpétuel danger. Parfois il se demandait si il ne fallait pas mieux rester comme ses frères sayens, tranquillement dans un village, à vivre paisiblement. Mais avec le sang des deux plus grands et fiers guerriers en lui, le destin de la fusion de Sangoku et de Végéta était autrement. Ainsi, il partit rejoindre ce monde certes dangereux et parfois ingrat, mais qu’il affectionnait tant.
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