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 The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire)

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Motta
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MessageSujet: The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire)   The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire) ClockVen 7 Jan 2011 - 18:14
Alors que Motta et Claire se trouvaient dans la forêt près d’un point d’eau à contempler la splendeur du ciel qui s’était couché devant eux, un bruit aigu les avait alerter et avait troubler leur petit moment de détente. Ce son aigu avait été en faite une sorte de sifflement , puis une voix s’était fait entendre, raisonnant dans une grande partie de la forêt jusqu’aux oreilles du sayen et de la jeune femme, cette voix parlait aux citoyens de Satan-City en leur souhaitant un Joyeux Noël. Il devait y avoir une sorte de fête en ville célébrant ce fameux jour qui avait tant d’importance aux yeux des terriens. Se souvenant que Motta était venu sur Terre en partie pour découvrir un peu la planète bleue pour savoir ce qu’il y avait d’intéressant, Claire proposa alors à son compagnon d’aller se joindre à cette fête. Elle paraissait très enthousiaste à l’idée d’y aller avec le colonel, ce dernier n’était pas habitué à ce genre de soirée très joyeuse mais il allait s’adapter, il passera peut-être un bon moment lui aussi. Il avait donc accepté de suivre Claire, celle-ci l’avait guidé jusqu’aux abords de la ville. Là il découvrirent l’ambiance qui y régnait, tous le monde semblait participer à cette fête, il y avait du monde partout, des enfants qui criait, qui jouait ou qui courait, des couples, des vieilles personnes, bref des terriens de toutes les sortes partageant leur joie et leur bonne humeur aux autres. Tous réunis pour ce jour mémorable

Le sayen au bouc remarquait toute la différence qu’il y avait entre la planète Vegeta et la Terre. Oh bien sûr, la différence entre le niveau de la plupart des gens est immense au point de vu de la puissance: en principe un sayen est beaucoup plus fort qu’un terrien et peu l’écraser comme il le veux. Mais cette différence là n’était pas celle qui se distinguait le plus à ce moment là, non, on voyait toute la chaleur humaine que pouvait dégager les terriens qui savaient décidément bien comment s’amuser. Evidemment, les sayens avaient eux aussi leur fêtes et leurs façon de s’amuser mais il était clair que les guerriers de l’espace étaient des personnes bien plus dures et froides étant donner leur particularité à être des combattants nés pour se battre et pour conquérir. Ces deux espèces son donc différentes sur bien des points, leur façon de vivre, leur passé, leur culture n’était pas la même, chacun avait des particularité que l’autre n’avait pas.

Une fois dans la ville de Satan-City, le sayen et la jeune femme pouvaient voir tous les éléments qui faisait de cette fête une fête unique sur Terre. Les gens s’offraient des cadeaux, riaient et passaient du bon temps entre eux, en famille ou entre amis. Il y avait bien sûr quelques feux d’artifices, c’était étrange que les terriens utilisaient ce genre de stratagème juste pour colorer le ciel, pensait Motta, ils avaient parfois des coutumes que le guerrier ne comprenait pas. Des représentations d’un bonhomme barbu habillé en rouge et blanc était présentent partout, il devait avoir fait quelque chose que tous le monde appréciait pour avoir son effigie dans toute la ville. Plusieurs décorations garnissaient les rues animés par la présence des personnes qui les traversait, Motta suivait Claire dans cette foule plutôt danse mais il y avait peu de chance qu’ils se perdent, ils restaient assez proches l’un de l’autre. Le guerrier de l’espace ne la quittait pas des yeux même s’il balayait la foule et les rues de Satan-City du regard. Ne sachant pas trop où ils allaient et ce qu’ils feraient, le sayen attrapa délicatement la main de la jeune femme mais aussi avec un peu de fermeté puis lui demanda pour s’informer:

"Alors, où nous emmène-tu ? Je suis prêt à te suivre où tu veux, je ne suis pas difficile et un peu curieux."Il marqua un temps d’arrêt avant d’ajouter: "Au fait, tu m‘a l‘air de bien connaître la planète Terre, tu y viens souvent ? En tout cas je suis ravis que ce soit toi qui me serve de guide."

Le sayen se tût ensuite, regardant intensément la jeune femme dans ce contexte assez merveilleux qu’était Noël en attendant une réponse de Claire. Elle avait l’air d’être contente de se balader dans les rues avec Motta en ce soir de fête qui rendait le début de cette soirée un peu plus magique qu’elle ne l’était déjà et le guerrier était aussi ravi d’être là, il appréciait beaucoup la compagnie de Claire qui se faisait jusqu’à présent adorable. Pour l’instant autant l’un que l’autre ne savait pas où tout cela allait les menés mais il n’y avait aucune raison de penser que quelque chose contrarierait ce moment très appréciable. Il y avait des jours comme ça où tout avait l’air magique, où tout concordait pour assurer une belle soirée. Puisque les bons moments ont tendance à passer trop vite, le mieux qu’ils puissent faire dans ces cas là est de les vivre à fonds, en profitant pour que cela leur laissent un souvenir impérissable, un souvenir qui sera à jamais graver dans leurs mémoire et qui deviendra peut-être l’un des événements les plus importants de leur vie.


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MessageSujet: Re: The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire)   The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire) ClockSam 8 Jan 2011 - 20:18
Lorsque j’évoquais le fait que les sayens n’étaient qu’une sorte de tribu s’apparentant à des moutons ( même s’il valait mieux que je ne m’attarde pas sur ce que je venais de dire) Motta ne se véxa pas, une fois de plus, alors que je pensais bien qu’un autre sayen en aurait été outrer. D’ailleurs cette idée me faisait rire intérieurement : comment pouvait-on faire preuve d’autant d’égocentrisme et de mauvaise volonté ? Décidément, cette race n’est surement pas porteuse de gentils petits hommes. Ils sont froids, même avec leur entourage apparemment. Leur seul but est de servir leur Roi. Ils font une progéniture pour assurer la suite, puis voilà. Quelle belle vie tiennent-ils eux aussi, dans leurs mains… Mais en étant élever de cette manière depuis l’enfance, on n’envisage pas d’autre point de vu, d’autres ambitions que celle léguè par nos parents. Nous devons suivre le chemin imposé par ceux qui nous on élevé. D’après ce que j’ai pu en voir pendant toutes ces années, c’est les parents qui rendent l’enfant comme il devient plus tard. L’éducation, la façon de se comporter de ces derniers, l’environnement de vie… et tout un tas de facteurs. Aussi loin que je me souvienne, je n’ai jamais connu de sentiments de la part du monstre m’ayant reconnu. De toute manière, il n’est qu’abomination. Il ne pouvait pas ressentir la joie. Il n’était ni humain, ni animal, c’était un monstre qui ne servait ni Satan, ni quelconque dieu des enfers. C’est l’une des créatures libre, mais qui exerce le mal à sa manière. Il ne ressentait que le plaisir, le désir, l’excitation, la haine, le sadisme. Ce genre de choses qui ne mènent qu’à une corruption de l’être, d’après les croyants. Ce sont les vices exposés au grand jour, sous forme corporelle et mentale. Ils n’ont pas vraiment de cerveau, ou du moins ils ne s’en servaient plus sous cette forme : l’instinct les guident. Il n’est même plus affaire d’une simple méchanceté ou d’un acte irrespectueux…. Tout ce qui importe pour eux, c’est profiter des autres. Leur seul but dans la vie est de profiter et d’utiliser ce qui les entoure pour mener à bien leurs projets. Depuis que je suis dans l’Organisation, j’ai été élevé de la même manière. Comme un prototype. Comme je l’ai dit, nous avons été élevés de manière à être « parfaite » dans toutes circonstances. Je sais effectuer toutes tâches ménagère digne d’une femme au foyer, je sais chanter, ou danser, faire les œillades d’une prostituée, et toutes choses capables de servir pour réaliser ce que les hommes désirent. Tout cela pour les appâter, avant de refermer le piège sur eux. Y aller à coup d’épée c’est plus concret plus facile, mais cela ne se dissimule pas bien dans les affaires de la société. Ce pourquoi, nous avons été entraînés à pouvoir adopter tout caractère. Je peux me faire passer pour qui je veux, mais je ne sais pas qui je suis. C’est ce que j’ai toujours pensé. Nous ne distinguons que certaines catégorie de sentiments, comme les démons, puisqu’ils nous implantés des démons en nous. Ainsi, nous étions une élite de femmes, ne connaissant ni la joie ni la tristesse, ni l’amour ni le désespoir. Nous ne pouvons rien ressentir. Je n’ai plus rien ressenti depuis que Teresa m’a quitté, sauf tous ces sentiments qui nous étaient interdits, qu’ils avaient damnés, qu’ils ne nous avaient jamais apprit. Je ne pouvais pas regretter mon passé, j’avais suivis le chemin de ma chère Teresa, et j’ai rencontré des personnes qui m’ont beaucoup aidé et pour qui j’ai développé, je crois, ce qu’on appelle de l’affection. Ce que je me souviens le plus, c’est du sentiment qui liait Raki à moi. J’avais rencontré ce garçon dans une ville où je devais éliminer le Yoma qui dévorait petit à petit les habitants. Et ce Yoma en question se cachait dans le corps de son frère qu’il avait dévoré sans qu’on ne le remarque. Il avait amadoué pendant plus de quatre mois ce pauvre gamin, qui n’avait plus de frère. Ce frère qu’il croyait encore en vie n’était que le démon qui s’était caché dans l’enveloppe corporelle de celui-ci. Quand je l’ai éliminé, il n’avait plus de famille. Je me souviens aussi que c’était le seul à ne pas avoir eus peur de moi, tout comme moi je n’avais pas, eus peur de Térésa. Il avait été seul, comme moi je l’avais été. Et comme moi, il avait décidé de me suivre, comme moi j’avais suivi Térésa, alors qu’elle ne m’accordait aucun regard, aucune attention. Tout comme je le fis avec Raki. Il est vrai que nous n’avions jamais été confrontés à ce genre de situation et nous trouvions cela ridicule que quelqu’un nous suive. Puis finalement, nous restons quand même à moitie humaine… Et c’est comme ça que j’eus le bonheur d’avoir Térésa à mes côtés par la suite, comme j’eus Raki plus tard. Ce genre de lien, je ne pourrai pas le décrire, mais cela nous donne envie de protéger cette personne, de la garder près de soit, et on ressent une certaine tendresse pour la personne. J’ai toujours pensé que c’était ça, l’amour d’une famille. C’était comme si à eux deux, ils avaient composé ma famille. Mais je ne pouvais pourtant pas m’avancer sur le sujet, car je n’en ai jamais réellement eus. La plupart du temps, j’ai croisé des personnes à qui on avait enlevé leur famille, ou alors à qui on avait enlevé un proche. Ces personnes ne voyant que par la haine après ce genre d’évènement. Souvent névrosé et borné en plus de ça, c’est vraiment le genre de personne exaspérant. La souffrance nous fait devenir n’importe qui, nous fait sombrer, mais personne ne veut relever la tête. Ils gardent tous la tête plongée dans les ténèbres, comme s’ils n’avaient aucune échappatoire, car ils sont trop faibles. Tout ça car ils attendent que l’on vienne les chercher… c’est le genre de protagoniste pour qui je n’ai aucune pitié, puisqu’eux même ne représente que ridiculité e se comporter ainsi. Il faut savoir changer, ça s’appelle murir. D’après ce que j’en ai vu, peu le comprennent. Il y a plusieurs sortes de personnes que je ne supporte pas, dont cette sorte de bipède qui n’est pas capable d’avancer. La vie accable souvent tous le monde mais ils pensent être les seuls plongés dans des peines. Ce n’est pas parce que nous n’en donnons pas l’air que nous ne sommes pas comme ci ou comme ça. Et j’en sais quelque chose. Quand je vois tous ces gens, je me dis que chacun d’entre eux ont leurs problèmes, pourtant certains en font moins que d’autre – et d’ailleurs heureusement. Décidément, la diversité humaine nourrit l’esprit, j’en fais les fruits. Si on se posait toujours trop de question, on ne vivrait pas. Après tout, la vie et la mort sont des étapes. Le commencement et le but de notre existence, mais beaucoup ont du mal à l’interpréter comme cela.

Alors que je m’étais relevé pour emmener Motta jusqu’aux abords de la ville, celui-ci accepta mon offre. Il faut die qu’un tel spectacle s’offrit à nos yeux à notre arrivé, que je pensais que peut-être, je ne reverrais pas cela avant très longtemps. La ville, illuminée, dans toute sa splendeur. Des guirlandes étaient suspendue en hauteur, brillantes de milles feux et on remarquait qu’il neigeait doucement, comme pour rappeler cette fête si spéciale. Tout en gardant la main du sayen dans la mienne, j’avançais vers la foule, comme guider par cet esprit féerique qui résidait dans la fête qui venait de débuter. Une énorme scène était dressée, là. Je m’arrêtais un moment, derrière toute la foule qui dansait. Il y avait vraiment tout type de personne, même des gens avec des énormes New Rock, des habits affriolant et des yeux aux couleurs et aux formes plus ou moins étranges. Tous s’amusaient sans distinction. Il y avait quatre personnes qui jouaient sur scène : je remarquais en premier un homme, le guitariste, un homme du mètre 90 au moins. Il était brun avec une coupe en brosse, aussi appelée en pointes, aux yeux de la même couleur, une cigarette en coin de bouche. Il portait un ensemble en cuir : un pantalon et une perfecto, en étant torse nu. La perfecto laissait voir son torse mince, mais d’une grande étendue et d’une carrure quand même impressionnante pour sa taille. La chanteuse était une femme qui avait l’air plutôt pas très grande, mais ses talons la mettaient à la hauteur. Ses longs cheveux étaient entièrement ondulé et rose. Tous avaient les yeux bruns d’après ce que je constatais. Elle était vêtue d’une grande robe de soirée violette, attaché à la taille par une ceinture en nœud papillon. Le bassiste lui, était un homme aux longs cheveux noir et raide, habillé en costard comme le batteur, qui lui avait une coupe en pétard. Ils étaient tous très élégant et un certain charisme se dégageait d’eux. Ils devaient être très connu, car visiblement ; le groupe était très apprécier. La musique était agréable aux oreilles, car la voix de la chanteuse était éblouissante. Une voix fine et aigue, qui concordait bien avec son visage. Je continuais le chemin, en marchant aux côtés de Motta dans la ville, bien qu’il y ait beaucoup de monde tous réunis au même endroit, nous ne nous perdions pas de vu. Je regardais, curieuse, autours de moi. Il y avait un homme déguiser lui aussi, avec une grande barbe blanche et habiller de rouge. C’est ce qu’ils appellent le père noël. Un bonhomme assez vieux, bien rondouillet, dans son traineau avec ses rennes. Le traineau était illuminée de toute part, des couleurs bleuté, verte, rouge, rose en ressortait. Les animaux qui l’accompagnait ne semblaient pas effrayer et faisait l’émerveillement des enfants qui étaient autours du vieil homme. Les parents prenaient des photos pour garder un souvenir de l’évènement et les autres achetaient des décorations aux stands qui étaient disposé ici. Il y avait aussi des automates qui passaient dans la ville et d’autres dans des vitrines, costumer de façon à célébrer le jour présent. Même si dans le fond, cela était niais, les couleurs, l’atmosphère et la bonne humeur qui s’en dégageaient n’en était pas moins magnifique et accueillante. Tous les gens étaient déguiser ou bien habiller à ma manière, en robe de soirée. Tout cela dépendait des classes sociales, à mon avis. D’ailleurs, pour une fois, je passais presque inaperçus, avec tous ce monde environnent. Cela était positif, car Dieu sait comme les Hommes sont corrompu et pervers. Heureusement, comme j’étais en plus accompagné par un sayen baraqué et grand, disons que les regards ne s’attardaient pas trop. Comme je le tenais toujours par la main, ils devaient s’imaginer que nous étions un couple et donc, vu la carrure de se cher colonel, disons qu’ils pensaient qu’il vaudrait mieux éviter les histoires. A côté, je paraissais plus petite, malgré mes talons et plus frêle. Pourtant, ma carrure était un peu plus grande que celle d’une femme banale, ce qui était normale, car j’étais plus grande physionomique ment et que j’avais de l’entrainement. Je suppose que ce que je portais devais aussi me valoir l’œil des bourgeois du coin, car ce genre d’habit vaut une petite fortune, sur Terre. Une robe bustier avec un dos nu en laçage dans le dos, galbant sensuellement mes formes, s’arrêtant à mi-cuisses, d’une couleur très rouge. On aurait pu dire que j’allai à un rendez-vous galant, avec ça. Mais je ne connaissais pas le moindre intérêt de me promener sur ce qu’ils appellent meetic afin de trouver quelqu’un. Quant à mes chaussures, grands escarpins en vinyle, évidemment, qui me valait les regards. Quant à ma peau, certainement, faisait-elle jalouser les autres femmes.

Car elle ne possédait pas d’imperfection. Elle était lisse et imberbe. Personnellement, cela ne me faisait pas plus plaisir que ça, d’être ainsi. Puisque dans le fond, je n’étais pas l’ange auquel je donnais l’air et parce, que cette soit-disante perfection qu’ils avaient fait de moi, n’engendraient que des contacts avec des pervers. Malheureusement, je ne me suis jamais intéresser aux Hommes que pour en tirer quelque chose. Je n’avais pas choisi d’être comme j’étais. Disons que le croisement entre un humain et le démon que j’ai, donne une perfection corporelle, car c’est un juste milieu. Ma poitrine – certes un peu très opulente – était certainement le fruit de convoitise de la plupart des hommes et si cela ne m’avait pas servi, je m’en serais déjà débarrasser. Il n’y avait que la cicatrice, partant du bas de ma poitrine jusqu’à mon nombril, qui prouvait mon appartenance à ce qu’on désignait comme le mal. Avec les années, elle ne se voyait que très peu, mais elle était encore là, me rappelant d’où je venais. Toute cette foule excitait visiblement le démon qui sommeillait en moins. Je le sentais se débattre, je l’entendais se fendre la poire, d’un rire gras. Il n’était pas vraiment moi, disons que c’était un genre d’autre personne dans mon corps. Il pouvait me parler, s’il avait accumulé assez de force, mais il ne pouvait que me donner quelques effets de son règne, puisqu’il ne contrôlait aucun geste de ce que je pouvais faire, sauf si je me transformais entièrement. En sentant un malaise m’envahir, je lâchais la main de Motta un moment. Mes yeux commencèrent à virer au jaune, comme je le faisais lorsque je me sentais menacer. Si je pouvais m’arracher cette partie de moi, je le ferais sans hésiter. Les veines sur mes bras commencèrent à ressortir d’un bleu vif. Le point négatif est que, ce genre de démon pour se nourrir, dévore des tripes et bois le sang de sa victime pour se raviver. Alors, ils peuvent nous atteindre car nous, guerrières, ne mangeons pratiquement jamais et ne nous ne buvons aussi pratiquement jamais, car nous n’en avons pas besoin. C’est le démon qui nous nourrit pendant des siècles, mais il finit toujours par prendre le dessus et ce pourquoi, nous finissons toujours par faire comme lui. Avec deux trois siècles d’âge comme je le possédais, il faut dire qu’il nous tente de se revigorer, comme ils le disent, afin de faire pénétrer plus de force. Mais cela ne donnerait que plus de force à cet infâme monstre. Il riait d’un air méchant, constatent à travers mes yeux tout ce qu’il voyait comme chair à canon, excitant son appétit. Ces sales bêtes partageaient aussi tous nos souvenirs, comme si ces monstres enregistraient tout, ils étaient capables de nous montrer certaine scène de notre vie. Ce pourquoi, nous avons aussi été entraînés pour rester neutre face à toutes choses qui pourraient nous blesser. Je détournais les yeux lorsque quelqu’un attrapa mon poignet, et mon regard changea pour reprendre son gris métallisé habituel. Tout avait disparut d’un seul coup. Je n’entendais plus son sale rire sadique, ni ce qu’il pouvait dire, ni même son incroyable faim se rependre en moi comme si je devais être obligé de faire ce qu’il voulait. C’était Motta, qui m’avait attrapé le poignet, assez fermement. Il m’adressa la parole d’un ton plutôt enthousiaste, ce que je n’avais pas trop sentis de sa part jusque là. Je lui adressais alors un sourire, toujours à moitié dos à lui, ma tête tourner vers lui. Il me regardait d’un regard profond et intense, comme il l’avait déjà fait. Je me tournais alors vers lui, prenant sa deuxième main dans la mienne.

- Je suis très honoré également de pouvoir te faire visiter les lieux. Je réside sur Terre pour le moment, et je m’intéresse au mode de vie des humains et à ce qu’on raconte sur les guerriers dans l’univers, alors disons que je connais plutôt bien cette planète. Je marquais un temps de pose, mon petit sourire résidant toujours sur mes lèvres rougeâtre. Eh bien viens, j’espère que tu sais danser. Je l’emmenais sur la piste de danse. C’était encore le même groupe qui débutait une nouvelle chanson. Si tu n’as jamais dansé, il suffit juste de me suivre.


The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire) Trapnest2

Le silence vint alors s’installer dans leur conversation, le guerrier voulait revenir sur ce qui s’était passer tout à l’heure: leur baiser. Il hésitait, ne sachant pas trop ce qu’il pourrait dire exactement. Mais c’est finalement Claire qui s’en chargea, elle avoua avoir apprécier leur baiser et espérait qu’il ne lui en voulait pas. Le sayen tourna sa tête de gauche à droite , il ne lui en voulait pas. Il avala ensuite ce qu‘il avait mit dans sa bouche et s‘arrêta de manger -ce qui est plutôt fort pour un sayen- pour écouter attentivement ce qu‘elle avait à dire. Elle affirma ensuite que pour elle, il n’était pas une personne comme les autres, que cela la dépassait, elle ne savait pas quoi dire. Le sayen la regarda intensément en cherchant le regard de Claire, mais celle-ci avait le visage tourner et le regard fuyant. Avait-elle peur de ses sentiments ? Elle avait baisser les yeux et regardait maintenant dans le vide sans savoir quoi dire. Le sayen aussi ne savait pas quoi ajouter, ce n’était pourtant pas les mots qui manquait, tout se bousculait dans sa tête et, à défaut de savoir quoi dire, il trouva quoi faire: il prit délicatement le menton de la jeune femme avec sa main droite pour la tourner doucement vers lui. Il avait alors déjà approcher son visage et, jeta un regard profond à Claire avant de poser ses lèvres contre les siennes. Un nouveau baiser, plein de passion anima alors la soirée de ces deux êtres. Une nouvelle fois, ce qui se passait autour n'existait plus, les gens, la foule, la musique, cela n'avait plus d'importance. Le monde s'était de nouveau arrêter pour eux. Après quelques instants, le sayen se retira délicatement et lui dit:

"Pour moi aussi, tu n‘es pas une personne quelconque, je n‘avais jamais rencontrer quelqu‘un comme toi auparavant. Tu es…Unique, tu dégage quelque chose que je ne peut décrire mais qui m’attire. Je ne saurais dire moi non plus ce qui nous arrive mais je n‘ai pas envie que ça s‘arrête…
Alors, ne te tracasse pas pour ça, s'il te plaît. J'ai moi aussi apprécier notre baiser...nos baisers et j'espère que ce ne saurons pas les derniers."


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MessageSujet: Re: The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire)   The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire) ClockMer 23 Fév 2011 - 0:57
( Vraiment désolé de tout ce retard de plus d'un mois mon Motta-chou ! Maintenant c'est réglé, impect quoi :p )

Tous ces gens me paraissaient si heureux… n’y avait-il donc que lorsque qu’il y a des périodes de fêtes que l’on voyait ce genre de sentiment ? Je ressentais leur bonheur, leur épanouissement, la tendresse qu’ils se donnaient les uns aux autres. Je n’avais jamais connu ça. Pourquoi en ce jour, les gens étaient-ils donc tous habité par une bonté ? Je me disais que cela était tenu d’une sorte de tradition, mais comment pouvait-on conçevoir le fait que l’inconnu, notre prochain, soit la personne à qui nous sourirons sans la connaitre vraiment ? Pourquoi est-ce que les humains sont-ils, aujourd’hui uniquement, solidaire et s’aiment entre-eux, sans juger leurs voisins ? Il n’y aurait donc qu’en ce temps de trève que les gens ne critiquent pas et ne sortent pas d’arguments hypocrites à propos des autres ? Ou du moins, avec un rire léger et non pas d’une sournoise moquerie ? La population, quelle qu’elle soit, n’a jamais pu être équilibré, ni même aimante. Si l’on devait faire un génocide des abrutis qui habitent chaque planète dans cette galaxie, qu’elle pourçentage ridicul resterait-il ? N’avons-nous pas tous été, une fois dans notre vie, la parfaite définition d’un enfoiré ? L’être humain est en lui-même, une corruption, une anti-thèse de ce qu’il voudrait faire passer de lui. Combien d’homme n’ont pas été tenter, brûler, attirer par le péché suprême qui vient s’entremêler étroitement dans les liens de l’amour ? Je n’ai moi-même pas connu d’homme qui à l’époque, n’allait pas voir ailleurs que chez eux. Ils travaillaient tous beaucoup, les femmes étaient au foyer, les enfants sous l’éducation de leur seule tutrice. L’homme ne revenait que rarement. Demandez-vous pourquoi était-il accablé par le travail… et par ses hormones. On pouvait tuer une femme pour l’impureté de sa chaire, mais un homme, on ne pouvait qu’ignorer ce fait. Ce n’est pas l’unique raison pour laquelle j’ai toujours accordé moins de clémence, d’importance et de charité aux hommes. Malheureusement, ils furent aussi la bête noire de l’époque. Tous les sujets hommes à qui on avait implanter un démon, avant nous les femmes, se sont transformer une semaine après, comme des faiblards, en Yoma. Le démon prenant alors contrôle d’eux en quelque sorte, disons plutôt qu’ils se sont laisser influencer par celui-ci, ils ne faisaient qu’accomplir leurs instincts primitifs : se nourrir, utiliser les humains à leur profit, combler leurs hormones. Tous les démons que j’ai tuer étaient des hommes, sauf trois. Les deux abyssals, celle du Sud et de l’Est et Priscilla. Ce sont les plus forts spécimens que j’ai rencontré dans ma vie : des sujets féminin, qui gardaient leur personnalité à côté du démon qu’il avaient tout de même en eux. Seulement, on peut être capable de le dominer, car il n’est plus qu’une infime partie de lui-même, avec capacité de nous influencer de quelconque manière, plus ou moins douloureuse. Mais on s’y habitut, la pire période ne réside qu’au début. Les hommes n’ont aucun principe, aucune fierté. Une fierté primitive, bien entendu, mais ils n’ont pas assez de courage pour parler franchement. Ce sont des menteurs affirmés, et cela, dans la grande majorité des cas. J’en ai vu défilé, des hommes et femmes, leurs caractères, je les aient étudiés. J’en tire du péjoratif et du positif, mais cela me fait rester sur ma position de départ : le mal, la corruption, domine l’être humain. Nous sommes tenter par des choses ignobles dans le fond, mais le meilleur moyen d’y résister, c’est de se laisser tenter. Autrement, on a des remords toute ça vie. Elle est bien trop courte pour attendre éternellement quelque chose, ou pour se remémorer de triste souvenirs lorsque nous devenons vieux et sans utilité. La croyance d’antan accompagnait les pauvres et ceux qui voulait se répantir d’actes horribles, les prêtres étaient des personnes tranquille et réfléchie, digne de philosophe. Nous ne connaisions ni le rire, ni la joie. Partout où je suis allé, les gens térrifiés de peur, se cachaient dans leur maisons, regardant par les plaques de bois qui leur servaient de fenêtres. Les villages étaient pauvres, médiocre, sans intérêt pour les autres, mais tous avaient peur. Peur des démons qui envahissaient les villages pour se nourrir, peur pour la vie de leur proches, peur de nous, guérrière appelées claymores, mi-humaine mi-démon, car on ne voyait en nous que notre partie démoniaque. Les visages térrorisés que je rencontrais chaque jour, sans jamais changer l’expression de mon visage. Je peux ressentir, savoir ce que les autres éprouvent, mais je ne peux pas les comprendres. Nous ne venions pas du même milieu, nous ne partagions ni le même passé, ni le même destin. Rien ne nous raliait, tout était fait pour que nous n’ayons de nous, guérrières, qu’une image de démon et que nous nous résignons à l’accépter, ayant pour seul but de servir nos chefs. Je crois qu’il est possible d’oublier… j’ai oublié. Tous les sentiments qui me raliait à Térésa, à Raki, à mes compagnes de guerre. Cette période est loin, et je n’arrive pourtant plus à me remémorer. Qu’ons t-il fait de moi ? Qu’ons-t-il fait de nous ? Puisque je n’ai garder que ce qu’il m’ont apprit, puisqu’ils mont enlever tout plaisir, tous sentiments capable de m’attendrir, puisque je ne pouvais jouir d’une simple relation familiale ; j’étais pour eux le parfait exemple de la future recrue. J’ai consacré ma vie dans cette direction pour Térésa. Pour prouver que j’ai purifiée par la lumière qui est en moi, malgré que je ne sois pas mi-ange mi-démon, a tuer la personne qui a détruit ma propre vie. Comme j’ai détruit celle d’Isley, le dernier abyssal, en tuant sa bien aimée, qui n’était qu’une gamine de vingt deux ans, ayant encore son âge mental de dix huit. Car elle est resté bloquée toute sa vie sur le fait que sa famille s’est fait dévoré devant elle quand elle fut jeune. De plus, un vrai problème psychologique s’était installé en elle depuis ce jour : celui de haïr les yomas. Elle éprouvait tant de haine, de rage, envers cette race, qu’elle-même en devenant très jeune une claymore, devint une yoma. Ce qu’elle n’accépta jamais. Priscilla aurait ait l’heureux sujet de beaucoup de psychologue à l’époque actuel, car nul ne sait quel diable pouvait bien l’animer, de sorte à ce qu’elle ne se rende même plus compte de la damnation qu’elle fut et qu’elle n’accepta jamais dans sa vie, considérant que son but était d’exterminer les personnes voulant la tuer, les considérants comme des démons. Disjoncter de la sorte, cela n’était pas rare, mais cela ne m’avait pas choqué pour autant. Quand on voit un Yoma la première fois, on se demande s’ils ont encore un cerveau plausible, du moins correcte, car ils sont toute la représentation du mal et des péchés. Peut-être la première fois, je crois, j’ai espérer qu’il me tue pour ne plus à voir de scènes pareil. Mais avec la formation que j’ai subis pendant presque un siècle, tout le bourrage de crâne qu’ils nous ont foutus dans l’esprit, j’avais l’impression que ma vie ne résidait que dans ça. L’expérience que j’en tire, finallement, est plus gagnante qu’un simple entraînement, ou qu’une formation auprès de quelqu’un de neutre. Quand on vie dans cet enfer, cette fournaise d’où on ne ressort jamais, on comprend ce que sont les vraies valeurs de la vie, on comprend qui ou quoi doit être sauvé, ou non. On comprend enfin que la vie n’a pour but que de nous détruire, que la mort est une inévitable étape, avant une autre que tous ignorent. La religion n’est donc là que pour guider ces gens, traumatisés dans le fond par ce jour où ils mourront, car ils ne savent pas où cela les guideront. Les abîùes dans lesquels j’ai vécu tout ce temps me paraissait mon quotidien. Alors qu’enfait, je me rends compte que toute cette vie n’a été que monstruosité, que personne maintenant ne souhaiterait prendre ce chemin. Alors seul la profonde haine et le courroux intérieur dans lequel je fus plonger à l’égard de Priscilla m’avait animé. Car dans le temps, nous avions le savoir de la vraie valeur des choses. La vrai valeur qu’avait Térésa dans ma vie… la seule personne qui s’est tourné vers moi, même si au début ce n’était pas voulu. Je me rappelle si bien… tout ce temps où je l’ai suivie. Et quand elle a voulu me laisser dans ce village meurtrier qu’elle croyait saint… Je crois qu’elle ne s’est jamais pardonné cet épisode dans sa vie. Quand elle m’a retrouvée, là, en plein milieu des morts, souillée, en sang, les habits en lambeaux, j’ai vu pour la première fois le regard que les gens craignaient tant : ces yeux jaunes, transperçant, comme une si une horrible sentence allait s’abbatre sur vous lorsque vous regardiez ses yeux. Comme je m’étais évanouie, je n’ai jamais connu la suite. Mais deux jours après, j’étais éveillée, dans notre nouvelle maison, auprès de Térésa. Je l’accompagnait à ses missions, main dans la main, mais elle avait vite abandonnée cette vie épouvantable dans laquelle elle avait toujours vécu, pour s’adonner aux sentiments de maternité, de compassion, de tendresse, qu’elle eut trouvé avec moi. C’était ma seule vraie famille. Je n’ai jamais été plus heureuse dans ma vie que lorsqu’elle fut venue dans notre village, pour tuer ce démon qui m’avait recueillit. Pourquoi ne m’avait-il pas tué ? Parce que j’étais un élément pour amadouer les autres habitants, car je lui servait pour toutes sortes de pratique. Que ce soit une question de ménage, de service, ou même sexuellement. Cette période est si loin… mais je m’en rappelle tellement bien. C’est si étrange… quand j’étais enfant, j’étais tout le temps térrorisé. Puis, à force de vivre ainsi… c’est comme si… je ne pouvais rien ressentir. Je ne ressentais plus rien… ni douleur physique, ni mentale. Car je pensais que ma vie n’avait aucun autre but que d’être ainsi. Je pensais que rien ni personne ne viendrait me sortir de là, car les gens ne pouvaient pas s’interesser à la vie des autres. Même si je savais que certains le savaient, que cet homme pour eux, était une monstruosité tant bien dans l’aspect humain qu’il donnait, abusant de moi, dans plusieurs sens du terme. Mais personne ne fit rien. Ce pourquoi, je n’ai jamais considéré avoir eus de vie, jusqu’au jour où, elle le tua sous mes yeux, sous les yeux de tous. Le sang violet foncé du démon m’avait éclaboussé, je m’en souviens, et à ce moment, je crois que j’ai recommencer à éprouver, à ressentir les choses. C’était un choque, une chose que je voyait comme improbable. J’avais alors enlacé la guérrière, qui me rejetta si violamment, comme moi-même je le fus en devenant claymore – passive mais violante, sans aucun sentiment – que j’en étais tombée. Et elle m’avait dit qu’elle n’avait pas fait ça pour m’aider, que c’était son boulot, alors que pour moi, Térésa était celle à qui je devais ma vie entière. Toute mon âme, mes espoirs, ma conscience, elle avait tout libérée. Je n’y avais pas cru, je me souviens, comme si c’était iréel. Et c’est ainsi que j’ai commencé à la suivre, même si elle ne portait aucun regard sur moi. Finallement, elle commença à s’attacher, même si à plusieurs reprises, je tombais du haut des falaises, tombais dépuisement, cette dernière était toujours là pour me rattraper, veiller sur moi comme un protecteur l’aurait fait.

C’est ce que, bien des années après cela, je fis avec Raki. Ce pourquoi, cette étrange silimarité de nos deux passé et de ce qui s’est produit, était-ce une simple coïncidence ? Comme je n’y crois pas, comme tout est surement inéluctable, je devais le rencontré, lui aussi, pour que son avenir se développe comme le miens le fut, à quelques points près. Nous avions tous les deux eux comme tuteur un démon, bien que lui n’en était pas conscient. Cela lui avait fait un choque, lui qui croyait que c’était encore son frère, alors que son pauvre frère s’était fait dévorer par le démon qui prit par la suite sa forme… je ne pouvais pas comprendre ces personnes. Juste perçoir ce qu’ils ressentaient, sans réellement comprendre les sentiments. On nous avait apprit à ne rien ressentir, à rester calmer en toute situation, à être comme des machines sans vie qui ne peuvent pas être capable de s’apparenter aux humains – alors que c’est ce que nous sommes, au départ, bien qu’après, plus jamais considéré comme tel. Ma vie n’ayant pas été seulement toute noire, ces moments qui me paraissait bref, étaient les meilleurs que j’avais vécus. Et dont je me souviendrais à jamais. Les souvenirs que nous gardons, nous, humains, nous semblent si proches. Quand nous nous plongeons dans nos abîmes, dans des pensées sombres, nous trouvons toujours les souvenirs les plus lumineux que nous gardons. Et pourtant, ces souvenirs si chères, ne deviennent que cendres et poussières quand ils sont si loin, qu’ils n’existent plus au moment du présent, qui n’auront plus jamais lieu. Si notre cœur pouvait lâché, est-ce que cela nous garantirait une vie meilleur ? Pourrait-on oublier, se foutre des autres, de nos souvenirs, de ceux que l’on à aimé si facilement ? Nos rêves d’amours excentriques seraient alors si attaignable facilement, rien ni personne ne serait là pour nous empêcher d’établir une relation. Tout n’est pourtant pas si simple et facile à vivre, malheureusement. Quant à une comparaison par rapport à la vie que je mène aujourd’hui et celle d’avant, il y a beaucoup à dire. Je ne suis pas du tout dans le même type d’univers, ici. Tout parait si simple, comme si tous ces gens n’avaient aucun problème personnel, comme si la Terre était un endroit sûr et divertissant. Personne ne part en courrant se cacher quand j’arrive. A l’idée que j’étais un démon, ils se pliaient de douleurs chez eux, de peur, de culpabilité, puisque leurs vies étaient tout ce qu’ils possèdaient. Ici, c’est plus tranquille, plus vivable qu’à l’époque. Et maintenant que j’ai trouvé ce cher Motta, pourquoi aurais-je un mal du pays ?

Mon regard était plongé dans le vide. Je ne regardais que rarement les autres personnes, car celles-ci n’avaient aucune importance à mes yeux. Peut-être devrais-je ne pas réagir ainsi ? Mais l’on m’a toujours dit, que donner de l’afféction à quiconque était sympathique avec soi, était une autodestruction. Moralement, physiquement, mentalement, les autres nous atteignent et nous torture l’esprit. Je ne voulais pas être la victime de l’empresion de quelqu’un, encore moins d’une personne qui parait gentille et qui n’est enfait, rien. Lorsque que l’on jette un regard sur l’extérieur, on distingue clairement les personnalités des protagonistes qui déambulent dans la rue, poussé par un vent de charité, de vanité, de bonne humeur et toutes autres choses auxquelles on ne pense pas, que l’on ne perçoit pas. D’une simple vue, on ne peut pas forcément deviner qui est quoi. Mais j’ai été conçus, entraîner, pour ça. Mon métier, disons, était de cerner les personnes, les coincés, les détruires. Pas d’embrasser quelqu’un pour qui j’ai d’étranges sentiments. Est-ce ça qui fait vive, qui à fait vivre tant de guerriers ? Comment d’écrire cette sensation si agréable qui vous donne envie d’ivresse, de ce perdre à meme dans cette chose ? Comme si cela prennait plusieurs sens, détournait notre aspect de la vie à ce moment, comme si tout était si fleurit, si merveilleusement beau. Je n’ai jamais bien comprit ce que cela impliquait, d’aimer et de chérir quelqu’un. Mais ce qui m’arrivait depuis que j’avais, la toute première fois, vue cet homme m’était indescriptible. Son être entier m’avait attirer, comme quelque chose de précieux, d’une valeur inestimable, qui soulève la curiosité de la personne qui aperçois cette perle unique. Apparemment, il avait apprécier le geste tout autant que moi – mais comme nous sommes tous les deux des guérriers, devrions-nous avoir honte d’exprimer ce que l’on ressent ? Comme j’avais décidé de dérivé le sujet pour ne pas être dans une atmosphère mal à l’aise, je me sentais moins stréssé intérieurement que je l’avais été auparavant. Je gardais cependant le bout de mon nez plonger vers le vide, là où j’étais sûre de ne croiser aucun regard de mon compagnon. Pourquoi avais-je cette réaction si étrange ? Pourquoi sentais-je mon cœur se serrer dans ma poitrine et moi, m’abaisser timidement dans cette position ? Je ne savais même pas comment réagir. Comment un simple sentiment pouvait-il causer cela chez quelqu’un ? Tout devenait maintenant plus net. Je comprennais pourquoi l’Organisation nous en avait préservé. Ils avaient peur que, comme Térésa l’a fait, les guérrières à leur service ne déserte par un sentiment d’amour envers quelqu’un. Je commençais à comprendre que, cette personne, nous n’avons pas envie de la laisser, jamais. Jamais je ne pourrais rester impassible face à ce sayen, et peut m’importe ce qu’il est. Il me dit alors le lien qu’entretenaient les sayens avec MV – ce qui est carrément péjoratif - puisqu’ils le considèrent comme un ennemi. Pourtant, il leur ressemble comme deux gouttes d’eau. Les sayens sont faciles à reconnaitre. D’ailleurs Motta s’était même arrêter de manger le temps de m’écouter. Cela me paraissait bien étrange de sa part, car la plupart d’entre eux, d’après ce que j’ai pu en voir au tournoi, sont des goinfres. Cela me faisait dire qu’il m’écoutait attentivement et qu’il s’interéssait à mes propos. Cela devait certainement me flatter, mais je me trouvais seulement là, géné, puisqu’il me fixait et avait poser ses couverts. Mon visage impassible, pratiquement toujours sauf à l’exception, était toujours abaisser. Je ne savais pas où me placer, alors que nous avions partager un moment crucial dans ce qui était de notre relation future. Qu’était-ce vraiment ?

Le sayen prit doucement mon menton entre son index et son pouce, pour tourner ma tête vers la sienne et, sans que je ne puisse réagir, à nouveau, nous partagions un baiser. Je n’osais pas bouger, alors que je devrais repousser l’individu devant moi et ce, en le détruisant si nécéssaire. Moi qui avait toujours considérer les autres comme des cibles, des appâts, mais pas comme des humains… je me retrouvais là, appréciant malgré moi ce moment, ce baiser si intense, qui en disait long sur ce que nous ressentons l’un pour l’autre. Mais que resentais-je vraiment ? Il me semblait avoir connu, vaguement, ce genre de chose. Malheureusement, mon passé étant trouble… et ces moments qui ressurgissent à la surface…

Lorsqu’il détacha ses lèvres des miennes, délicatement comme je l’avais fait auparavant, tous le poids de mon passé, de ma vie, s’abattit sur mes épaules. Il renchérit sur la discussion à laquelle j’avais décidé de ne pas prêter plus d’attention, car je pensais que cela fut futile. Les mots qu’il prononçaient me transperçaient, comme si ça voix résonnait doucement dans les ondes, berçant mon esprit entier. Je semblais vraiment très touché, car les traits de mon visage s’adoucirent et devinrent fragiles. Mon regard se noya à nouveau dans un néant distordu, dans lequel on se perd.

Flashback



Une tempête de neige battait son plein. Aux alentours du village, il n’y avait aucun bruit. Un silence lourd et morbide. Un vent silonnait les arbres, et les murmures de celui-ci se faisaient entendre tel une petite voix criarde, pleurante. Un cri déchirant se fit entendre, tout d’un coup, brisant ce silence mortuaire. Lorsqu’on entrait plus profondément, dans le cœur du village, on y trouvait des cadavres. Des cadavres démembrés, parfois en morceaux, ou alors des organes vitaux perforés et irrécupérables. Des monstres de plus de dix mètres résidaient aussi là, dans le même état que les cadavres humains au sol. On s’imaginait alors clairement la bataille qui avait eut lieu entre ces deux espèces. Les cadavres humains étaient uniquement féminin. Les cheveux tous blonds, et toujours une épée en guise d’arme. Quant aux monstruosités, celle-ci étaient toute noire, possédaient des membres de tailles démesurés et plus aucun aspect d’humanité. Le massacre avait été tel que, les maisons étaient éffondrés, en lambeaux, tous comme les lieux. Les arbres décimés. Mais aucune trace des villageois, puisque ceux-ci étaient les monstres étalés, mort sur le sol.

Le cri provenait d’un endroit très proche d’ici. Plus loin, trois femmes blondes aux grandes épées étaient debout et à l’écart de la scène, observaient se qui se passait. Sans, visiblement, pouvoir agir. L’une d’entre elle avait un bras manquant, mais semblait tenir le coup. Une femme au loin, faisait face à un énorme lion, qui se déplaçait parralèlement aux humains et parlait tel ceux-ci. C’était Rigardo. Cet homme à la base, avait le don de prendre la forme d’un lion, mais avec bien plus de force, de ruse et de vitesse qu’un être normal. Quant à celle qui lui faisait face, bien entendu, c’était l’Héritière. Son carré plongeant envellopait délicatement son visage déchiré par un sentiment très intense. Ses yeux jaunes brillaient d’une lueur très forte et, ses dents pointues et accérés étaient visible. Des veines fines mais voyantes s’était installer sur ses bras et ses jambes n’avait plus rien à voir avec celle d’un humain. C’était deux longues tiges en métal, avec en guise de pied, des sortes de sabots pointues, ceci lui permettant d’acquérir une vitesse à toute épreuve. Son visage était horrible. Horrible car ses yeux, pourtant si beaux, ne reflétaient une haine sans fin et, son expression hargneuse, démontrait que cette même femme était corrompue. Le combat semblait déjà bien avancé, et son adversaire, Rigardo, avait déjà perdu un bras. Quant à lui, son visage était stoïque, mais on devinait – en regardant dans ses pupiles – qu’une tristesse sans fin le gagnait. La jeune femme s’élança vers son opposant, qui apparemment, ne réagissait plus.

- Claire !

On entendit quelqu’un hurler ce prénom. Un hurlement de désespoir. Alors que l’épée, d’une manière si rapide et fulgurante transperça le torse du lion, un jeune garçon arrivait en courrant. Quant il découvrit la scène, sa gorge sembla se serrer si fort qu’il ne pouvait plus rien dire. Sa posture indiquait qu’il était sous un état de choc. Celle qui répondait au nom de Claire tomba à genoux, à cause de toute la forc eet la préssion qu’elle avait éxerçer dans cette offensive. Elle tomba à côté du lion, qui reprit sa forme humaine. Celui-ci crachait du sang violemment, et pourtant, il regardait celle qui l’avait tuée d’un air si angélique qu’on ne pouvait comprendre cette histoire. Ce lien qui les avaient liés. Les mains tremblantes de la jeune femme étaient toujours sur l’épée. Elle ne semblait plus répondre de rien. Rigardo, qui était redevenu humain, bougea les lèvres avec tant de mal que personne n’avait pu entendre ce qu’il avait dit, sauf son assassin. D’un sourire, ses yeux se fermèrent et il sombra. Le combat avait été apparemment très long, mais pourtant, on ne sait pourquoi, il avait préférer y laisser sa vie. Le jeune garçon qui avait été choqué, voulu courir vers Claire, mais une femme aux très long cheveux bond lui barra la route. Sans le regarder, elle lui annonça :

- Dieu a créer l’homme à son image, Raki. Mais il n’a pas prit ombrage du malin…

Claire n'avait plus rien d'humain.

Flash Back ( sept mois avant )

Lorsque l’aube se leva, on aperçut une silouhette qui se détachait de la neige. C’était celle d’une taille fine, pas celle d’un homme. La neige tombait tranquilement, en petites couche, pour rejoindre l’immensité de l’étendue actuelle de celle-ci. La jeune femme en armure était couverte de sang. Et, pourtant, son visage ne laissait parraitre aucune crainte, aucun traumatisme. Comme si cela était normal. Ses ongles longs et taillés en parfait carré étaient eux aussi teinté du liquide rougeâtre. Des petites perles de sang d’ailleurs, glissaient de ses ongles pour s’écraser au sol. De son autre main qui n’avait pas été affécté par cela, elle tenait celle d’un jeune garçon d’environ 16 ans. Il était plus petit qu’elle, brun, et abordait une expression sympathique et joyeuse. Cela contrastait totalement avec celle qui l’accompagnait.


- J’ai hâte de rencontrer Rigardo ! Et de manger aussi. En plus, avec ce que j’ai pêché ce matin, je vais préparer un bon petit repas, tu vas voir, j’vais l’impréssionner !

La jeune femme se contenta de tourner la tête vers son protéger en lui souriant.
Quelques heures après, à l’abord d’un petit village enneigée, ils étaient à l’intérieur d’une maison modeste mais acceuillante. Le jeune garçon de 16 ans du prénom de Raki, cuisinait tranquilement dans la cuisine. Il semblait ravit. Un homme très grand, brun aux yeux violets, étant leur hôte, avait prit directement la dénomé Claire dans ses bras à son arrivé. Il avait semblé très inquiet, mais on apprit que cela était dû au fait qu’il ne l’avait pas vu depuis plus de quatre mois, sans nouvelles, et qu’elle réaparraisait d’un coup. Cet homme semblait avoir un caractère plutôt froid, mais avec un humour plaisant. Ainsi se créait l’équilibre avec sa conjointe qui, visiblement, n’était pas des plus sociables.
Un peu plus tard dans la soirée, Rigardo et Claire étaient blottit l’un contre l’autre, dans les draps de leurs lit. L’homme fumait tranquilement, la tête contre l’oreiller, mi adossé au mur dérrière le lit. Quant à Claire, elle était allongée sur lui, les bras croisés sur son torse et la tête sur ceux-ci. Il posa sa main dans les cheveux de la jeune femme.

- Explique moi comment je pourrais lever la main sur un ange… dit-il avec un petit sourire. Même si tu n’as jamais voulu me dire ce que tu fais dans la vie en t’absentant ainsi, je ne peux pas me résigner à ne plus t’aimer. J’espère te garder longtemps auprès de moi…

Et l’homme la regarda si profondément, que l’on comprennait que ces mots étaient sincères. Il releva alors délicatement le menton de la jeune femme et l’embrassa, en lui donnant tout l’amour qu’il lui portait.

Flasback ( Fin ) .

Un immense flot de vie revint en moi. Des images douloureuses venaient de me traverser l’esprit et j’eus l’impression de divaguer. Comme culpabilisé, je cherchais un regard et, en levant mes yeux, je rencontrait ceux de Motta. Je l’enlaçait alors subitement, mes bras autours de sa nuque, en le serrant contre moi intimement comme je l’avais fais lorsque nous dansions. Cela me rassurait vivement et animait en moi ce que j’avais perdu. Ou ce que je n’avais pas eus le temps de véritablement connaitre. Pourquoi fallait-il que cela ressurgirse maintenant ? Je ne voulais pas perdre quelqu’un à qui je m’étais attacher à nouveau. Et pas à cause de ce que je suis et de se qui m’habite. En me détachant de lui, je me levais pour qu’il m’accompagne plus loin. Il y avait une fête foraine installée dans la ville. Il était pratiquement minuit d’après ce qu’avait crier quelqu’un dans un mégaphone, avec beaucoup d’entoushiasme. Il y avait une grande roue, animée de couleur très vives. Elle était immense et reluisait de couleurs harmonieuse. Cela avait l’air d’être parfait pour avoir une vue superbe de la ville illuminée de toute part. Comme celui qui surveillait l’entrée pour cette attraction était occupé avec les chars décorés qui défilaient dans les rues, j’en profitait pour monter dans un wagon, en m’asseyant face à Motta. Peu après, celui-ci se trouva très haut dans les airs et, d’ici, on aperçevait toute la ville, dans son habit le plus magnifique. Je prennais alors les mains de Motta dans les miennes, en le regardant droit dans les yeux, comme lorsque quelqu’un vous annonçe quelque chose de crucial.

- Peut-être qu’une famille t’attends quelque part. Peut-être que tu as eus une femme et qu’elle te recherche désespérément. Si cela est vrai… je ne pourrais pas pour autant éffacé ce qui est né en moi à notre rencontre. Si jamais je venai à te perdre.. ou si ton passé te rattrape, sans que tu ne puisse plus reculer, alors une partie de moi serait anéantie. Je n’avais pas pu comprendre et mesurer l’immensité de ce sentiment que j’ai à ton égard jusque là. Je ne sais pas si c’est vraiment comme cela, que l’on agit lorsque l’on ressent ça, mais la peur de perdre une fois encore la personne que j’aime veut que, malgré moi, je te dises tout l’amour que je te portes.

Et j’étais sincère. Je me rappelais de toutes ces choses que m’avait dit Rigardo, que je ne comprenait pas réellement, même si je l’aimais très profondément, sans pouvoir l’exprimer. Et je crois que la douleur que j’ai eus de le perdre était éffroyable. Motta était parfait à mes yeux, comme les gens à qui l’on porte tant de tendresse. Je m’y étais déjà beaucoup attacher alors que nous ne nous connaissions que peu. A mes paroles, on entendit de long sifflement raissonnant dans le ciel, et à nouveau, un feu d’artifices commença. Un homme venait de crier que le spéctacle du feu d’artifice de minuit en l’occasion de noël débutait. Les feux d’artifices aux couleurs rouges, blanches et vertes, représentaient des personnages et des objets liés à cette fête. On y voyait des lutins et des gnomes, déguiser en l’honneur des festivités. Cela était amusant à voir et égayait tout le monde. Comme nous avions une vue très vaste, on voyait aisément les feux d’artifices d’ici. Il faut dire que c’était agréable d’être ici, retirer de la foule et du bruit. On comtemplait avec tranquilité cet instant, sans se soucier des autres, en bas, qui s’écriaient de joie aux lueurs du spéctacle. Je tenais toujours ses mains, puis je tournais mon regard vers lui à un moment, avec un sourire sincère et joyeux, comme je n’en avais que très peu fait. Ce moment où nous étions là, main dans la main, était éclairé par les couleurs vives qui éclataient dans le ciel autours de nous. Je n’étais pas prête d’oublier ce que j’avais vécu ici, avec lui.

Une bonne dizaine de minutes après, le feu d’artifice se finit et on nous anonçait – grâce au mégaphone, encore – que la fête reprenait. Quand notre wagon rasa le sol, je sortais en compagnie de mon colonel. Tout en le tenant par la main, tel un couple le ferait en n’ayant aucune crainte à se montrer en publique, je marchais à ses côtés. Nous paraissions tous les deux très élégants, j’en avais bien l’impression. Son armure n’était pas faite de paquotille, bien au contraire, elle était soignée et englobait parfaitement le sayen, qui se tenait droit et fier, comme on avait dû leur apprendre. Il était bien le plus charmant de tous les êtres que j’avais pu rencontré, ainsi. Quant à mois, escarpins et robe moulante, j’avais l’air d’une bourgeoise avec des jambes qui n’en finissent pas. Puisque je ne suis pas bien grande, ça rattrape les centimètres que je n’ai pas par rapport à Motta quand je suis sans talons. Enfin, du haut de mon mètre 77 avec ces chaussures, disons que je suis bien plus grande que la moyenne. Dire que je touche à peine le métre 70 sans…

Nous avions traversé la ville, en voyant les gens rirent et danser, encore. Certains buvaient, mais même un peu sonné, n’avait pas de gestes grossier. C’était le jour où, tous s’entendaient bien, sans se soucier du lendemain. Comme il se faisait tard, et qu’il faisait nuit noire, je l’emmenais jusqu’à l’hotel où je m’étais installé. Un petit hotel paisible, d’une classe très apréciable, mais qui avait l’allure d’une auberge acceuillante, et non d’un grand bâtiment pour les friqués. Lorsque je poussais la porte d’entrée, c’était la vieille femme qui était là. Ses yeux s’écarquillérent lorsqu’elle remarqua que – une fois de plus – je venais accompagner d’un bel homme. Je ne me demande pas ce qu’elle s’imaginait. Lorsque j’avançais au comptoir, elle me tendit mes clés.

Femme : Le monsieur qui vous accompagnait l’autre jour à manquer de casser mon lustre, voyez-vous, car avec cette immense arme qu’il portait dans son dos…

- Si c’est le fait que je viens accompagner aussi ce soir… Sachez que l’homme de qui vous aviez eus peur la dernière fois, Nnoitra, est un ami. Alors que mon compagnon actuel est mon conjoint, madame.

J’avais dit ça sur un ton moqueur, et elle aquiesça, du haut de son petit mètre 47, qui la faisait petite et rabougrit. Elle repartit à ses affaires, en comprenant qu’elle n’avait pas à se mêler des miennes. Je souriais à Motta par ironie envers cette vieille dame curieuse, qui s’était emprésser de partir. Je montais à l’étage pas la suite, pour trouver ma chambre. Je laissais Motta entré pour refermer dérrière nous, laissant la clé sur la porte vérouillée. Ma chambre était faite de couleur rosé, et on s’y croyait comme dans une chambre luxueuse de personne haute placée. Disons que les deux vieillards avaient du goût et du savoir faire pour les affaires, car la qualité de la chambre était bien supérieur à celle des concurents. Il y avait deux autres pièces : une qui servait de cuisine et qui contenait une partie sofa et télévision, ainsi qu’une autre grand pièce pour la salle de bain. Je lui laissais le temps de visiter un peu les lieux. Il faut dire que tout était inpécable, on ne pouvait pas se plaindre de leurs services. Je lui montrait la cuisine, au cas où il aurait une petite faim – j’avais compris que c’était important pou eux – et qu’il pouvait se servir si besoin. Puis reprenant les devants, comme j’avais l’habitude de le faire – comme bon me semble, bien entendu – je l’emmenai dans la salle de bain. Il y avait des éviers blancs qui brillait sous l’effet du produit nettoyant utilisé, et des glaces immenses. La salle disposait aussi d’une grande baignoire faisant office de jacuzzi, et d’une douche pouvant contenir bon nombre de personnes – c’est là qu’on se demande si ce n’est pas non plus de l’incitation, ça. D’ailleurs, en l’entraînant dans la continuité jusque dans la douche, je pris soin de défaire son armure et tout ce qui pouvait être encombrant, bien entendu. Tout en l’embrassant, je reculais, contre la paroi de la douche, fermant la porte dérrière nous. Mon dos appuya contre le bouton qu’il fallait présser pour que l’eau jaillise du jet, accroché en hauteur. […]

Nous n’avions rien fait de spécial, hormis nous câliner et nous laver. Oui ? Disons que je remarque à quoi vous aviez penser, directement, en entendant parler de cela. Cela est bien plus distrayant que vous ne le pensez.

Lorsque nous sortîmes de la douche, je lui tendis de quoi se couvrir, alors que je m’enroulait dans une serviette qui englobait mon buste jusqu'à mi-cuisses. Mes cheveux encore un peu trempée, s’enroulaient légèrement en boucles fines. Ils avaient bien plus poussé que je ne l’avais pensé. Je ramassais nos affaires qui étaient tombés sur le sol – Non non, ce n’est la faute de personne, il fallait bien s’en débarasser avant de prendre une douche ! – pour aller les plier et les rangers dans l’armoire dont je disposais, près de mon lit. Au passage, j’allumais le feu dans la cheminée qui était sur le mur d’en face de mon lit, car il ne faisait pas bien chaud en ce temps d’hiver. J’avais troquer mes escarpins pour d’autres, mais plus bas, et plus adaptés pour aller avec des sous-vêtements – oui oui, ceux avec les petites pompom sur le devant, très chic, d’après ce que j’avais compris. Disons que je n’avais pas l’habitude de faire dans la négligeance. Je me mis de dos à Motta, pour pouvoir me changer. Me débarassant de la serviette, j’enfilais un ensemble en dentelle blanche. Un boxer en dentelle, contenant un petit nœud rouge sur le devant, ainsi que le haut qui couvrait ma poitrine seulement avec un crocher. On voyait le reste de mon ventre aisément, car il n’y avait d’attache sur sur le haut de mon buste. Le haut descendait, assez long, et élégant sur mes hanches. Il était fait avec rafinnement, et était plutôt léger. D’ailleurs, l’accroche en question juste sur ma poitrine, était décoré par un nœud rougeâtre semblable à celui du boxer, d’où question d’ensemble. Je passais mon index sur la longue cicatrice partant de mon entre-seins jusqu'à mon nombril. C'était ça, la parle de mes plus vieux souvenirs, la preuve que Thérésa était là, en moi. La cicatrice était encore visible, mais bien moins rougêatre qu'avant. Je détournais alors ma tête vers mon invité. Il semblait pour le moment apprécier le séjour dans cette magnifique chambre d'hôtel.

- J’espère que cela ne te dérange pas, de passer la nuit dans un hotel. Fait comme chez toi, ne t’inquiète pas, ça me fait plaisir que tu sois avec moi. Car je pense que malheureusement, nous ne nous vérrons pas beaucoup, quand nous repartirons chacun de notre côté…

J’avais un ton de mélancolie dans la voix, qui se faisait ressentir, et ça ne me plaisait pas. Par habitude de vouloir toujours cacher ses sentiments, certainement. Je m’étais assisse facez à la coiffeuse qui était du côté gauche, contre le mur qui comblait aussi la salle de bain. Je me brossais les cheveux, comme toutes femmes le ferait. Mais lorsque je me regardais dans la glace, je ne voyais que le montre qui sommeilait en moi. Je le voyais, là, en moi. Je me voyais tel que j’étais lorsque je commençais à me transformer en ce qu’il est. Lorsque mes yeux commencent à prendre une couleur vive et aggrésive, et que mon côté humain devient inexistant. Ceci me rendit mal à l’aise. Quittant la coiffeuse, je rejoingnais Motta du côté de la cuisine et du sallon. Je restais debout, sans gêne de me présenter ainsi, et sans savoir si cela était correcte ou non. Je me sentis alors un peu géné, et je décidais de m’excuser.

- Désolé si ma tenue n’est pas convenable, j’ignore vraiment comment vous vivez, vous les sayens… et si cela ne te plait pas… enfin, si ce n’est pas correcte… disons que je ne sais pas. On ne m’a jamais apprit ce genre de valeur, et je n’ai aucune pudeur. J’ai peur de te mettre mal à l’aise, alors que je ne le désire pas. Un peu embarassé, je continuais : Je suis maladroite, certainement parce que c’est nouveau pour moi, ce sentiment… mais ne doutes pas de moi,je t’en conjure.

Je fis alors un geste que j’avais déjà vu en observant une personne géné. Je retractais l’une de mes mains contre mon buste, ne sachant plut trop où me placer. Finallement, je reprenais mon calme petit à petit : après tout, je n’allais pas me laisser destabilisé d’une manière aussi simple, alors que je suis une guérrière.
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MessageSujet: Re: The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire)   The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire) ClockMar 1 Mar 2011 - 0:04
(Aucun soucis Claire-chou Wink )

Ce moment passé avec la jeune femme qu’il avait rencontré dans la forêt -rencontrer une nouvelle fois puisqu’il l’avait déjà vu dans les tribunes de grand tournoi de Dösatz- était un instant unique et tout ce qu’il y avait de plus agréable. Comme gagnés par un bonheur contagieux qui régnait dans la ville en cette période de fête, le sayen et la jeune femme au regard d’argent semblaient eux aussi nager dans une certaine félicité, la joie de partager un moment fort entre deux personne. Mais quel était donc ce mystérieux sentiment ? Cela ne ressemblait en rien à ce qu’avait connu le colonel jusqu’ici, c’était si étrange et si indescriptible, c’en était troublant. Mais comme toujours, le sayen faisait comme si de rien était, restant naturel ou du moins essayant de rester naturel. Pourtant cette émotion avait aussi bien touché Claire que Motta, mais ceux-ci avaient semblés hésitant, comme si ce qui arrivait était une absurdité, comme s’ils voulaient le cacher aux autres. Alors, quel était donc ce sentiment ? Un sentiment d’affection que deux personne éprouve l’une pour l’autre sans savoir comment la définir. Cette sensation semblait d’autant plus improbable que le fait qu‘un sayen et une femme mi-humaine mi-démon puisse se rencontrer dans de tels circonstances. Comment un puissant guerrier sayen pouvait-il se retrouvé là en face d’une ravissante créature au visage d’ange mais qui a son propre démon ? Surtout dans cette situation là, dans une fête où tout le monde semble être joyeux. Alors qu’elle a vécu des choses absolument atroces, et lui combattu tout au long de sa vie pour son peuple en voyant et en faisant des choses que seule la guerre puis montrer. Tout les deux plus habituer à vivre dans une atmosphère de terreur et de souffrance que paisible et joyeuse. Cela semblait irréel mais pourtant ils étaient bien là tous les deux, l’un en face de l’autre.

Motta essayait d’apprécier le moment au mieux, en effet, ce genre d’instant n’était pas courant sur la planète Vegeta, ont avait rarement l’occasion d’assister à ce genre de scène. Là-bas, tout se fait de manière plus brutale, avec moins de tact et sans se soucier de se que pense les autre, si quelqu’un n’est pas content il le dit et sa finit souvent par une bagarre, un vrai monde de brute. C’est un peu la loi du plus fort, mais chez les sayens ça a toujours été comme ça, ont pourrait même dire que de nos jours c’est moins pire qu’avant. En effet, à une certaine époque les guerriers de l’espace se conduisait en véritable barbare, avec des attitudes se rapprochant très distinctement de divers animaux sauvages. Heureusement, au fil du temps le peuple s’est civilisé notamment grâce à sa capacité de conquérir de nouvelle planète et piller les plus grandes richesses technologique de leur victime, privilégiant bien sûr les armes et autres outils utile pour le combat. L’acquisition de nouveaux matériels les a rendus encore plus dangereux pour les autres espèces, encore plus car les sayens furent motivés à l’idée d’obtenir d’autres technologies pouvant les aider à conquérir. Oui, la conquête fut la principale activité de ce peuple et d’ailleurs ça l’est encore aujourd’hui, mais par chance les sayens se montrent beaucoup moins brutaux maintenant même s’ils gardent tout de même leurs habitudes de guerrier. Le colonel prouvait bien par sa personnalité que les choses ont changé depuis, mais peut-être as-t-il aussi un peu évoluer en se montrant plus civiliser « grâce » à son amnésie. Ce n’était pas improbable.

Le sayen au bouc, alors qu’il s’était arrêter de déguster les bons plats servis au buffet avait été pris d’une sorte de pulsion et avait embrassé la demoiselle avec qui il passait la soirée. Ça c’était passé tout naturellement, comme une envie que l’on ne peut contrôler mais malgré cela, il y avait eût beaucoup de tendresse dans ce geste. Motta n’aurais sût expliquer pourquoi il avait agis ainsi mais il semblait indéniable qu’il éprouvait beaucoup d’affection pour cette jeune femme qu’il connaissait pourtant si peu. Il l’avait sentit un peu hésitante, gênée après leur premier baiser et c’était peut-être pour cela qu’il voulait brisé ce malaise en l’embrassant de nouveau. Claire ne sembla pas contre un nouveau moment d’intimité comme celui-ci et Motta était content de partager cela avec elle. Ce baiser s’acheva quelques instants plus tard, alors que la jeune femme au regarda d’argent semblait être ailleurs, comme si cela lui avais rappeler de nombreux souvenirs. Elle avait visiblement été touchée par ce qui venait de se passer et le colonel n’osa rien ajouter, se disant qu’il valait mieux laisser place au silence pendant quelques instants.

Le guerrier de l’espace resta donc silencieux, sans même attendre une réponse de la jeune femme: il ne voulait pas la brusquer. C’est alors que le regard de Claire traversa celui du colonel, puis elle l’enlaça subitement en mettant ses bras autour de sa nuque tout en le serrant contre elle intimement. Le guerrier ne savait pas comment réagir, il fut un peu surpris de cette réaction, ne s’attendant pas à se retrouver entourer par les bras de la demoiselle. Il ne savait pas vraiment comment réagir, alors il passa simplement sa main dans le dos de Claire avant de remonter lentement vers sa nuque où il caressa brièvement sa chevelure blonde comme l’or. Elle se releva ensuite et invita le sayen à la suivre. Elle l’emmena en direction d’une immense roue brillante de couleurs alors qu’un homme annonçait l’heure terrestre qui approchait de minuit. Apparemment la jeune femme comptait se rendre sur cette grande roue qui attirait un peu la curiosité du sayen: il ne savait pas du tout ce qu’était cet engin. Il se contenta de suivre Claire qui s’installa dans un des wagons, Motta fit de même et ils se retrouvèrent l’un en face de l’autre. Le manège se mit à fonctionner et les deux personnes qui venaient d’y monter s’élevèrent de plusieurs mètres calmement grâce au mécanisme du manège. Motta trouva cette machine étrange mais il compris très vite son utilité: c’était pour admirer la vue magnifique qu’offrait ce manège en faisant monter ses passagers.

Claire attrapa les mains du guerrier, elle sembla vouloir dire quelque chose de très important et c’est justement ce qu’elle fit. En effet, la jeune femme au regard argenté essayait de faire comprendre au guerrier ce qu’elle ressentait, elle disait avoir peur de le perdre, peur que le passé du sayen ne resurgisse. A l’écouter parler, il était facile de comprendre ce qu’elle ressentait mais pour Motta c’était difficile de gérer une situation comme celle-ci, il ne savait pas quoi dire ni quoi faire. Il la regarda d’un air un peu gêner en attendant qu’elle ait finit de parler, puis quand ce fut le cas, il chercha un peu ses mots pour répondre à Claire, ce genre de situation ne lui était jamais arrivé, du moins pas qu’il se souvienne et il avait donc du mal à trouver ce qui serait bon de dire. Parfois, il suffit simplement de parler avec son cœur ou au moins de dire les choses avec sincérité et Motta ne voulait pas que ce moment soit gâcher par une bêtise qu’il aurait dit maladroitement. Il finit par prendre la parole:

"Ecoute, pour moi ma famille c‘est le peuple sayen tout entier. Si jamais j‘ai une petite famille qui m‘attends quelque part je ne serais pas comment réagir…Mais tu sais, cela fait maintenant un certain temps que je suis réapparut vers mon peuple, et je pense que si quelqu‘un m‘attendait quelque part il m‘aurais déjà contacter depuis longtemps. Autrement dit, je ne pense pas qu’il y ait une autre femme qui m‘attende…Mais évidemment je ne peux pas te le garantir, la vie nous réserve parfois des surprises. En attendant, pourquoi ne profiterions-nous pas de l‘instant présent ? N‘est-ce pas ce qui compte le plus finalement ? Vivre au jour le jour, en profitant de chaque moment, n‘est-ce pas ce qui peux nous rendre heureux ? Alors, qu‘importe ce qui se passera plus tard, nous devons juste faire en sorte que ce moment dur le plus longtemps possible et surtout qu‘on l‘apprécie. Ainsi, il ne pourra rester que de bons souvenirs de cet instant."

Après ces quelques paroles d’improvisation pour le guerrier de l’espace, un feu d’artifice éclata sous les yeux du couple qui s’arrêta pour admirer le ciel coloré par les feux. A en juger par la forme qui étaient dessiner dans le ciel par les feux d’artifices, ont pouvaient reconnaître plusieurs personnages bien connus aux couleurs de la fête, il y avait donc du vert, du blanc, du rouge etc… Les terriens avaient vraiment tout une panoplie de choses pour faire la fête, ont pouvait dire qu’ils étaient de bons vivants: ils avaient toujours un moyen de s’amuser que se soit d’une manière ou d’une autre. Claire et Motta restèrent calme, toujours mains dans la mains, contemplant la beauté du spectacle en étant eux aussi emplit par la joie qui les avaient gagnés depuis le début de la fête. Le colonel n’aurais jamais imaginé vivre cela un jour, il ignorait même l’existence d’une telle fête avant de venir sur Terre, c’était un moment unique et assez incroyable. Pourtant le sayen en avait vu des spectacles, qu’ils soient impressionnant par leur violence ou par leur beauté mais ces terriens avaient vraiment ce qu’il faut pour attirer l’attention de n’importe qui, dont le colonel qui l’était davantage parce qu’il partageait ce wagon avec une jeune femme d’exception.

Quelques minutes plus tard, les feux d’artifices se stoppèrent, la fête reprenait, Claire et Motta eux, avaient finit leur petit tour dans la roue. La jeune femme garda sa main dans celle du colonel, celui-ci la tenait délicatement mais sans vouloir la lâcher, à les voir ont aurait dit un vrai couple ce qui était plutôt difficile à imaginer pour un sayen. Motta s’en fichais pas mal de se que pensais les autres, il était curieux de savoir où la jeune femme allait une nouvelle fois le mené. C’était agréable, là au moins il n’y avait pas trop de pression, le danger semblait inexistant, le colonel marchait avec sérénité sans se soucier du reste, juste en profitant. Ils traversèrent ensuite la ville, ils allaient donc quitté aussi la fête, c’était peut-être la dernière fois que le sayen verrait un spectacle pareil mais il était content d’avoir vécu cela même si par habitude il n’y serais jamais allé. C’est surtout Claire qui l’avait inciter à venir et il n’en était pas mécontent finalement.

Elle l’emmena dans un hôtel paisible mais qui paraissait tout de même de bonne qualité, l’endroit rêver ? Claire s’avança logiquement avant le guerrier qui l’accompagnait pour ouvrir la porte, là, ils furent accueillis par une vieille dame. Cette femme sembla étonner de voir l’arrivée du couple, à quoi pensait-elle ? Motta n’y accordait que très peu d’importance mais il compris la raison de son étonnement puisqu’elle parla d’un type avec qui Claire avait été accompagnée jusqu’ici. Le sayen se posa alors des questions, à quoi jouait-elle si elle avait déjà amener un homme ici ? Était-ce qu’une mascarade de la part de Claire destiné à des fins inconnus ? La jeune femme s’expliqua ensuite en disant que ce Nnoitra était simplement un ami, ce qui rassura Motta qui ne voulu pas plus réfléchir à cela, toujours dans l’idée de profiter du moment présent. Claire avait aussi désigné le colonel comme étant son conjoint, ce qui le surpris bien évidemment, il haussa des sourcils en regardant celle qui l’accompagnait tandis que la vieille dame repartait à ses affaires.

Claire souriait au sayen, qui lui répondit par un léger sourire, puis ils montèrent à l’étage jusqu’à la chambre de la jeune femme au regard argenté, le colonel se laissa guidé sans dire un mot. Elle le laissa entrer et refermer à clé derrière eux, il découvrit alors une chambre coloré qui semblait luxueuse et la qualité était évidente rien qu’en regardant l’aspect général du lieu. Il y avait d’autres pièces tout aussi impeccable, Motta visita un peu, s’arrêtant un peu sur la cuisine où il regarda d’un air interrogatif Claire en désignant le frigo, comme pour lui demander la permission pour qu’il puisse se servir. Eh oui, un sayen a pratiquement toujours faim mais il peux parfois se montrer civilisé et le colonel avait fait un minimum d’effort pour ne pas choquer la personne qui l’avait gentiment invité dans cette jolie chambre. Claire ne voyait aucun inconvénient à ce qu’il se serve alors il en profita et dégusta rapidement quelques aliments avant de visiter autre chose. En effet, une fois qu’il eût finit, Claire l’emmena dans la salle de bain, là encore c’était la grande classe, tout semblait brillé pour attirer l’œil de ceux qui entraient, il y avait absolument tout ce qu’il fallait. Alors qu’elle l’emmenait vers la douche, il sentit son armure se défaire, il eût le réflexe de serrer son poing comme pour frapper, ne sachant pas se qui se passait mais il se retint de bouger son avant-bras, comprenant très vite que c’était Claire qui avait enlevé son armure. Ensuite elle l’embrassa en entrant dans la douche où ils se retrouvèrent tous les deux nues après s’être déshabiller complètement mais ils ne firent rien d’exceptionnel à part se laver tous les deux. Ils sortirent plus tard de la douche et s’essuyèrent avec des serviettes. Claire rangea ses affaires tandis que Motta remettait le haut qu’il avait en dessous de son armure habituellement et prit aussi son pantalon après avoir remis ses sous-vêtements. Elle aussi s’était changée, optant pour une tenue assez chic avec un ensemble en dentelle blanche, la silhouette de la jeune femme ne pouvait qu’en être embellit. Ont voyait aussi une curieuse cicatrice sur le ventre de la jeune femme, une blessure de guerre pensa Motta mais il ne voulut pas lui en parler. C’est elle qui prit la parole en premier, demandant à son invité si cela ne le dérangeait pas de passer la nuit dans un hôtel, Motta lui sourit pour lui répondre ceci:

"Pas de soucis, j‘ai connu bien plus pire que cet endroit. Au contraire je le trouve très luxueux, je trouve qu‘il reflète bien la personne qui l‘a choisie: belle et harmonieuse…Cela me fait aussi plaisir de passer la nuit avec toi, tu as peut-être raison: nous ne nous verrons peut-être pas beaucoup à l’avenir, profitons-en."

Motta s’était assis sur un sofa pendant que Claire brossait ses cheveux longs, quand elle revint vers lui il la regarda avec admiration, elle était magnifique et ne le choquait absolument pas dans cette tenue. Elle semblait gêner, elle ne savait pas si ce qu’elle portait était correcte et, soucieuse de savoir ce qu’en pensait Motta elle s’en excusa. Le sayen fit un mouvement de tête de gauche à droite avec un demi-sourire, elle s’excusait encore une fois mais le guerrier ne voulait pas qu’elle culpabilise comme cela. Elle ignorait les coutumes des sayens, il n’y avait donc rien de mal à quelques petites maladresses mais aux yeux du sayen cela n’avait pas d’importance, et puis question vêtement les gens de son espèce ne son pas difficile.

"Ne t‘excuse pas. Il n‘y a rien d‘offensant dans ta tenue, tu reste de toute manière très belle à mes yeux qu‘elle que soit ce que tu porte. Jusqu‘à maintenant tu as porter différentes tenues et je n‘ai pas été déçu. Si tu veux savoir un truc sur les sayens: nous n‘avons pas vraiment de règle à ce niveau là. Bien sûr, étant un peuple assez brutale, la plupart des guerriers aiment en voir davantage chez les femmes, ça en deviens parfois offensant pour les sayennes qui sont quelques fois soumises à la volonté de leur conjoint. Ce n‘est pas toujours simple d‘être une sayenne j‘imagine, il faut qu'elles montrent à la fois leur côté guerrière et leur côté attirante."

Claire avait été gênée mais Motta essayait de la rassurer comme il le pouvait. Il se leva du sofa pour se diriger vers elle, il l’a regarda d’un peu plus près, caressant légèrement avec son doigt une mèche des cheveux blonds de Claire, constatant une nouvelle fois que ceux-ci avaient poussés depuis leur dernière rencontre, preuve que du temps s‘était écoulé depuis. En effet, lors de la finale du tournoi Dösatz où ils s’étaient rencontrés dans les tribunes, Claire arborait un joli carré plongeant qui entourait joliment son visage d’ange. Motta s’en souvenait comme si c’était hier, elle était tout aussi magnifique qu’aujourd’hui. Il passa sa main dans les cheveux de Claire délicatement avant de dire avec un petit sourire en rapprochant son visage du siens:

"Tu les as laissés poussés, cela te va bien. J‘aimais beaucoup la coiffure que tu portais lors de notre première rencontre mais à ce que je vois une coupe de cheveux n‘enlève en rien ta beauté. Comme je le disais tout à l‘heure, quelque soit ce que tu porte j‘ai l‘impression que tout te va, tu es superbe…"

Son visage rapprocher de celui de Claire, Motta déposa un doux baiser sur la joue de celle-ci avant d’en déposer un second sur ses lèvres. Il l’enlaça de ses bras saillants et la porta jusqu’au lit où il la posa doucement à l’horizontale. Il se mit au dessus d’elle en parcourant délicatement son corps avec ses mains et l’embrassa tendrement comme il avait pu le faire durant la fête. Cela dura un long moment, durant lequel le temps semblait s’être arrêter encore une fois. Quand le sayen retira ses lèvres des siennes il se posa à côté d’elle, couché, et lui dit:

"Alors, qu'aimerais-tu faire maintenant ?"


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Spoiler:

Fiche de Motta
Général des armées sayennes.

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MessageSujet: Re: The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire)   The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire) ClockLun 28 Mar 2011 - 22:54
( Encore une fois désolé du retard u_u )

Plus je me rapprochais de Motta, plus j’avais l’impression de m’éloigner de ce que j’étais. Comment expliquer le fait que lorsqu’on tombe sur une personne pour qui nous éprouvons bien plus que de la sympathie, notre comportement change, diffère d’avec une personne ordinaire ? Ces étranges ressentis me laissait à croire que ce sentiment pouvait être dangereux. Il l’était. Et pourtant, Dieu sait que je n’aurais jamais voulu quitter cet homme, avec qui tant de choses se créaient, se formait en moi, comme si j’apprenais à vivre réellement. Comme si toute l’importance de la vie ne résidait plus qu’en sa personne. Mais ceci est stupide, j’en suis consciente. Comment peut-on vouloir donner sa vie pour quelqu’un d’autre ? Pourtant, j’ai vu des personnes se dévoués pour protéger leurs proches, alors que d’autre, trop appeuré, ne fesaient que s’apitoyer dans leur coin. A chaque fois que je tuais enfants et parents, je sentais cette lourde atmosphère qui planait dans la piéce, à chaque fois que mon épée, d’un coup vif, tuait mes opposants. J’ai compris par la suite que quelqu’un n’ayant pas connu sa famille, et n’ayant pas vécu de la même manière, simpliste, comme celle des humains, ne peut pas se rendre compte de se qu’ils éprouvent. De leur plus grande peur : finir seul, mourir seul. On m’avais fait passer outre de cela. Ma vie ne représentait que celle d’un pion sur un échéquier. J’étais venue au monde pour servir, pas pour vivre. Heureusement que je ne l’ai plus entendu de cette oreille. Et à présent, je me rends compte de cette chance, qui me semblait ainsaisisable que le destin m’offre : celle d’avoir quelqu’un pour qui on peut éprouver de réels sentiments. Sans le cacher.

Bien que j’avais évoqué le fait qu’une éventuelle famille devait l’attendre quelque part – Juste, regardez par vous-même le système de la planète Végéta – tous sont déjà mariés, ont des enfants, font sont des combattants. Ils ont tous le même mode de vie, les mêmes centres d’interets, les mêmes manières de se battre, les mêmes caractères, et les mêmes traits physique. Plutôt ennuyant, d’ailleurs. On irait jusqu’à se demander s’ils ne sont pas tous issu de frères et sœur qui se seraient accouplés. Pourtant, Motta ne semblait pas vouloir y penser. Comme si ce qui résidait dans son passé, en ce moment, devait y rester. Je prennais ça comme un compliment auquel je portais beaucoup d’attention. Il ne fallait pas sous estimer les dires d’un homme, si cela fut été sincère – et toutes femmes, même la plus laide qui éxiste dans ce bas monde, le sait, au fond, que c’est rare. Pourquoi quand on est une femme, on fini toujours par être paranoïaque ? Les femmes dans toute leur splendeur se trouvent toujours des défauts qu’elles n’ont pas, en plus. C’est lassant. Mieux vos t-il ne voir que le moment que j’aborde en ce moment avec ce magnifique spécimen que la nature m’offre – Et je suis chanceuse. Je sais que tu m’envies, lecteur. -
La culpabilité était certainement un attrait humain.

C’était assez simple de se dire de ne pas stresser pour rien, mais s’était la seule vraie fois où, en présence d’une individu, je me sentais ainsi. Je n’avais jamais été une grande timide, ou bien une femme avec de la pudeur, mais j’ignorais absolument tout des coutumes de Motta, et de leur race. Tout ce qu’on en disait de vrai, tournait autours du fait qu’ils soient fier et froid. Je connaissais aussi cela, mais ça ne m’empechais pas d’avoir une personallité dérrière, plus ou moins en ressemblance avec l’air que je me donne dans le contexte social. Mais mon compagnon me rassura, de manière subtile, en me racontant légèrement comment cela se passait sur sa planète. Les femmes sont donc complétement soumise à leur conjoint ? C’était interessant à savoir. D’après ce que j’avais pu en voir, d’après un bref aperçus quand je suis allé sur leur planète, les femmes ne semblaient pas, de caractère, se différencier des hommes. Elles étaient toutes aussi fières qu’eux, et ne se laissaient pas marcher sur les pieds. Autant dire qu’on avait affaire à un colosse aussi bien féminin que masculin. Ces femmes ne devaient pourtant pas être heureuse : qui avait envie d’être traiter comme inférieur à un certain dit mâle dominant, qui n’a pourtant pas l’étoffe de l’être ?

J’étais debout, presque adosser à un mur. Motta se releva de sa place pour m’approcher. Il toucha légèrement l’une de mes fines bouclette de son index. Il semblait être pensif : se rappelait-il du jour où nous nous sommes rencontré et, à quel point mes cheveux avaient poussé depuis cette époque ? Lui n’avait pas changé. C’était toujours cet homme, si rayonnant que j’avais dans mes souvenirs. Cet être qui m’avait tant attiré, et qui me fait toujours autant d’effet. Il entremêla ses doigts délicatement dans ma chevelure, rapprochant mon visage du siens. Ce magnifique sourire qu’il abordait me laissait là, les yeux brillants, animé par un sentiment d’admiration, et d’amour comme jamais je ne l’avais ressentis. Il me complimentait, une fois de plus. Mes cheveux avaient beaucoup poussé depuis la dernière fois, et ils avaient échangé la forme lisse de mon carré plongeant pour de longs cheveux ondulant, formant parfois vers la pointe, une jolie boucle, sans jamais s’éffriter. Une chaude sensation amplie mes joues si froide, à l’habitude. C’était l’une des premières fois que je me sentais si intimidé. Les joues rosie, je ne quittais pourtant pas son regard. Un regard tendre et affectueux.

Il se rapprocha alors un peu plus, et déposa un baiser sur ma joue qui rougeoyait de cette chaleur de timidité, puis il m’embrassa sur le bout des lèvres, avec une finesse que j’appréciait. Par la suite, il m’enlaça. Je me sentais à l’abris, comme protéger du monde extérieur et, rien n’aurais pu me forcer de me décoller de cet homme. Il me souleva du sol avec une facilité déconcertante – bien que je ne sois pas bien lourde sans armure – et me déposa sur mon lit. Il se mit au dessus de moi, et m’embrassa avec tendresse, alors que ses mains parcourait mon corps, lentement. Il cherchait à me découvrir, et je m’abandonnais à ses approches. J’avais l’impression qu’à chaque fois qu’il me regardait ainsi, qu’il me touchait, qu’il me caressait, j’aurais donné mon âme au diable, si cela fut été un acte bannis. Tous ce que je ressentais pour lui m’étais à ce jour indescriptible, mais ce sentiment qui m’envahissait me faisait peur. Pourtant, je ne voulais pas y penser. Ce que je vivais en ce moment était bien trop beau pour être gâché par ça. Il me demanda ce que je voulais faire, je lâchais un petit rire amusé. Comme si cela était en même temps comme une évidence, ou alors, je me demandais s’il disait ça avec une certaine ironie. Mais ça n’avait pas l’air d’être le cas. En tout cas, dit comme ça, c’était bien plus amusant.

( Pour les lecteurs sensibles, merci de ne pas lire ce qui est sous spoil, et qui contient des passages ecchi et non pas du Hentaï. )

Spoiler:

Lorsque cette longue nuit fut terminée, je m’étais endormie sur lui, mes bras l’enlaçant, ma joue appuyé contre son torse. Je ne m’étais jamais sentie aussi bien… et pour rien au monde je n’aurais voulu que cela cesse.
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MessageSujet: Re: The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire)   The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire) ClockDim 17 Avr 2011 - 23:14
Le temps semblait passé à une allure folle autour du guerrier de l’espace et de la jeune femme qui s’étaient rendus dans un hôtel. Paradoxalement, à partir de ce moment là le temps avait pourtant semblé ralentir, mais uniquement pour eux, pas pour ce qui se passait en ville, sur Terre ou ailleurs: là où ils n’étaient pas, un peu comme pour qu’ils puissent mieux apprécier cet instant. En venant dans cet hôtel avec Claire pour prolonger cette soirée très animée, le sayen savait que ce qui s’y passerait ne serait pas anodin, il y avait une atmosphère spécial, peut-être était-ce la présence de Claire qui faisait ça ? En tout cas, alors qu’en ville les festivités approchaient de leur fin, le colonel avait le pressentiment que la fête n’était pas encore terminée, du moins pas pour eux deux, et cette jeune femme qui l’accompagnait devait elle aussi en être consciente. Cette soirée magique qu’ils ont vécus tous les deux restera certainement gravé à jamais dans leurs mémoires, c’était un moment aussi plaisant qu’inexplicable, c’était unique. Tout deux ne savaient pas ce qui se passerait ensuite, quant ils devront se quittés, peut-être qu’ils ne se reverrons que rarement ou plus jamais. Dans le doute, il fallait faire en sorte que ce jour soit exceptionnel du début à la fin, ainsi les souvenirs qui en resterait ne pourrons qu’être bons. Il fallait profiter.

Dans la tête du colonel, tout n’était pas très clair sur ce qui se passait, il ne savait pas où tout ça le mènerait mais il se laissait guidé avec une confiance presque aveugle par celle qui l’accompagnait dans cet hôtel, oubliant tout ce qu’il y avait autour. Il est vrai que les circonstances, la situation et l’ambiance qui régnait dans la ville changeait beaucoup de la planète Vegeta, et du coup tout ce qui avait un rapport avec sa planète natale était passé au second plan. Le colonel ne se posait pas de question, il vivait ce moment sans compter, sans ce soucier de ce qui pourrait se passer, et justement, qu’est-ce qui ce passerait après ? Cela n’avait pas bien d’importance pour l’instant, l’avenir réserve de toute façon toujours son lot de surprises. Motta se laissait donc aller en ignorant tout ce qui pouvait se passer ailleurs, seul l’instant présent l’intéressait, comme si sa compagne l’avait envoûter et qu’elle était le centre de toute son attention.

Dans le chambre où Claire l’avait emmené, il avait d’abord visiter les lieux avant de partager un moment un peu plus intime avec elle: prendre une douche ensemble. Les sayens, plutôt direct et avec peu de gênes n’étaient pas de grands habitués de ce genre de moment de tendresses. Pour Motta cela ne le dérangeait pas, de toute façon depuis le début il avait suivis cette jeune femme en gardant un esprit ouvert en se disant que de découvrir les coutumes d’un autre peuple n’était pas forcément une mauvaise chose. Il est vrai que les sayens s’intéressent beaucoup plus aux richesses technologiques des autres peuples que leur façon de vivre, évidemment quelques études son faites par les sayens pour connaître les autres espèces mais celles-ci ne son pas très approfondis. C’était normal, les guerriers de l’espace ne se préoccupaient en principe que de leur intérêt, les autres n’avaient que peu d’importance.

Les choses semblaient évolués entre ces deux personnes, le sayen paraissait très intéressé par cette jeune femme, il le lui fit comprendre en s’approchant un peu plus d’elle. Une nouvelle fois, il l’avait embrassée et cette fois-ci il alla plus loin en la mettant délicatement sur le lit. Il parcourra son corps avec ses mains et l’embrassa de nouveau. Mais le guerrier ne voulait pas la brusquer, il ne savait pas si Claire avait envie d’aller plus loin. Ah, tout ça ne lui ressemblait pas, être si tendre, avec un tel sourire, mais après tout est-ce que nous connaissions si bien Motta dans sa vie passée ? Peut-être qu’en réalité il avait toujours été comme ça.

(Partie plus ou moins ecchi en spoiler)

Spoiler:

Le soleil se leva sur Satan-City, ses rayons arrivèrent jusqu’à la chambre du couple qui s’était endormit. Elle était sur lui, ses bras enlacés autour de son corps, le guerrier avait son bras droit enroulé autour d’elle comme pour la protéger, l’autre était placé plus bas dans le dos de Claire. Le guerrier se réveilla avant elle, il la regarda pendant plusieurs minutes dormir, elle paraissait si innocente, qui aurait crû qu’elle venait de consommer avec ce sayen une nuit folle de plaisir ?

Il se retira du lit délicatement en la laissant dormir paisiblement, en attendant il fit couler un bain en espérant le partager avec elle. Quant il revint dans le lit elle devait déjà être réveillée, il l’invita à commencer la matinée dans la salle de bain, là ils partagèrent un nouveau moment d’intimité. Cette pièce était parfaite, assez grande pour avoir une douche et une baignoire, tout était réunis pour un confort maximal. Plus tard, ils sortirent du bain et le guerrier prit deux serviettes, il en passa une à Claire avant de chercher quelques vêtements pour se couvrir. Il lâcha finalement ces quelques mots à celle avec qui il avait passé la nuit:

"C’était…exceptionnel. Je suis heureux d‘avoir partager cela avec toi."

A vrai dire, les mots lui manquait pour exprimer ce qu’il avait ressentit. De tels moments de bonheur était rares et le sayen aurait évidemment aimé que la nuit ne s’arrête jamais. N’étant pas un poète, il ne s’attarda pas trop aux mots et se contenta de contempler la jeune femme qui était avec lui dans cette pièce.


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MessageSujet: Re: The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire)   The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire) ClockMar 26 Avr 2011 - 17:59
°.°.° … Comment as-tu pu faire ça ? Si tu n’étais pas animé par un désir de vengeance… nous aurions pu être une famille. Voilà pourquoi Térésa est morte à l’heure qu’il est. Pourquoi tu refuses constamment de voir la réalité en face ? Tu m’as abandonné. Tu as fais souffrir la personne qui aimait Priscilla, tu as tué ton propre conjoint, tu as dû assassiner tes semblables... et tout ça pour quoi ? A quel prix ? Maintenant, tes souvenirs ne font que te hanter… une vie pleine de regrets. °.°.°

Ces paroles résonnaient en moi continuellement, comme si ce fut une épouvantable musique que l’on repassait en boucle pour rendre fou la victime du cauchemar. J’étais plongé dans un rêve mêlée entre des vérités oubliés et des souvenirs douloureux. Lorsque je dormais, le démon qui sommeillait en moi en profitait pour tenter de prendre le dessus via le contact émotionnel. Il m’était parfois distinguer le rêve de la réalité. Lorsque je m’endormais, je me trouvais plonger dans un univers de souvenirs controversés, je me retrouvais face à des étapes de ma vie. Dans l’ultime but de prendre le dessus sur moi, le yoma savait et voyait tout. Chaque détail, chaque sentiment, chaque chose qui pouvait me tenir à cœur, il les gardait en tête et s’en servait contre moi. Il fouillait les recoins de mon esprit, mais ne pouvait pas s’emparer de ma personnalité et de mon corps. Bien qu’il ait prit de nombreuses fois mon contrôle ; j’ai toujours réussi à redevenir moi-même. Mais pour combien de temps, encore ? …


- - -


Lorsque je m’éveillais, J’entendis l’eau du bain coulé. Autrement, c’était un calme apaisant, et de douces lueurs de lumières qui traversaient les fenêtres. Je me redressais, soulevant les mèches de cheveux qui étaient venus se loger sur mon visage lorsque je dormais. Mon regard se posa alors sur la paire de menottes, coincé entre le rebord du lit. Avec un petit sourire amusé, je les prenais et les rangeaient dans la commode. Motta, à ma grande stupéfaction, était encore là. Il ne s’était pas enfuit comme un voleur après la nuit que nous avions passé. Alors que la plupart des hommes réagissaient ainsi. Décidément, cet homme n’avait pas fini de me surprendre. Moi-même j’avais déjà fait ça : m’en aller pour retourner à mes affaires. Je ne saurai dire pourquoi… mais, cette nuit m’avait fait changer d’optique. J’avais été le sujet de sentiments que je ne soupçonnais même pas d’exister. Je n’avais été aussi bien avec quelqu’un. Cet homme était bien plus tendre et affectueux qu’il ne pouvait le laisser croire. Et je me révélais être une toute autre personne avec lui. Peut-être que ce sentiment qui naît en moi, de plus en plus grandissant, est la raison pour laquelle je change ?

Il me fit signe de le suivre. Je me relevais du lit, enroulé dans un drap en guise de seul habit. Il faut dire que nos vêtements respectifs étaient éparpillés un peu partout autours du lit. Il m’emmena dans la salle de bain, où il avait fait couler un bon bain dans la grande baignoire, un luxe qui en valait le prix. Je le laissais s’installer pour me mettre derrière lui. La température était parfaite : chaude, mais pas brûlante, avec une mousse d’une senteur exotique. D’ailleurs, c’était… touchant. De voir que Motta n’était pas là juste pour profiter de moi. Pas comme j’en avais eus l’habitude, bien que cela faisait partit de mon « travail. ». Bon nombre de fois où j’ai été sali dans mon enfance. Par la suite, ce ne fut que par intérêt. Soutirer ce que je voulais de la cible, puis l’éliminer. Un procédé fourbe mais efficace. Mais cela n’avait plus rien en commun avec ce que je vivais en ce moment.

Je m’étais installé derrière lui pour lui faire un massage. Ses muscles étaient visiblement tendus après la nuit que nous avions passé hier… et c’était normal. C’est ironique, en y pensant. Après les efforts qu’il avait fournit hier, il méritait bien de se détendre un peu. Imbibant mes mains d’un liquide spécialement préparé à cet effet, je commençais à le masser. L’atmosphère ne pouvait pas être plus agréable qu’en ce moment.
Environ une demie heure après – une fois que nous avions finis notre petit baignade – une douce odeur de coco sur la peau, nous sortîmes. Motta me fit passer une serviette – c’était mieux que le drap ! Je me préparais, tranquillement. Les femmes les pus soignés sont réputés pour être longue, malheureusement pour lui. De plus que je n’étais pas du genre à me presser ! De son côté, il était partit s’habiller. Plusieurs minutes après lui, je sorti de la salle de bain, les cheveux secs et un peu moins ondulés qu’à l’habituel. Je ramassais les sous-vêtements qui traînaient depuis hier soir pour les ranger, puis j’en sortis d’autre de mon armoire – dont on ne pouvait décrire le contenu, vu qu’elle était blindée. J’enfilais un ensemble de sous-vêtement avec des bas résilles, et une robe bleu ciel, fendue en bandelettes au niveau des hanches et avec de très fines manches tombantes au niveau de la poitrine. J’enfilais rapidement une paire de talons vernis et compensé blanc – les habitudes de faire toujours dans le chic. J’avais l’air d’une poupée.

Après m’être habillé, Motta s’approcha de moi. Il semblait comme ému. Ses paroles me faisaient chaud au cœur : il représentait bien plus pour moi que les autres. Et ce n’était pas pour rien. Je lui répondis d’un sourire sincère, puis je l’enlaçais. Est-ce que cela était de la chance, ou bien seulement un rêve qui ne durerait pas ? Cela ne m’importait pas, lorsque j’étais avec lui, je ne voyais que le bon côté des choses.

- Je n’oublierai pas ces moments que nous avons passés ensemble. Je déposais lentement ma main contre sa joue, pour la caresser. Je n’avais jamais connu un homme comme toi auparavant. Tu es différent des autres… à mes yeux, tu es quelqu’un d’exception. Ce ne sont pas que de simples belles paroles… je souhaite vraiment te garder auprès de moi.

En ce moment, c’est l’un des rares jours où je suis vraiment heureuse. J’ai connu ce ressentit grâce à Térésa, et il se renouvelle grâce à lui.

Je déposais mon autre main sur son autre joue, puis me collait à lui, sur la pointe des pieds, pour l’embrasser. Lors de notre baiser, mes mains descendirent pour que je l’enlace. J’avais je n’avais été aussi bien dans les bras d’un homme. Les autres hommes… me suscitaient une sorte de peur... mais mieux ne valait-il pas y penser maintenant.

Après l’avoir câliné et tendrement embrassé, j’enfilais un tablier en dentelle, entièrement blanc, puis je me dirigeai dans la cuisine. Je le laissais s’installer à son aise, pendant que je faisais la cuisine – au moins ma vie passé m’avait apprit une chose favorisante dans le rôle d’une femme. Quand on ouvrait mon frigo, il était remplit de bonne choses et on se demandait si j’engloutissais vraiment tout ça à moi toute seule. Malheureusement, non, mais la cuisine était une passion pour moi. On pouvait y voir trois gâteaux différents, mis sous coupelle, des brunchs de différent style : Japonais, Mexicain, Russe, et tout un tas de garnitures disposés d’une manière rigoureuse et soignée. Je sortais un peu de tous les goûts, disposant les plats sur la table. Puis je sortais un poulet – qui devait être certainement obèse de son vivant - que je commençais à préparer. Comme ça, au moins, j’étais certaine qu’il ne manquerait de rien.

- Tu as certainement des projets pour l’avenir, alors j’aimerais savoir si tes objectifs sont pour toi-même ou dans l’optique de servir ton peuple et ton roi ? Car j’ai l’impression que vous ne vivez que pour servir la famille royale… quand j’ai été sur votre planète, les gens y sont vraiment très rigoureux, ils ne font que s’entraîner. Ce n’est pas une critique, mais ce mode de vie doit être lourd et ennuyeux à force… non ? Enfin, comme tout le monde vie ainsi chez vous, ça vous paraît normal. Je marquais un temps de pause. J’étais en train d’assaisonner le poulet. ( miam miam ! ) Ton peuple à le mérite d’être courageux. Je ne pense pas que moi, ou quelqu’un d’autre, pourrait vivre de cette manière. Au fait, il représente qui exactement ton supérieur ? Je ne connais pas votre hiérarchie. C’est une personne très proche de toi j’imagine, car vous devez quand même partager une certaine complicité.

Après avoir finis les préparatifs pour le poulet, je le mis dans le four, puis j’installais la table. Un set de table blanc, en concordance avec la pièce. Le moindre détail était là pour plaire, disons que j’étais plutôt maniaque du côté propreté et concordance. Je paraissais tranquille, j’étais souriante. Tout allait bien dans le meilleur des mondes, et c’était que peu dire. Cet homme m’apportait bien plus que mes espérances.

Quelques minutes après, le plat était déjà prêt. Evidemment, grâce à toute la technologie développée sur Terre, ça change de ceux qui ont vécus à l’ancienne. Je déposais le fameux poulet avec sa sauce sur le milieu de la table, puis je m’asseyais en face de mon compagnon. J’avais mis le couvert pour une seule personne, et cela eut pour effet d’étonner Motta, évidemment.

- Mon organisme est fait de telle manière que je n’ai pas besoin de manger plus d’une petite portion tous les trois jours. Mais j’espère que tu vas apprécier ma cuisine, ça fait longtemps que je n’ai pas cuisiné pour quelqu’un que j’aime. Je lui souriais d’un sourire resplendissant, cet avantage pour la personne malsaine que je suis à l’intérieure. Au fait… tu vas surement devoir bientôt partir… Dire que je ne sais pas quand nous pourrons nous revoir… nous avons chacun de notre côté des choses à faire. En plus, avec Majin Végéta qui est en quête de ces fameuses boules de cristal, ça va faire une sacré pagaille. En parlant de ça, je me demande ce que fais Fugma, ça fait un moment que je n’ai pas de nouvelles, j’espère qu’il ne lui ait rien arrivé de fâcheux.

Il est vrai que je n’avais pas vu ou capté de signal dans mon appareil électronique que m’avait donné l’alliance de la part d’un des membres. A mon avis, chacun est occupé de son côté. Si jamais il y avait une urgence, j’en aurais eus vite l’écho.
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MessageSujet: Re: The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire)   The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire) ClockSam 14 Mai 2011 - 19:14
La journée qu’ils avaient passés tous les deux avait été exceptionnel mais la soirée puis la nuit qui avait suivis l’était encore plus. Motta avait perdu la mémoire après un choc et des zones d’ombres demeurais dans ses souvenirs, mais sans trop savoir pourquoi il avait l’impression de ne jamais avoir ressentit de choses aussi forte que ce qu’il avait vécu avec Claire ce jour là. Cette sensation était tellement inconnue et si rare chez un sayen d’habitude, Motta devait faire exception mais il était évident qu’il tenait beaucoup à cette jeune femme, sans même pouvoir se l’expliquer. Ce qu’il se demandait c’était si ce sentiment pouvait le gêner dans sa mission de préserver le peuple sayen, une seule personne pouvait-elle compter plus que des milliers de guerriers de l’espaces à ses yeux ? A ce jour il ne pourrait y répondre mais il était certain que c’était deux choses qui lui tenait vraiment à cœur et qu’il aimerait garder auprès de lui. Après, de savoir si préserver le peuple sayen et garder Claire auprès de lui était compatible, ça, l’avenir le révélera certainement.

Sortit du lit, le guerrier de l’espace avait fait coulé un bain pour Claire et lui, une manière toute simple de commencer la journée. Quant sa dulcinée s’était réveillée, le guerrier l’invita à le suivre jusqu’à la salle de bain, elle y alla enroulé dans un drap. Elle le laissa s’installer et se mit derrière lui, elle avait dû remarquer que le bain était à une température idéale, parfait pour un bon réveil. En plus de cela, Claire eu la bonne idée de faire un massage au sayen, c’était très agréable pour Motta qui profita de cet instant en laissant le silence être le témoin de ce moment, elle semblait être douée pour faire ce genre de chose. En tout cas c’était très relaxant, Motta se disait que ce serait génial des fois de profiter de cela après un rude combat, même si les senzus et autres capsules de régénérations étaient aussi efficace pour être soigner cela ne valait pas un tel moment de détente. L’atmosphère était à ce moment là très agréable et le sayen espérait que cela le soit aussi pour sa compagne, le bonheur n’est pas toujours total s’il n’est pas partager, à deux c’est beaucoup mieux. Se sentir bien et savoir qu’une personne que l’on apprécie savoure cette joie était plus agréable à vivre que d‘être tout seul à en profiter.

A peu près une demi-heure, quant ils eurent finit leur petite baignade, ils sortirent de la baignoire pour se changer. Motta avait quitté la salle de bain et avait enfiler ses habits assez rapidement après avoir sécher son corps, ont dit que les femmes mettent beaucoup de temps pour se changer et se préparer, pour Claire c’était vrai puisqu’elle mit plus de temps que le sayen à quitter la salle de bain. Le guerrier avait garder son habit traditionnel de sayen, à vrai dire il n’avait pas un grand choix de tenu mais cela n’avait aucune importance pour lui, il préférait faire dans la simplicité même si en voyant Claire il se disait parfois qu’elle méritait peut-être d’avoir un compagnon qui ne s’habille pas toujours avec sa tenue de l’armée sayenne. C’était quelque chose à réfléchir, peut-être que la prochaine fois il ferais un effort mais pour l’instant il ne pouvait qu’admirer la beauté de la déesse avec qui il avait passé la journée dernière, Claire savait s’habiller, elle avait l’air d’avoir différentes tenues et chacune d’entre elle lui seyait à ravir, comme si chaque vêtement était fait pour elle. Le guerrier avait avouer avoir apprécier de partager tout ça avec elle, il n’avait pas fait de long discours mais ces quelques mots devaient suffire à faire comprendre à Claire qu’il avait aimé passer du temps avec elle. La jeune femme enlaça le guerrier qui la serra contre lui, elle lui dit des mots gentils qui arrivait tout de même à touché son cœur de sayen même s’il était difficile de le percevoir, pour la rassurer il lui dit ceci avec un peu d‘humour en faisant référence au fait qu‘il soit amnésique:

"C’est réciproque. Personne ne pourra m‘enlever ces souvenirs là, c‘est certain, même pas un grand coup sur la tête. Moi non plus je n‘avais jamais connu de femme comme toi, les sayennes sont différentes et c‘est justement ce que j‘aime chez toi. D‘ailleurs, je n‘ai jamais connu de moments comme ça avec quelqu‘un, c‘était très intime et donc nouveau pour moi, chez nous les choses se font plus directement avec certainement moins de sentiments."

Motta avait découvert beaucoup de choses avec elle, une autre façon de pouvoir passer du temps avec quelqu’un par exemple, comme quoi même un sayen, qui son naturellement butés sur leurs idées, peuvent avoir envie de découvrir de nouvelles choses. Le colonel avait fait l’effort de vivre une journée comme un simple terrien l’aurait fait, cela lui avait appris un peu comment vivait les humains sur cette planète et mieux comprendre des choses sur leur culture.

Claire déposa sa main sur la joue du guerrier de l’espace en se collant à lui pour l’embrasser tendrement, Motta laissa leurs lèvres se plaquer l’une contre l’autre. Leur baiser avait été tout naturel, la jeune femme enlaçait le guerrier qui faisait de même, ont aurait dit qu’ils ne voulaient pas se quittés. Motta appréciait beaucoup ces moments avec Claire, pour lui ils seront toujours aussi agréable et unique. Lorsqu’elle se retira pour enfiler un tablier, le sayen gardait un sourire en la regardant s’éloigner de lui pour aller dans la cuisine, elle allait faire à manger ? Mais c’était formidable ! Rien de mieux pour un sayen que quelqu’un ai la bonté de lui préparer quelque chose à se mettre sous la dent, Motta était ravi et s’installa en la regardant faire. Il l’aurait bien aidé mais le guerrier n’y connaissait pas grand-chose à la cuisine, il était capable de se faire à manger seul mais cela restait assez basique comme plats et puis en l‘observant faire il constata qu'elle se débrouilleait comme une chef, cela avait même l‘air de lui faire plaisir. Claire prit ensuite la parole, elle lui demanda s’il avait des projets pour l’avenir et si ceux-ci étaient en relation avec son peuple ou juste pour lui-même, Motta se frotta le menton en réfléchissant puis lui répondit ceci après avoir finit de l’écouter:

"Disons que mes objectifs son principalement voués à préserver mon peuple, depuis que Freezer a tenté d‘éliminer les miens nous avons beaucoup de choses à reconstruire et en premier lieu une nation qui s‘est scinder et éparpiller un peu partout dans l‘univers à cause de ça: Nous revoyons beaucoup de sayens revenir après une longue absence, sans trop savoir pourquoi. Aussi, étant le colonel des armées de la planète Vegeta, j‘ai évidemment beaucoup de responsabilités envers mon peuple. Personnellement, j‘aimerais devenir encore plus fort et retrouver la mémoire de mon passé perdu, mais je préfère être solidaire avec mon peuple plutôt que de privilégier mon cas personnel."

Claire avait aussi parler de la famille royale, de son supérieur, de la hiérarchie qu’ils pourraient avoir, le colonel lui dit:
"Nous sommes tous concernés pour protéger notre peuple, c‘est sûr, et de ce fait notre rôle est de servir la famille royale, tu as raison quand tu dit que cela nous paraît normal de vivre comme ça, parce que nous avons été élever comme ça. C‘est donc tout naturellement que nous servons notre Roi. En ce qui concerne mon supérieur hiérarchique, le général Toma, je dois dire que c‘est un plaisir de me battre à ses côtés, on devine tout de suite qu‘il est quelqu‘un de réfléchi et il mérite amplement son grade. C‘est un peu le bras droit du Roi mais cela ne nous empêche pas de très bien nous entendre, moi je suis juste en dessous de lui au niveau hiérarchique, c‘est dire le rôle que je tiens parmi les miens, et c‘est pour moi un grand honneur d‘être à cette place. En parlant de lui, j‘ai sentit qu‘il était venu sur Terre alors que nous étions ici, il doit se demander ce que je fait, il va falloir que je le rejoigne…"

Motta eu l’air pensif puis regarda la jeune femme avec qui il était, elle paraissait si paisible avec un sourire qui en disait long, elle semblait heureuse, le colonel était content d’amener du bonheur à cette personne qu’il appréciait tant. Quelques minutes plus tard le plat était prêt et elle le sortit pour qu’ils puissent manger, apparemment elle avait prévu qu’ils partage la même assiette, ce qui étonnant un peu Motta qui lui sourit avant de lui faire un signe de tête pour lui témoigner de sa gratitude de lui offrir un bon repas, pour un sayen c’était sacré. Ils commença à déguster, c’était excellent, Claire avait donc un don pour la cuisine, que pouvait rêver de mieux le colonel ? Il l’écouta parler tout en mangeant ce qu’elle avait préparer avec amour, elle n’avait pas besoin de manger beaucoup contrairement aux sayens, cela pouvait être un avantage pour elle puis la jeune femme aborda le sujet du départ du sayen, en effet il devrait bientôt partir. Le guerrier s’arrêta un peu pour parler:

"En ce qui concerne la nourriture, je suis ravi ! Tu es vraiment très douée pour ça. Je peux te dire que j‘apprécie vraiment et de la part d‘un sayen c‘est un vrai compliment.
Oui, je vais devoir donner des signes de vies au général sinon il risque de s‘inquiéter…J‘aimerais rester plus longtemps mais je pense tout de même que nous nous reverrons, cela ne peux pas s‘arrêter comme ça. En tout cas j‘ai très envie que nous nous retrouvions très vite.

Mais au fait, c‘est vrai que tu fait partit de l‘alliance de Fugma. J‘ai déjà combattu à ses côtés, nous avions collaborer ensemble à une époque. J‘espère que tu t‘entends bien avec tous les membres, que tous se passe bien avec eux. Il me semble que le but de votre groupe est que Majin Vegeta ne récupère pas toutes les boules de cristal, je suis d‘accord avec cette idée: il n‘y aurait rien de bon à le voir toutes les rassemblés."


Le repas se termina, comme elle l’avait dit Claire n’avait pas avaler énormément de quantité de nourriture, c’était tout l’inverse pour Motta qui s’était remplit le ventre mais surtout régaler. Le guerrier se leva et pris la main de la jeune femme pour qu’elle se mette debout, il vérifia qu’il n’avait pas de morceaux coincés entre les dents puis plongea ses yeux dans les siens. Très vite leurs deux bouches furent une nouvelle fois réunis pour un tendre baiser. Après quelques instants il se retira et fixa le regard argenté de Claire, il lui dit ceci:

"Merci…Merci pour tout. Je n‘oublierais jamais cette journée que nous avons passé hier, cette matinée, cette minute, cette seconde passé avec toi. Tout ce que nous avons vécus, je ne l‘oublierais pas. Je penserais à toi en regardant ce collier que tu m‘as donner, j‘aurais l‘impression que tu sera un peu là avec moi…Le repas a été excellent, tu ne pouvais pas mieux offrir à un sayen."

Un sourire se dessina sur le visage du sayen, évidemment le repas avait été bien peu par rapport à tout le bonheur qu'elle lui avait offert et le regard du colonel devait certainement le faire comprendre à la jeune femme au yeux de couleur argenté.


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MessageSujet: Re: The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire)   The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire) ClockMer 22 Juin 2011 - 16:29
° Mon rêve le plus fou, inavoué, c’était réalisé. Aimer quelqu’un à pouvoir en donner son âme au diable pour une bonne raison comme celle-ci, c’était un change juste, n’est-ce pas ? … °

Les moments les plus importants sont toujours ceux qui nous marquent le plus. Ils tracent notre vie, nos souvenirs. Autant dire que mes moments avec le colonel avaient le droit d’être ancré dans ma mémoire à jamais. Personne ne m’avait autant tapé dans l’œil, - comme disent les humains – que cet homme que je ne connaissais pourtant que si peu. En plus du fait qu’il est censé avoir un sale caractère – après tout, c’est un sayen, d’après ce que j’en sais ils ne sont pas réputés pour être très sympathique – cet homme est adorable. L’exception qui confirme la règle, n’est-ce pas ?

Sa pointe d’humour plus prononcé que ceux de son espèce était de mise lorsqu’il me dit qu’il n’oublierait jamais, lui non plus, nos moments passés ensemble. Evidemment, il disait que cela n’était pas dans ses grandes habitudes de vivre ce genre de chose, d’ailleurs ce n’était pas très étonnant pour quelqu’un qui fait partit de la ligné des sayens. Ils pratiquaient ce genre de chose avec – beaucoup ? – moins de sentiments et de tendresse, c’était affirmé. J’en avais toujours eu la conviction de toute manière, puisqu’on ne dit que de mal d’eux, côté familial et sentiments. Tout ça parce qu’ils ne montrent rien… et on toujours été élevé de façon à ne pas être réellement « humain » de quelque sorte qu’ils restent toujours stoïque face à tout… ça doit être la joie, quand ils prévoient d’avoir des enfants. Je suis bien heureuse de ne pas être né parmi ces primates – Que Motta me pardonne, je n’en pense pas autant de lui.

Comme par le plus grand des hasards, il me dit que ses principaux objectifs étaient pour servir son peuple. Vraiment ? C’est une blague. Être des chiens au service d’un Roi… c’est donc là que réside leur vie ? Très instructif. « Soyez fort et prenez vous des doigts par le Roi » C’est ça qu’ils devraient afficher un peu partout sur leur planète. Ce Freezer dont il parlait, un des gros méchants de l’histoire, j’en avais déjà entendu parler lorsque j’avais été sur Végéta. On disait de lui qu’il était un tyran, avec des hommes de mains tout à son avantage. Les sayens sont fraternel entre-deux, mais le reste, ils peuvent se gratter, en somme. Puisqu’ils ne pensent qu’à la survie de leur espèce, la préservation d’une race dont le seul but et de devenir un gros tas de muscles – en oubliant le cerveau. Bien entendu, cela ne s’appliquait pas pour Motta, du moins, je ne le pensais pas. Mais quand on voit le reste de son peuple… on se pose des questions. La famille royale en priorité bien sûr, ce sont ceux qui parlent le plus qui agissent le moins. La plupart des familles royales ne sont que de beaux parleurs, et sur le champ de bataille, ils ne valent rien. Ils passent leur temps à régner ordonner… et s’entraîner, c’est un choix secondaire. Ils se pensent supérieur aux autres en vu de leur statu au sein d’un peuple. Pitoyable.

Evidemment, on en venait à son grand ami – que j’ai déjà aperçu à ses côtés au tournoi – qui répond au nom de Toma. Assez spécial un nom d’humain pour un sayen, ça sonne plus courant que Motta déjà. Apparemment, il semble véritablement apprécier son supérieur hiérarchique, et ça serait quelqu’un de plus réfléchis que le reste du peuple, également… bravo, ils fon peut-être des progrès niveau développement du cerveau et pas du corps ? C’est toujours ça de prit, heureusement qu’il y’a des hommes et des femmes qui sont là pour réfléchir à la place des imbéciles. Les autres personnes du peuple sayen sont de la chaire à canon entre autre. A part s’entraîner à longueur de journée – boire et manger – qu’est-ce qu’ils font ? Surement pas s’instruire. Le plus important est d’être fort pour préserver la survie de l’espèce face à d’éventuelles menaces. Une vie palpitante…

Tout ce que j’avais pu lui offrir de plus, c’était mes dons en cuisine. Il faut dire que quand on vous apprend à savoir tout faire comme une femme au foyer, on en prend de la graine. Ce n’était pourtant qu’une infime partit de ma « formation » auprès de l’Organisation, nous passions plus de temps à nous entraîner et à passer aux séances de tortures, pour apprendre à garder le démon en nous ans qu’il ne déchire notre enveloppe corporelle. Mes histoires sont glauques à côté de ça, autant passer à travers. Le plus important à mes yeux était qu’il avait apprécié son repas et qu’il me le fit remarquer par des compliments, auxquelles je répondais par un sourire, sourire d’ange habité par le Démon.

Il allait vraisemblablement partir après ce repas, car il avait repérer la présence de son supérieur sur Terre. En effet, il devait se demander ce que Motta avait décidé de faire de son temps libre… j’imagine que si ce Toma apprenait qu’il avait consacré du temps à une femme non-sayenne, cela le répugnerait. Ce genre de race ne veut pas se mélanger, en général, me semble t-il. J’avais aussi abordé le fait que je fais partie de l’alliance de Fugma ; et Motta semblait évidemment d’accord avec le but de cette alliance… intérieurement cela était bien risible pour une collaboratrice comme moi. Mais je n’en dit rien. Même si on finira par faire tomber mon masque, cela ne me changerait pas. Les gens qui on autant d’ambition que Majn Végéta on bien plus à offrir. Heureusement pour moi, j’avais été entraîné pour m’adapter à toutes situations en gardant toujours un sang-froid à toutes épreuves. Ce pourquoi, je ne stressais certainement pas lorsqu’il évoqua ce sujet, je gardais un air naturel et détendu. Mes pulsions cardiaques étaient toujours normales. Un de mes grands avantages était bien d’être une amadoueuse jusqu’à la fin.

Lorsqu’il eut terminé son repas, il se leva le premier et vint jusqu’à moi pour me prendre la main. Je me relevais alors de ma position actuelle et il plongea son regard dans le miens. Mes yeux étaient en général vides. Un néant dans lequel il était impossible de cerner un sentiment. Mais là, c’était bien différent, je n’avais pas à me forcer pour faire paraitre quelconque expression. Les regards que nous nous échangions en disaient long. Nous nous embrassâmes une nouvelle fois, tendrement. Lorsque nos lèvres se séparèrent, il me remercia d’un air très sincère, qui me pinça étrangement le cœur. Personne ne m’avait jamais fait ressentir autant de choses en l’espace de si peu de temps. Un sourire se traça sur ses lèvres, un beau sourire qui ne fit que l’embellir. Je fis de même, gardant ma main dans la sienne. Seul les regards que nous échangions parlait pour nous, je crois que les mots étaient à présent inutile pour décrire ce que l’on partageait.

Je l’entrainais hors de ma résidence actuelle – la vieille à l’accueil nous avait regardé d’un air outré. Faut-il dire que nous n’avions pas été discrets ? – pour l’emmener dehors. Les gens déambulaient tranquillement, la plupart partait travaillé, comme chaque jours. Une vie bien ennuyante que je n’aimerai pas avoir. La plupart des humains nous regardaient comme si nous étions deux extraterrestres : entre lui en armure royale et, moi dans ma robe bleu ciel, nous formions un couple d’excentrique, pour eux. Cela m’importait peu, de toute manière. Tout ce que je voyais, c’était lui.
Je l’accompagnais jusque dans la foret où nous nous étions retrouvés. Les rayons du soleil créaient des lumières brillantes à la surface de l’eau, un paysage bien plus beau que celui de la ville, fait de cire et de briques. Je m’arrêtais près de cette cascade, si jolie, et j’enlaçais une dernière fois mon compagnon contre moi. Cela me manquera, vraiment.

-Je ne t’oublierai pas. Nous nous reverrons, c’est certain.

Je levais ma figure vers lui, j’étais confiante et souriante. Je caressais son petit bouc de mon index, puis déposait un baiser sur ses lèvres, furtivement. Je disparu comme une illusion après ce geste ; laissant des pétales de roses tomber du ciel, comme une pluie de bienfaisance sur mon beau colonel… je l’aime tant.
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MessageSujet: Re: The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire)   The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire) ClockJeu 30 Juin 2011 - 10:42
Depuis son arrivée sur Terre il y a quelques temps de cela, et sa rencontre avec Claire, le colonel des armées de la planète Vegeta avait fait beaucoup de choses qui n’était pas dans l’habitude d’un sayen typique de ceux qui sont nés sur Vegeta. Si on exclu le combat comme un divertissement, on pouvait dire que les sayens n’avaient pas pour habitude de s’amuser. A vrai dire, tout ce qui s’était passé ici avec la jeune femme lui avait plu, il est vrai que la présence de Claire n’y était pas étrangère, ceci dit Motta ne comptait pas perdre ses habitudes. En effet, bien qu’il ait profiter de moments très agréables et bien loin de tout ce qui se passait dans cet univers tordu, Motta reprendrais la même vie qu’il avait mené au moment où il quittera cet endroit. Il était temps pour lui de rentrer sur sa planète natale où il avait de grandes responsabilités, une trop longue absence en ces temps de guerres risquaient d’être préjudiciable pour lui, et surtout pour les habitants de Vegeta. Il espérait que depuis son départ il n’était rien arriver au peuple sayen et à Toma, enfin, si tel était le cas, le colonel en aurait sans doute été informé via son détecteur. Aucune information d’attaque ou de ce genre là ayant été reçu, Motta avait peu de raison de s’inquiéter.

Comme beaucoup de gens, Claire ne semblait pas avoir une grande estime du peuple sayen, peut-être qu’elle aussi, comme beaucoup de personnes, craignait un peu ces guerriers connus pour leurs méfaits dans bon nombres de planètes. Il est vrai qu’on ne disait pas que du bien des sayens dans l’univers, ils avaient aussi bâtit cette réputation pendant tant d’années que cette description est restée dans les mémoires de tous. Apparemment, même ceux qui n’avait pas rencontrer de sayens les craignaient, d’ailleurs Claire n’en avait peut-être pas approcher beaucoup, cela montrait à quel point cette réputation était désormais ancrée dans les mémoires. Le colonel déplorait que les siens aient une image aussi ternit, mais on ne peu pas changer la mentalité et l’avis des gens aussi facilement, croire le contraire n’est qu’utopie. Dans le fond, il s’en fichait pas mal, si on devait se soucier de ce que pense chaque être vivant dans cette univers on en aurait pour des siècles. En revanche, il espérait que la jeune femme n’ait pas toujours un jugement si négatif sur son peuple, même s’il savait qu’elle ne portait pas les sayens dans son cœur il souhaitait qu‘elle ne les aient pas condamnés. Le colonel avait l’air d’être le seul à avoir ses faveurs, une exception donc. C’était assez ironique, car le guerrier ne se voyait pas comme quelqu’un d’exceptionnel, il ne cherchait pas à être unique, il vivait comme bon lui semblait, tout simplement.

Il était temps pour Motta de quitter la Terre, et donc, de laisser sur cette planète la charmante jeune femme avec qui il avait eut tant de plaisir à partager quelques moments de tendresses et de divertissement. Toute bonne chose à une fin -malheureusement ?- mais qui dit fin d’une histoire dit commencement d’une nouvelle aventure. Certaines choses doivent mourir pour en faire naître d’autres, tel était le déroulement de la vie et personne n‘avait de réelle emprise là-dessus. Le guerrier allait quitter Claire mais il était persuader qu’il la retrouverai un jour. Un nouveau moment de tendresse s’était installer au moment où le colonel avait embrasser la jeune femme au regard argenté, aucuns mots n’aurait été suffisant pour exprimer ce que leur yeux savaient dire. Aucune parole ne se fit entendre, mais tout était très clair pour eux.

Soudainement, après ce doux baiser, Claire emmena son compagnon pour quitter l’hôtel, le sayen se contenta de la suivre, conscient que l’endroit où elle le mènerait serait certainement le dernier où il la verrais avant de se retrouver un jour. Dans la rue qu’ils traversaient, les gens étaient étonner de voir passer un couple comme celui-là aux allures excentrique, mais le sayen n’accorda aucune importance aux regards des autres, il n’avait même pas tourner la tête vers les passants, fixant Claire sans se poser de question. Lui qui la suivait et était juste derrière la jeune femme se dit que même de dos elle était belle, Claire semblait avoir tant d’atouts et avait aussi un côté mystérieux qui lui plaisait. Bref, ils se retrouvèrent dans la clairière près de la cascade où il s’étaient retrouvés, c’était le lieu parfait pour se quitter pensa le sayen. Claire s’était arrêter près de la cascade puis enlaça le guerrier qui la prit dans ses bras en regardant l’horizon, ce genre de choses lui manquera aussi à lui. Le paysage était suffisamment beau pour illustrer ce moment et l’embellir un peu plus. Le guerrier écouta le doux son de sa voix, cela aussi lui manquera sûrement.

"…Toi aussi, tu me manqueras."

Elle déposa un baiser sur les lèvres du colonel des armées de la planète Vegeta puis elle disparu précipitamment de la vue du sayen. Ce baiser, il aurait aimer qu’il ne s’arrête jamais mais il gardera pour toujours la sensation de ses lèvres si douces se plaquer contre les siennes. Elle était partit en laissant tomber des pétales de roses, cela ressemblait à un rêve. Cette femme, cet ange dans la peau du diable, il savait qu'il la retrouvera dans l'avenir.

"Non, c‘est sûr: Je ne pourrais jamais t‘oublier…"

Sur ces mots, et étant conscient qu’on devait l’attendre sur Vegeta il décida de quitter cet endroit. Avant de partir il vérifia si son détecteur avait reçu un message et c’était le cas. En effet, Toma demandait au colonel de se rendre sur la planète mère des sayens, c’était donc le bon moment pour quitter la Terre. Motta s’envola dans le ciel en direction de la base de lancement.


The warrior and an angel in devil's shoes (PV Claire) Motta_12
Spoiler:

Fiche de Motta
Général des armées sayennes.

Past:


Transformations:
- Gorille Géant
- Super Sayen 1
- Super Sayen 2
- Super Sayen 3

Objets: Armure sayen, détecteur, 2 senzus, émetteur Alliance Ganshou, cape rouge.
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