| P.ô.i.s.0.n ( P r i v é ) | |
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| Sujet: P.ô.i.s.0.n ( P r i v é ) Jeu 24 Fév 2011 - 22:26 - Eh bien, messieurs, il me semble que j’ai encore gagné, hm ?
Je passe toutes mes journées ici. C’est un énorme casino, le plus gigantesque et populaire de Satan-City. Il est réputé pour son bar et ses boissons exceptionnelle, en complétement bien entendu, du fait que les jeux permettent d’empocher des somme extravageantes. Le personnel du casino était irréprochable. Chacun était toujours inpeccable sur lui, et avec une classe de qualité. On ne pouvait pas se plaindre d’un tel endroit. Et moi – aussi riche que je le suis, toujours grâce à cela – je passais des journées entière à parié et gagné. Sans jamais perdre, puisque j’ai toujours été un As dans cet art des jeux de cartes et des jeux sur table. Même dans la vie que j’avais vécu auparavant, j’avais toujours pratiqué cela, je le savas, puisque j’avais un don iné de savoir placer correctement mes jeux sans jamais me trompé. Très souvent, au début, on m’avait soupçonner de tricherie. Or, jamais personne n’avait trouver de preuve, même en me fouillant. Evidemment, cela fit perdre pendant les premières semaines, la clientèle du bâtiment. Les joueurs ne venaient plus jouer avec quelqu’un comme moi, qui empoche toujours toutes les mises. On m’avait donc payer pendant plus de deux mois, pour faire celle qui organise les jeux sur table, et cela avantagea leurs affaires. Ma folie des jeux, je ne sais pas d’où je la tiens. Mais cela est un mélange d’excitation et d’ironie. Puisque j’arrive à me sortir des impasses les plus coriaces, cela fait tout un remous et un changement de situation, qui me rend à la tête du classement. Ce qui énerve souvent mes compagnons de jeux, mais qui malheureusement, ne peuvent pas crier tricheuse. A présent, j’étais une amie très proche du patron et ainsi, je me permettais ce que je voulais dans son casino. Sa femme était la barman, une jeune femme de 34 ans, alors que lui en avait 62. Cela ne me choquait pourtant pas, puisqu’il était richement habillé, et plus friqué que la majeur partie des habitants de la ville. La jeune femme semblait totalement épanouie dans ce milieu des affaires et était une profesionnelle affirmée pour servir des verres plus rapidement que son ombre. Elle faisait tournoyer les bouteilles dans ses mains et les arrêtaient juste pile au dessus des verres. Ses performances impréssionnait souvent la clientèle qui trouvait cela divertissant. Quant à moi, je m’entendais très bien avec elle, surtout qu’elle était l’une des strip teaseuse de la boite, dans la partie privée. Elle défilait dans des verres gigantesques, à moitié nue, baignant dans uen mousse pailetté. Je le faisais également à présent, et mon salaire sufissait largement à me passer l’envie de jouer et de gagner ici. D’où le fait que maintenant, je jouais simplement parfois pour affirmer ma supériorité dans ce domaine, ce qui a le don de mettre dans un courroux sanguinaire les très gros joueurs.
La partie que je vennais de faire avait à peine durée dix minutes. Il y avait sept joueur, pour un jeu de carte de poker. Ce qui était d’ailleurs ce que je préférais dans les jeux. J’étais là seulement pour une partie amicale, mais cela montait vite aux oreilles des gens présent. Je me levais, tout grand sourire sur les lèvres. Un sourire méchamment ironique, qui ne faisait qu’empirer la chose. Mais c’était mon truc, l’ironie, la cupidité, les jeux, et les hommes. La vie est bien plus distrayante lorsqu’on joue du bon côté. Je ne comprendrais jamais les femmes au foyer, ou toutes ces femmes soumises et marié par obligation. Heureusement que j’ai toujous fuis ça, car je pense que j’aurai fini par explosé avec toute cette préssion. Lorsque je vois des couples dans la rue, à leur simple vision, cela me fait penser aux choses ennuyantes de leur vie quotidienne – et autant dire que cela me râgoute encore moins de me trouver quelqu’un pour une relation sérieuse. Les hommes sont tellement mieux à exploiter. Tant qu’il n’y a aucune raison de se prendre la tête, autant profiter plutôt que de se morfondre dans des propos futiles. Bien que j’ignore ma vie d’antan, je me rappelle de cet homme blond aux cheveux mi-long, Kisuke, qui était l’une des rares personnes qui me charmait plus que n’importe quel autre protagoniste. La relation que j’entretenais avec lui aussi bien dans le domaine de guerre, de coopération, vu qu’il était mon équipier, et dans une relation intime, nous liait bien plus que n’importe qui. Cette époque était révolue, et je ne savais si c’était positif ou non. De toute manière, on ne pouvait pas se replonger dans le passé, c’était une perte de temps considérable. D’ailleurs, l’un des joueurs à ma table était très stréssé,a nxieux. On devinait que cela était à cause de sa fille qui vennait de tomber recemment enceinte, à 16 ans. Le pauvre homme avait été complétement décomposé en l’apprenant, il était venu ici pour nous en parler. A nous, ceux qu’il connait bien, le personnel en gros, et ces amis, des sortes de gentilhomme avide d’argent. Autant dire qu’ils étaient pour le fait qu’il punisse comme il le fallait sa fille, mais lui, bien trop gentil, reniait toutes formes de violences, ce que j’approuvais. Lorsque je m’étais levé, il n’avait pas capté tout de suite que je venais de les battre tous, avec une facilité déconcertante. Le pauvre homme était bien trop perdu dans ses pensées.
En posant mon jeu de carte, alligné dans l’ordre de mes cartes gagnantes sur la table, je fis un clin d’œil à ceux qui étaient là, et qui soupiraient en constatant que j’étais encore le vainqueur de cette manche. Satisfaite, je vidais mon verre de malibu coco d’une traite, que je reposais sur la table tout aussi vite, en leur souhaitant une bonne fin de journée. L’alcool était aussi une petite habitude passagère, lorsque je jouais, afin de me détendre. C’est toujours plus appréciable de jouer avec quelque chose d’agréable pour se désaltérer. Cela me permet de me concentrer et de réfléchir à ma stratégie, tranquillement, alors que mes adversaires balisent d’avance en sachant qu’ils jouent avec une femme encore inbattue à ce jour. Je me dirigeais vers les vestiaires afin de me changer – car dans l’enceinte du casino, comme j’y travaillais et surtout le soir dans la partie privée, je portais les habits du personnel. Je me revêtis de ma robe, très courte, qui s’arrêtait juste après mon fessier. Elle était en latex, et j’enfilais les gants, ainsi que les bottes à très hauts talons aiguilles appropriés. Je détachais également mes cheveux, puis me transformait en chat, afin de sortir par la fenetre entrouverte. Satan-City était une ville qui me faisait décidément rêver. Il faisait presque nuit lorsque j’arrivais dehors et, les enfants rentraient chez eux, ainsi que les jeunes filles. Les quartiers n’étaient pas si sûr que ça, et seul les délinquants et les personnes louchent étaient encore là, dehors, tapis dans l’ombre, comme attendant une proie certaine. Toujours sous ma forme de chat, je parcourais les toits de Satan-City. Il n’y avait pratiquement plus un chat dehors, hormis les véhicules de ceux qui travaillaient encore jusqu’à des heures tardives. De loin, j’aperçus une personne qui se tenait dans un coin désert de la ville. Cette personne était là, inscouciante, visiblement elle n’était pas appeuré de se confronter aux spécimens dangerex, soit disant, de la ville. Je sautais alors du toit, pour atterir au sol, dans l’ombre d’un immeuble. Je ne distinguais pas vraiment la personne, mais c’était apparemment un homme, vu la carrure imposante du protagoniste. J’arrivais alors vers la personne, passant inaperçue sous forme de félin. Je m’arrêtais aux pieds de la personne, qui était comme je le pensais, un homme. Mes yeux brillaient de malice, alors que la nuit commençait à tomber.
Dans un petit nuage de fumée, je reprenais ma forme humaine. J’étais à genoux, devant l’homme. Je levais mon visage vers lui, puis mes ongles commencèrent à s’aggrandire et à s’allonger. Ils étaient bien plus dangereux qu’il n’en avaient l’air. Jeposais mes mains sur le torse de lhomme, tout en me relevant doucement, mon corps glissant contre le sien. Disons que la provocation est certainement ce que je pratique le mieux, un atout de grandeur pour une femme. Lorsque mon visage fut à proximiter de ses épaules, je plantais mes ongles de la main gauche dans le dos de l’homme, déchirant le tissu qu’il portait comme haut au passage. Ma main droite, était planter dans son épaule. Le sang commençait à ronger mes ongles. Je le regardais avec un sourire de séductrice dont j’avais l’habitude de faire bon escient. Mon parfum au goût exotique attirait souvent vivement l’odorat des hommes, disons que ce parfum est bien plus sensuel qu’il n’y parait. Je passais tout doucement ma langue le long de sa joue, puis tout en reserrant ma prise, enfonçant mes ongles plus loin dans sa chair, je lui susurrait :
- Vous cherchez quelque chose en particulier ? Si c’est le cas, laissez-moi faire…
Et toujours ce sale sourire aux lèvres, séducteur mais méchamment annoncer, je le défiais du regard. | |
| Sujet: Re: P.ô.i.s.0.n ( P r i v é ) Ven 25 Fév 2011 - 1:00 La soirée étais belle très belle. Les étoiles a peine visibles scintillaient comme jamais elles n'avais scintillé. Alors qu'il survolais Satan City, aucun nuage, aucune brume pour gâcher le paysage. Rien ne pouvait changer cette magnifique vue: ni les évènements qui étais arrivé, ni son stress dans sa quête pour trouver un coéquipier pour vaincre le joker et lui faire payer. Le soleil couchant faisait apparaître une myriade de couleurs, du jaune au orange et enfin au bleu foncé. La face bosselé de la lune étais parfaitement visible, exposant une lumière nacré a cette fin d’après midi. En bas, tout étais différent. C'étais certes aussi attirant mais la beauté étais autre part. Le quartier étais chic, rien a voir de ce qu'il voyait il y avais quelques heures. Les rues étais animées, grouillaient de monde tout aussi excité les une que les autres d'aller dans le bar le plus branché ou de réserver un restaurant pour avoir une place. Et quelques mètres plus loin, un casino. Pas n'importe quel casino, non, un gigantesque, a la démesure de son créateur (peut être le boss Stinger il ne savait pas). Il étais déjà rentré dans l'établissement un bon nombre de fois pour ces tables de poker et de black jack. Autour, une profusion de voitures de luxe de toute les marques et de tout les goûts. L'ensemble de ce tableau idyllique en aurait impréssioné et touché plus d'un. Le soleil descendais de plus en plus, continuant sa course effréné vers le sol, un crash impossible, une illusion d'optique pour finalement disparaître derrière l'horizon dans le célèbre éclair vert.
Blake lui, il s'en foutais comme de sa première chemise...
Le comédien respira un grand coup et il arrêta le vaisseau en altitude basse, invisible au radar.Archi étais vraiment un concentré de technologie. Ces nanites,ces différents système anti détection et même son générateur de nuage pour une discrétion totale . Grace a un robot, celui ci avais aussi été amélioré pour se balader dans tut l'univers, un procédé super utile pour courser des méchants qui partent loin. Il monta alors sur le toit et il s'allongea en repensant a sa journée et a ces objectifs: il devais trouver des compagnons pour arrêter le joker et le mettre hors d'état de nuire. Il y avais Emerl qu'il avais rencontré et apprécié mais il n'en aurait probablement rien a faire. Il y avais aussi certain contact mais il ne serait ni assez fort ni assez patriotique pour un job a salaire inexistant. Il pouvais aussi embaucher des chasseurs de primes mais il n'avais pas le courage de venir pleurer dans les jupes de ces camarades.Cela faisait des années qu'il rêvait d'un coéquipier véritablement puissant, a son niveau, avec un charisme poussé et une vue sur la vie particulièrement ouverte et pas arrêté a bon ou mauvais mais plutôt a en tirer des conclusions plus poussé.Et puis ci possible avec une pointe d'humour. Mais malheureusement il ne pouvait compter sur personne, ou en tout cas celle sur qui il pouvait compter autrefois sont morte depuis un certaint temps
*Bordel de merde Manhattan quand est ce que tu reviens mettre de l'ordre dans cette foutue planète!*
Il resta ainsi, pensif pendant plusieurs minutes, a imaginer des plans contre son ennemi, des stratégies le laissant ainsi au dépourvue. Rien ne lui semblait approprié a la mairie de Satan city. L'incroyable mairie de Satan city! Il décida finalement de descendre pour ainsi voir ce qui ce passait en bas et peut être faire un tour au casino pour se changer les idées.
Il fit atterri archimede un peu au loin pour ne pas attirer les gens et ainsi passer plus inaperçu. Il posa pied a terre et ordonna au vaisseau de s’éloigner. La nuit commençais a tomber et les lampadaires s'allumaient les un après les autres. Il étais dans une petite ruelle quand, derrière l'ombre d'un immeuble approcha un chat, noir, superbe, aux yeux d'un jaune incroyable. Méfiant comme d'habitude et sachant que les chat avais rarement les yeux d'un jaune aussi éclatant, il se prépara a tout éventuelle attaque. Mais rien, le chat approchait de plus en plus, surement pour réclamer on ne sait combien de câlins et de caresse. Le comédien n'étais pas du genre a donner câlins et caresse. Il sortit son arme et la prépara a tirer alors qu'elle arrivait a ces pied quand soudain, il n'en crut pas ces yeux, le chat se transformait en humaine. Et pas n'importe quoi comme humaine! Belle,jeune, des cheveux noir de jais, une carrure de sportive, des habits mettant en valeurs ces formes les plus arrondies... Le comédien commença a avoir chaud, très chaud.
Apres c'être levé et avoir atteint son visage, elle s'approcha de lui, jusqu’à l'atteindre a quelque centimètre avant un bouche contre bouche. Elle passa sa main gauche dans le dos du comédien tailladant les tissus et la combinaison pare balle et atteignant le dos. La douleur fut intense mais le plaisir étais la pour faire oublier. Apres lui avoir délicatement léché la joue, la femme resserra encore la prise sur son dos.
Vous cherchez quelque chose en particulier ? Si c’est le cas, laissez-moi faire…
Il passa une main vers don dos et détacha sa sulphateuse, our avoir une mobilité plus grande. Il l'a jeta au loin, pour pas qu'il la gene. Alors qu'il regadais au loin, il regarda la jeune femme, pris son sourire habituel et il lui chuchotta quelques mots le plus délicatement possible tout en commencant a descendre asa main en partant de l'épaule vers le dos
"Ce que je cherche? Un coéquipier pour reprendre la ville de satan city au mains d'un détraqué. Et je ne vois vraiment pas qui prendre avec moi pour en finir avec les problemes de cette ville"
Il descendis sa main encore plus, cherchant a atteindre le bas du dos
"Mais pour l'instant, je profite de ce que la chance m'a donné, c'est a dire vous, belle inconnu au yeux d'un jaune pur."
Alors qu'il avais quasiment atteint les fesses de la belle, il se décala sur la gauche avec une vitesse prodigieuse, extirpa la main de la jeune femme de son dos ensanglanté puis la poussa de toute ces forces vers le ciel avec la main encore dans le dos dde la femme au yeux jaunes. Avant que celle ci ne décole, il lui lecha furtivement l'oreille, le plus délicatement possible. Meme si elle se prenais la surprise, elle décolérais a peine de quelques centimètres pour réatérir quelques mètres plus loin.Voila plusieurs mois voir plusieurs années qu'il ne s'étais pas amusé ainsi et il n’espérais vraiment pas que sa arrive maintenant. Comme quoi, le hasard est toujours la ou on ne l'y attend pas. Il s'éloigna enfin et posa un de ces deux pistolets. Il en gardra un en cas de probleme véritable. Il chuchota un peu plus fort, pour être entendu
"M'accorderez vous ce combat belle inconnu?"
Pour finir sur un clin d'oeil qui voulait en dire long sur le type de combat qui allait se dérouler | |
| Sujet: Re: P.ô.i.s.0.n ( P r i v é ) Ven 25 Fév 2011 - 18:22 Alors que mon service du jour au casino s’était terminé, j’étais partis traîner, comme à mon habitude, dans les rues de Satan-City. Il n’y avait rien de très extravageant à voir ici. Disons que l’on faisait vite le tour des lieux et que, malheureusement, les gens possédaient tous une vie morne et sans remous. Ils font exactement les mêmes choses chaque jours, et sortent tous le week-end, pour essayer de se tirer comme ils le peuvent de leur train train habituel. Tentative assez désespéré, je trouve. Mais nous n’avons pas tous la même chance, et nous ne possédons pas tous les mêmes loisirs, apparemment. Les couples, par exemple, sortent pour s’ennuyer à deux. Aller au cinéma, au restaurant, au bowling… à force, ça se répète, et on fini par retomber une fois de plus dans un fragile équilibre entre le monde du travail et la vie hors de ça. J’en voyais souvent à travers les fênetres des maisons, se disputer pour des choses futiles. Pourtant, les humains sont obliger de trouver le moindre argument pour éveiller un soupçon de colère chez l’autre. On se demande bien pour quoi ils cherchent la petite bête. Assurément, cela ne plait pas au concerné qui s’en prend plein la tronche. A qui cela ferait plaisir ? Se faire embêter de la sorte, même voir harceler par son conjoint , c’est lourd. Tout l’interet est là, du fait que je suis libre et sans attache. Au moins, je ne risque pas d’avoir de problème quelconque, puisque je mets toujours les choses au clair dès le début. Comme j’avais pu déjà le formuler avant, ce type de vie n’est pas faite pour quelqu’un de ma trempe.Moi, m’attacher à quelqu’un ? Ce jour est encore bien loin. Même si c’était le cas, ça ne m’empecherait pas de faire ce que je veux pour arriver à mes fins. Les hommes pensent souvent avoir à faire à des femmes faciles. Disons que pour eux, tout va dans leur sens, alors qu’il ne font que se faire berner comme des abrutis. Mais ça me va comme ça. L’homme qui se pense être supérieur, je n’en ai rien à faire, du moment qu’il ne vient pas commencer à m’en faire part. Sinon, je pense qu’avec mon poing dégommant sa tête, le problème serait réglé. Je n’étais pas du genre à être violente en général, ce n’est pas ce que je préfère, mais en étant robotisé, cela passe bien. En plus, ma force est automatiquement décuplé, alors décrocher une tête d’un coup de poing est aisé pour moi. Je ne possède cependant pas une super-méga force comme la race sayen qui passe par 50 transformations pour ENFIN être puissant. J’ai toujours pensé que ça craignait. Mon squelette est fait d’un métal capable d’être manier, mais qui est aussi très difficile à détruire. Je peux interchanger des pièces de mon mécanisme si certaine son cassé, ce qui fait de moi un cyborg de toute dernière génération, ou du moins plus perféctionner que d’autres. J’ignore qui m’a robotisé, ou même pourquoi est-ce que je suis ainsi. Les cyborgs ont une sorte de cafrte mémoire intégrer dans le cerveau qui est censé, quand on l’incère, permettre de faire oublier des passages indésirables de la vie de l’hôte. De là à pratiquement tout m’éffacer, c’est que j’ai du faire une grosse bourde. J’ai du en perdre, du temps, à vivre dans l’ignorance.
J’étais tombé face à un inconnu, qui se trouvait en plein milieu de Satan-City, et seul. J’aimais bien jouer avec le feu, alors j’étais partis découvrir qui se cachait dans l’ombre. C’était rare de trouver des personnes seules, surtout le soir. Vu que les quartiers n’étaient pas aussi sûr que le promettait la police, les gens avaient tendance à vite rentrer chez eux. L’homme que j’avais aperçu était quelqu’un de très bien équipé niveau martériel. Il faut dire que vu le nombre de balles et d’armes qu’il possédait sur lui, on aurait pu croire à un commando militaire, venu là, attendant tranquillement que sa cible sorte pour l’abbatre sans problème. Je comprennais mieux le fais qu’il soit seul ici. La sulphateuse qui lui prennait de la place, autours de lui, il la dégagea rapidement en la balançant au loin. Manque de chance pour lui, car c’est une arme d’un gros calibre qui aurait, peut-être pu, me décoller rapidement de lui. Les petites armes outre de ça, je ne les craints pas. Visiblement, aucun homme ne résistait à mes tours de charmes, même les plus froids. Disons que tous les hommes sont pareils, ou du moins la grande majorité, par rapport à cela. Ils sont souvent bien trop prévisible, en particulier les humains. Quoi que, je n’ai jamais encore vu d’homme vraiment comique ou timide. La plupart n’était que des salops, dans la vie courrante aussi bien qu’avec leur femme, qu’évidemment, ils trompaient. Mais ce n’était pas mes affaires, et je n’y voyait aucun inconvénient. Il pose l’une de ses mains, à son tour, sur l’une de mes épaules, tout en la descendant progressivement. Un sourire se traça sur son visage, alors que je l’avais légèrement harponner, chose qui ne plairait pas à tous le monde. A son tour, d’une voix à peine audible, il me révèlait ses objectifs. Sa venue ici était donc car il recherchait un coéquipier pour défendre la ville. Un certain protecteur, alors ? Comme j’en avais connu à mon époque, aussi. Encore un méchant détraqué, d’après lui, qui aurait prit la ville. Il doit certainement parler du type sur les affiches dans Satan-City : Le Joker. C’est vrai que ce type est incroyablement laid : il porte des cheveux vert délavés, mais le pire, reste son expression. Son visage est déformé par un sale rictus, comme celui d’un fou. Je ne me suis même pas poser la question de savoir s’il avait déjà été en asile. On voyait clairement la réponse en regardant son visage, sur une simple photographie. C’était lui, le nouveau maire. On se demande comment il a eut les votes.
Il me dit cependant qu’il préférait profiter de la chance que lui offrait le destin en ce moment. On peut dire qu’en effet, il était certainement bien tombé. Pendant ce temps, sa main était descendue bien basse dans mon dos et, avant que je ne puisse réagir, Il se décala sur ma gauche, mais mon œil avait pu perçevoir le moindre de ces mouvements – avantage d’n cyborg qui voudrait étudier une technique particulière de combat. En même temps, il enleva ma main de son dos, mes ongles étaient couvert du doux liquide qui mouilla aussi mes longs doigts. D’un mouvement, il me décolla sans difficulté du sol, mais il me tenait toujours de sa main dans le bas de mon dos. Juste avant de me soulever avec tant de facilité, il passa sa langue sur la lobe de mon oreille, ce qui me fit avoir des frissons le long du dos. Les oreilles d’un chats sont une zone hérogène, comme chez les félins comme les lions ou les tigres. Cela peut aussi bien nous chatouiller, que nous agaçer, ou nous faire passer cette étrange sensation et des frissons. Il me lâcha et je réattérit un peu plus loin, sans aucun mal. Il s’éloigna pour garder une distance de sécurité et posa l’un de ses pistolet au sol. Il me proposa alors un affrontement. Je ne savais pas quel était son intention, mais cela n’était pas de refus de se remettre en forme. J’étais dos à lui. Je tournais alors mon visage légèrement vers lui, tout en ramenant mes cheveux pour les attachés en queue de cheval. D’un sourire splendide, je lui répondit :
- Puisque vous le désirez… et c’est avec plaisir que j’accepte.
Je me tournais pour être face à lui. Ma rapidité était mon atout principal en tant que cyborg. Ma force également. Ma précision passait après, et c’était surtout pour les tirs de loin et préçis. J’étais doué et au corps à corps et de loin, mais je ne pouvais pas être imbattable dans les deux. Je courais vers mon adversaire, Puis sautais en l’air juste un peu avant d’être devant lui. Ainsi, j’attérit les jambes sur ses épaules, le haut de son crâne contre mon ventre. Cela pouvait parraitre tout autre chose… disons que j’étais, entre parenthèse, assise sur ses épaules, mais face à lui. Je ne lui laissais pas de temps de réaction, et tout en serrant mes jambes autours de sa tête, je m’élançais en arrière, et grâce à la force de mes bras, je retournais mon adversaire pour qu’il se fasse un violent clacage contre le sol pétrolé. Par la suite, je sautais en l’air à nouveau, puis mes doigts se transformèrent en enbout de mitrailleuse. Ainsi, à l’effet de mitrailleuse, je lui tirais dessus par plusieurs centaines de balles par doigt, avec un débit très rapide. Cette action souleva de la poussière, mais j’avais un visu de balayage, ce qui permet de repérer la cible par rapport à sa respiration ou son rythme cardiaque. Ainsi, mon bras gauche se transforma en taser. Tout en le visant, je lui tirais une rafale de boule éléctrique, à l’état pur. Si cela touchait la cible, elle serait immobilisé et éléctrocuté pendant environs 6 seconde, et si plus. Mes ongles se décuplèrent encore pour prendre une longueur inimaginable. ( Voir ma signature ) Je réatérisais dans la posture d’un chat après mes offensives, dans une position féline, à quatre pattes. Mais on voyait très bien que mon squelette était construit de manière à être modelable, ainsi je pouvais courir aussi bien comme un humain qu’un félin. Je passais ma langue sur mes lèvres, avec un sourire tout autant provocateur. Je bondit avec vitesse, sur mon adversaire , toutes griffes dehors pour tenter de les planquer dans ses épaules et ainsi, resserer ma prise pour le balancer contre l’arbre dérrière moi. Tout se fesait en vitesse et je pouvais calculer le moindre de ses mouvements, seulement, je ne pouvais prévoir s’il avait un moyen de contrer ou non. Tout en continuant dans mon élan, je tentai un coup de genoux dans le ventre. Juste au dernier moment avant que mon genou puisse peut-être le toucher, une lame de 15 centimètre sortit de celui-ci. J’en profitais pour essayer de lui assener des coups de griffes, ce qui n’était pas si facile que ça à éviter, vu la longueur imposante. Après un court moment, je l’aggripai par le col avec les deux mains – à ce moment il aurait pu me frapper à sa guise dans le ventre – et dans un mouvement très fluide, je me pliais en deux vers l’arrière pour lui faire un suplex. En effet, on pouvait dire que je ne lui laissais pas vraiment le temps de répliquer, mais quelques secondes entre les attaques permettent à l’adversaire d’en placer, alors, autant être prudent. Par la suite, je lâchais, reculant d’un bond, puis je croisais mes bras, cet éternel sourire de garçe provocatrice sur les lèvres.
- Alors, vous en voulez encore ? J’estime ne pas y aller de main morte, c’est vrai, mais je ne sous-estime personne ! Eh puis, vous faire mal me fait intensément plaisir. D’un regard vicieux, je le scrutais un petit moment avant de reprendre : Au fait, quel est votre prénom ? Et d’où venez vous ? Je ne vous ai jamais croisé ici auparavant ! Vous êtes du service militaire de la ville ?
Je disais ça tout en prennant mes distances. Il fallait que je garde mon calme et ma concentration, car il pourrait profiter de ce moment de parlote pour agir. | |
| Sujet: Re: P.ô.i.s.0.n ( P r i v é ) Ven 25 Fév 2011 - 21:01 La soirée étais belle et le comédien s'en foutais.
La femme en plus d'etre belle,étais dangeureuse, la plus belle qualité pour Blake.Il en aurait vu la femme parfaite si il n'avait pas a la reprendre sur un point :elle manquait carément d'humour!
Apres l'avoir gentiment poussé, arriva un enchaînement court mais dévastateur pour n'importe qui. Blake n'étais pas n'importe qui. La femme se précipita sur lui dans un bond: mauvaise idée et position de faiblesse... Il avais la possibilité de tendre simplement une de ces main, de la placer au bon endroit et il aurait frappé violement au plexus solaire, arretant ainsi tout enchainement, mais il ne le fis pas, pour observer son ennemi.
*Premiére erreur*
Elle tomba alors pile les cuisses sur ces épaules. Dans cette situation, il aurait pu accepter tout les chatiments... Elle le propulsa au sol, tactique classique contre laquelle il avais appris a se battre. Il leva ces jambes pendant qu'il fut entrainé dans les airs et les placa en angle droit, pour que au choc, elle prenne appui pour qu'il puisse remonté et il ne les contracta pas totallement pour ne pas les casser. Au sol, il vit la femme sauter en l'air et commencer a tirer par ces doigts. Sa, il ne l'avait pas prévu mais il immaginait qu'elle le frapperait au sol. La parrade marchait aussi. Sur le dos, il se mis a rouler de coté le plus vite possible pour finalement faire une roulade arrière et arriver accroupi. Plusieurs balles avaient cependant touché son thorax mais rien ne perfora l'armure pare balle. Il en fut par contre éssouflé, mais ce n'étais pas fini... Elle tira encore, cette fois ci avec des boules a énergies. Le comédien eu une idée, une idée résplendissante
Il étais dans l'allignement parfait avec un des pistolets qu'il avait jeté. En un moment, le temps sembla se ralentir. Il n'avais pas de pouvoir, juste de l'adrénaline. Il commença par faire plusieurs roue arriére, pour finalement arriver a récuperer son arme en main qu'il mit immédiatement dans son fourreau. Une des boules éléctriques étais dangeureusement près de l'homme. A la vitesse de l'éclair, il évita la derniére. Malgré cela, il frola la derniére. Il ne fallais pas qu'il ait a tout froler sinon il mourrais une bonne fois pour toutes se dit il. Apres, laissant un petit répis d'une seconde, il se remis sur pied et se mit face a son adversaire. Elle repassa a l'ataque avec un nouveau bond vers lui, avec une grande vitesse et des sortes de griffes déployés. Il avais pu s'éloigner donc il eu le temp de réagir. Une fois de plus, il aurait pu tout arreter par un coup au plexus ravageur ou meme sortir a une vitesse incomensurable un pistolet, et utiliser ces cartouches a balles rapide droit vers le cerveau mais il ne le fis pas, par respect du combat et de son adversaire.
*Deuxiéme erreur"
Il fit donc une parrade particuliérement minable. Sachant qu'il ne pouvais pas rester la au risque de se prendre une nouvelle fois des griffes dans le dos mais assez grande pour le tuer, il fit une roulade sur le coté, évitant ainsi l'attaque. Il l"esquiva mais alors qu'il se relevais a peine, la femme l'atrappa par le col et le plaqua conte un mur.
"Ahaha! D'habitude c'est moi qui plaque les belles femmes contre un arbre!"
A peine sa phrase fini, il se pris un suplex prafaitement exécuté mais ce que son ennemi ne savait pas, c'est qu'avant de s'engager dans les forces de polices et de devenir un héros, il étais catcheur... Il pris l'attaque et releva tout simplement la tete, en mettant le dos le plus droit possible. Il tomba au sol, indemne mais avec un serieux mal de dos... Pourquoi ces ennemis en avais toujours apres son dos? La femmes s'écarta et elle pris un regard que Le comédien aimais par dessus tout: celle d'une rebelle a l'amour durable et provocatrice vers tout les hommes. Il se rendis d'ailleur compte qu'il étais entré dans son piége de belle femme...
"Alors, vous en voulez encore ? J’estime ne pas y aller de main morte, c’est vrai, mais je ne sous-estime personne ! Eh puis, vous faire mal me fait intensément plaisir.Au fait, quel est votre prénom ? Et d’où venez vous ? Je ne vous ai jamais croisé ici auparavant ! Vous êtes du service militaire de la ville ?"
Blake repris son soufle, alluma son cigare et fit la révérence apres un rire provocateur
"Bier le bonjour gente companie! Je suis le comédien, défenseur de la veuve et de l'orphelin, violeur de la vietnamienne et tortureur des insurgé pour vous servir!"
Il se releva et mis ces deux mains sur sa tete, prenant un air de défi mais séducteur. Il avanca alors, d'un pas lent vers la femme, sans montrer son stress ni sa fatigue. Comme si il n'avais jamais subi cet attaque. Il chuchota alors, de la facon la plus langoureuse qui soit
"Ma belle et tendre, sache que faire soufrir est un plaisir partagé ,que tu va pleurer tellement ton malheur sera intense et moi je jouirais alors d'un vice particuliérement agréable. Prépare toi a voir l'amour de mon point de vue"
Au loin, il avais jeté ces munitions a quantium. Il fit alors exploser l'une des cartouches de munition a distance, d'un simple mouvement de main.La boule de feu avais été gigantesque et l'avais quasiment atteint. Il gacha une cartouche pour son énorme sulphateuse mais il créa la diversion souhaité. Quelque soit désormais la réaction de la femme, Elle ne pouvait que ce concentrer sur l'origine du bruit, que se soit au moins pour se protéger. Alors Blake en profita pour se mètre dans son dos a la vitesse de la lumière,la saisissant par la taille et il placa ces mains vers le nombril et penchant sa tête sur ce coup d'un blanc immaculé. Il descendais ces mains de plus en plus, de nouveau...
"Sache que ton nom ne m'interese guère et même chose pour ta quéte car sauf si je dois être plus proche de toi apres cette nuit, ce dont je doute vu tes habitudes. Ahaha... Attention catwoman, je vais frapper..."
La dernière phrase était quasi inaudible mais il savait qu'elle l'avait entendu.Il fit un pas en arriére et sortit ces deux armes dont l'une précédemment récupéré, il y entra a une vitesse ahurissante les cartouches a réactions et tira en commençant vers le cosys et remontant progressivement, une deux balles toute les secondes. Apres cinq balles, il rangea ces armes rougeoyante de chaleur et reparti a l'assaut. Il coura tout droit, feinta un départ a gauche pour partir a doite et il se jeta pied en premier vers le visege de la femme en tournant en meme temp, comme pour frapper un ballon de football. Il savait qu'elle allait l'éviter mais il sortit alors rapidement ces deux pistolets et pendant sa vrille il tira, faisant fuser les balles dans toute les directions. Il atérissa finallement accroupi, un genou plié au sol et l'autre tendu d'ou il observa chacun des mouvement de la femme. Il tira alors ces deux derniers coups en visant du mieux possible. Ces deux balles avais été parfaitement tiré, calibré selon les mouvement de la femme, le reste avais été une diversion complete. Il remis de nouvelle balle a réaction et regarda vers elle. Malgré tout cela et les restriction qu'il s'était imposé, il décida d'appliquer une de ces stratégies, une de ces bottes secretes: il tira deux coups, un a droite, un a gauche de la cible touchant quasiment les bras et finalement une derniere a peine au dessus du front. La seule facon d'éviter l'attaque étais de garder un sang froid incroyable ou etre monstrueusement calculateur. Que les balles touche ou ne touche pas, il aurait de toute facon des informations
Apres, cela, quelque soit le résultat, il étais content, content de ces tirs, content de ces phrases...En fin de compte,il étais content de son jeu d'artiste | |
| Sujet: Re: P.ô.i.s.0.n ( P r i v é ) Sam 26 Fév 2011 - 3:54 J’avais souvent rencontrer des personnes qui avaient été un pillier très important dans mon avenir. Disons que la plupart étaient des humains – puisque je vie avec eux – et qu’ils n’avaient , à mes yeux, pas d’importance certaine. Cependant, ce sont souvent les humains, les personnes qui détiennent des richesses inimaginable et une force de persuation à toute épreuve. Surtout grâce aux gardes du corps de certains, ou de se qu’ils détiennent. Ils n’ont pas de force physique capable d’égaler quelqu’un comme moi, disons, mais ils ont le pouvoir et la richesse. Le peuple n’est qu’une monnaie d’échange, une partie majeur du peuple réduit à être la vermine, à leurs yeux. Plus on est haut placer, plus on considère le reste comme étant des objets. J’en avais vu, et j’en voyais toujours, des riches hommes et femmes, se considérant comme une race supérieur. Ce qui est particulièrement pour me déplaire, surtout lorsqu’on ne voit que part l’argent et qu’on ne pense que par argent. Ils n’ont rien de bien réfléchit dans leur mentalité, outre pour des plans afin d’extraire le pognon qui les interessent. Ce qui est quand même désespérant. Leur fric est toujours plus intéréssant qu’eux, en partant de se principe – ce qui est vrai pour la plupart des cas. Cependant, ma passion à les emmerder à longueur de journée est interminable. Je trouve continuellement les bon mots pour leur cloué le bec, ce qui, évidemment, ne plait pas. Le patron n’est pas toujours non plus très d’accord avec la manière dont j’agis, mais en somme, je lui sers toujours plus que je ne lui faire perdre de la clientèle, ce qui est un gros avantage. Disons que mon corps et mes capacités de provocatrice fait tourner tous les regards dans ma direction – oh, sans loin de là, me vanter, bien entendu ! J’ai un humours de pince sans rire parfois, qui agaçe les autres. Malheureusement, on ne peut que m’accépter tel quel. Le fait est là : je suis celle qui tourmente les esprits de diverses manières – en mal ou bien – mais on a toujours besoin de quelqu’un qui a la tête sur les épaules dans mon genre. Puisque la plupart on la folie des grandeurs, ce qui fait quand même naître l’espoir. Les sentiments humains me laissent perplexe, parfois, mais malgré moi, je fais partis d’un coté, de leur communauté. Et cela, je ne sais comment. Je ne sais ni d’où je viens, ni qui sont mes parents. Peut-être suis-je l’expérience d’un laboratoire ? Ou un sujet de diverses expériences ? Je ne me rappelle absolument de rien. Sauf du visage de cet homme aux cheveux blond et son fameux chapeau rayé. Tout ce dont je me souviens vraiment, c’est de lui, et d’une femme aux cheveux noir aux reflets parfois violet comme les miens, mais qui les portaient court. Le reste, je ne sais même pas à qui j’ai eus affaire dans le passé, ni même qui aurait pu m’aider à retrouver la mémoire. Sauf ces deux personnes… et dans l’immensité de la galaxie, je me demande comment je pourrais le retrouver. De plus qu’ils sont peut-être maintenant décédés.
Visiblement, cet homme était bien un protagoniste doué au corps à corps. Il conaissait mes premières attaques, il devait les avoir déjà vécu. On entraîne souvent des guérrières, ou des catcheuses, de cette manière. Mais entre le fait de faire semblant et la réalité, c’est un tout autre dileme. Bon nombre de femmes qui se battent savent utiliser le corps à corps, mais sans trop de coups spéciaux. Ma capacité à modeler mon squelette est quelque chose de très utile, notamment pour me protéger. Mes armes intégrés dans mon corps le sont tout autant, et j’ai réel plaisir à faire l’étonnement de mes adversaires. Une femme cyborg comme moi, avec une technique particulière de modeler son squelette, ce n’est pas fréquent. D’ailleurs, je ne possède qu’une attaque qui requiert de l’énergie d’un corps humain, que je ne peux malheureusement donc utiliser que trois fois. Je ne canalise qu’une quantité minable d’énergie corporel comparé à ceux qui utilisent des attaques avec de l’énergie. Cependant, cela m’avantage, car je ne connais pas la fatigue. Mon adversaire se trouvait être un connaiseur en matière de ces techniques de corps à corps, banal, que j’avais utilisé. Il avait eut facilité à connaitre le contre de celles-ci. Le suplex aussi, ne semblait ne pas l’avoir ammoché plus que ça. C’était assez frustrant de tomber sur quelqu’un qui avait déjà fait les frais de cela. Ma vitesse de déplacement ne le génait pas pour autant, pour le moment. Il faut dire que je ne vais pas bursté dès le début mon adversaire, ceci n’étant qu’un petit affrontement de seconde zone, entre outre. Je n’y voyais pas vraiment l’interet de tout lui dévoiler de mes capacités dans cet art, surtout qu’il pourait les retourner contre moi. Lorsque je le balançais contre l’arbre, il prit ça de façon comique, ce que j’apprécie plutôt chez un homme qui se bat. Car le reste des combattants hommes, sont plutôt froid et indulgent. Rien de bien attirant, en somme. Ou tout du moins, pas pour une femme comme moi, qui recherche la diversité. Il était quand même très mystérieux, sous cet air de justicier masqué, et munit d’armes, de quoi abbatre des centaines d’éléphants. On aurait dit qu’il combattait très souvent contre des personnes n’étant pas de son côté, ce qui devait être barbant s’il était seul. Je comprennais mieux le fais qu’il se cherche un coéquipier.
Après le fait que je lui ai poser des questions sur son identité, il sembla amusé de ma curiosité, me fit une révérence avec un petit rire, un cigarre en guise d’accompagnement. On l’appellait donc Le Comédien, un titre que l’on donne souvent aux justiciers, j’ai l’impression, parce que leurs identités doivent demeuré secrète. Tant de mystère est si attirant… et en même temps, qu’elle corvée de se torturé l’esprit en ne sachant pas qui est cette personne. Ses paroles furent suivi d’un sourire de séducteur, et d’un regard qui me défiait, ironiquement. Je me méfiais de ce genre d’expression vu que moi-même j’étais une hôte de cela et que c’était souvent pour surprendre. Et effectivement, ce fut le cas. Je le remarquais, se déplacer très vite, et je ne réagis pas. Juste avant, il avait fait exploser une cartouche, qui créa une explosion vraiment imprésionnante. Je me demandais pourquoi il faisait cela, une diversion de taille, pour brouiller mes sens plus dévelloper que ceux d’autrui. Il arriva dérrière moi, m’enlaçant par dérrière en posant ses mains sur mon ventre, proche de mon nombril. Il n’était apparemment pas intérésser par une histoire d’un soir… et dans un sens figuré. Il était bien là pour une chose sérieuse, ce n’était pas de simples paroles en l’air. Il cherchait sérieusement un coéquipier de taille pour l’épauler. Il se décolla d’un coup de moi, faisant un grand pas vers l’arrière. Il attaquait donc de dos ? Il n’y avait pas de quoi être fier. Il commença à tirer d’un point de départ pour monter progessivement. Mon squelette de mon dos sortit alors tout aussi vite, comme une auto-défense. Les os étaient si grand qu’ils recouvraient pratiquement tous mon dos, et ainsi, les balles percutèrent ceux-ci en protegeant mon enveloppe charnelle. Le métal autours des os résistaient bien à de simples balles, même si elles étaient tiré à grande vitesses. Aucunes sequelles n’était présente lorsque mes os, comme par magie, se réctractérent et rentrérent dans ma peau. Il revint devant moi, se mit à courir, alors que je levais pas le petit doigt. Il avait fait une petite feinte pour me laisser deviner d’où il allait arriver. Mais cela ne servit pas vraiment, car il voulu me donner un coup de pied en pleine face. Il fit un saut en vrille de ce pas, sortant ses fusils pour me mitrailler de balles. Mon bras droit se transforma alors en lance-flammes, et alors que je m’abaissais simplement pour l’éviter, je fis des gestes très larges autours de mon pour que le feu réduise à néant les balles tirés dans un angle en hauteur comparé à moi. Lorsqu’il rattérit, dos à moi après son coup, je me relevais et mon bras reprit sa forme normale. Je me tournais vers lui, et le fusil braqué vers moi, il tira deux balles à mon flanc gauche et droit, et une autre un peu plus haut, qui passerait certainement au dessus de ma tête. En réaction, je me transformais en chat. C’était presque trop facile. Après que les balles soient partit s’écraser contre le mur de dérrière, je repris ma forme humaine. Je m’avançais vers lui, tranquillement, pour lui montrer que je ne comptais pas faire d’offensive.
- Arretons nous là… je pense que notre petite confrontation pour figurer n’a pas besoin de durer. Nous aurons largement le temps de montrer nos potenciels plus tard… lorsque nous serrons face à ce détraqué dont tu parlais tout à l’heure.
Je lui souriais d’un sourire charmant, je prennais les devants une fois de plus. Je lui fis signe de me suivre. Les rues de Satan-City étaient peu éclairées à cette heure, quelques lampadaires éblouissaient des pavé de trottoir, mais jamais les ruelles sombres. Là où se trouvait les dealers, les toxico, et tous ces gens qui s’échangeaint les seringue, leur seul moyen d’apprécier la vie. On les voyait là, en bande, incapable de s edéfendre en cas de problèmes. Leur seul passion c’était de s’injecter des doses pour oublier, toujours oublier. C’était misérable, mais je ne pouvais pas juger la vie de personnes que je ne connaisais pas. Je les ignoraient, de toute manière, ils ne se rendaient même pas compte que nous passions, Le Comédien et moi-même, dans la rue juste en face. Quelques mintues après, nous arrivions devant une grande grille d’or, montant haute dans le ciel, et d’un mur encore plus haut, pour que l’on ne puisse l’escalader ou voir ce qui s’y trouve dérrière. Lorsque j’arrivais devant la grille, elle s’ouvrit automatiquement, comme si elle avait prévue mon arrivée. Elle se referma de la même manière après le passage du Comédien. Les jardins en premier plan contenaient des animaux, des cygnes et d’autres choses élégantes, qui étaient tourné en direction de ceux qui arrivaient, comme pour les acceuillir avec bienveillances. C’était une grande villa, et on aperçevait à travers des vitres très longues, une piscine d’intérieure dans la salle principale. Au seuil de la porte, un homme nous ouvrit. C’était Roger, mon majordome. Un homme plutôt âgé, mais qui était habiller d’une manière bien plus classe que les jeunes de nos jours. Il avait ausis des manières irréprochables et n’oubliait aucun détail. Je laissais Le Comédien entrer en premier, puis j’entrais, et mon majordome ferma la porte dérirère nous. Il nous avait saluer d’une révérence, puis s’occupa de nous débarasser de nos affaires encombrantes. Le hall était baigné de deux escaliers qui donnait sur un étage digne d’un manoir. Sur la gauche, la salle contenant la grande piscine et un bar. Sur la droite, une piece immense dédiée à la cuisine. Disons qu’il y avait de quoi faire, ici. Je l’invitais à monter l’un des escaliers pour m’accompagner à l’étage. Je l’emmenais dans une immense sale de bain, mais qui était composée de plusieurs éléments qui la différenciait des salles de bains classique : il y avait un mini bar pour boire, un sofa, une télévision sur le mur, une douche et un bain, ainsi qu’un jacuzzi, et un paraven en toile pour se changer. Il y avait aussi une petite cloche contre le mur à l’entrée pour appeler le personnel.
- Faites comme chez vous, vous êtes le bienvenu dans ma demeure. Au fait, je m’apelle Yoruichi.
Je disais ça tout en faisant teinté la petite clochette. Le majordome arriv,a accompagnée d’une petite femme jeunette, un peu ronde, qui était la bonne. Je leurs fis signe de tous préparés, et comme s’ils étaient habituer, ils se mirent à ce petit travail. Le Majordome sortait des serviettes et les pliait très soigneusement au bord du jacuzzi, alors que la femme faisait couler l’eau et parsemait celle-ci de pétales de roses. Roger fit également brûler de l’encens. Ceci se faisait chaque jour lorsque je prennais un bain, ce qui était une situation très luxuriante. La petite femme sortit, et le majordome apporta une bouteille d’un grand cru, qu’il versa dans deux coupes spécialement à cet effet, avant de les poser sur un plateau flottant dans le jacuzzi. C’était une haute technologie, et qui coûtait la peau des fesses. Mais autant dire que je préférais faire bien. Sinon, autant rien faire. Le majordome sortit alors, après avoir fait une révérence gracieuse comme pour nous saluer tout à l’heure. Si jamais nous avions besoin de quelque chose, une autre clochette était disposée prêt du jacuzzi. Je m’avançais pour être juste à quelque centimètres de lui. Puis d’un sourire de séductrice- comme à ma grande habitude – je collais mon buste contre son torse, puis entourait sa nuque de mes bras. Tout en le regardant dans les yeux – d’un de ses regards qui veulent tout dire – je continuais :
- Je vais me changer, si vous avez besoin de quelconque maillot, je vous invite à chercher dans l’armoire à cet effet, il y a tout ce don on peut avoir besoin…
Je lui fis un petit clin d’œil, puis je me décollais de lui pour aller dérrière le paravant en toile, après avoir choisit mes affaires. L’encens au doux parfum exotique – tel que le miens – chatouillait mon nez de cette odeur excise. C’était vraiment ce que je préférais. Dérrière le paravant, on ne voyait que mon ombre – mais cela ravissait mes formes et on distiinguait le moindre mouvement en détail. Je retirais mes gants, mes talons, puis je fis glisser ma robe le long de mon corps pour l’enlever. J’enlevais également mes sous-vêtements – et j’étais dos au Comédien, même dérrière l e paravant – car celui-ci donnait une impression d’ombre, comme je le disais, mais on aperçevait plutôt bien le corps, outre de ça. J’enfilais mon maillot de bain, puis ornais mes cheveux d’une belle rose rouge. Lorsque je sortais de dérrière l’objet, on distinguait bien mieux mes formes galbé dans un maillot de bain tout aussi rouge que la rose. C’était un maillot de bain unique : il était fait de perles. En effet, le bas était en perle, à l’éffigie d’un boxer. Et le haut n’en était pas vraiment un : c’était un collier qui cachait une majeur partie de la poitrine à partir du haut. Le collier ravissait la nuque en la bordant d’un tour de cou de perles finement arrangées. Le tout était rataché par des perles dans le dos, avec une agraphe. Je rentrais alors dans le jacuzzi, où de belles pétales de roses flottaient. Tout en invitant – justement – l’invité à venir à mes côtés. Je saissisais la coupe contenant la douce boisson, puis tournais mon regard félin pour le planter dans ceux de mon compagnon.
- Tant de mystère planent autours des justiciers dans votre genre… vous ne dévoilez donc jamais votre véritable identité, hm ? C’est vrai que de vivre en se faisant harceler n’est pas enviable… Mais c’est tellement excitant, ces secrets autours d’une personne, qu’il est difficile de ne pas vouloir tout savoir. Je buvais une gorgé de la boisson, puis d’un sourire, dévoilait les canines blanches et pointue, sans être trop longue, qui bordait mes lèvres. J’aimerai vous aider à arrêter le maire de la ville… disons que je pense que son éléction a été trafiqué. Rien que de voir son visage sur les affiches, j’ai déjà cerné le type. Son rictus est si étrange… c’est certainement un ancien détenu. Je m’adossais confortablement contre le jacuzzi, l’air pensive. Si ce dénommé Joker était maire, c’est que le roi de la terre l’avait approuvé. Disons que nous pourrions peut-être coopérer sur ce coup-là et d’autres… Satan-City est une ville qui m’est familière. Je ne vais pas laisser cet abruti la déformé.
Après avoir bu plusieurs gorgées du liquide en trinquant avec mon invité, je me rapprochais de lui doucement. Puis je me glissais au dessus de lui, les mains contre le rebord du jacuzzi. De ce sourire de perversion d’un côté - certainement – et de désir, que j’affichais, je lui dévoilait mes charmes, penché sur lui, intimement. Ma tenue était aussi très révélatrice. Ma poitrine se frottait frénétiquement contre le torse de l’homme, aux mouvements irréguliers de l’eau. Je plongeais mon visage dans sa nuque, passant mes mains dans son dos. Mes ongles laissaient des traces légères de griffures dans celui-ci, alors que je mordillais sensuellement son épaule. Je descendais jusqu’à son torse, agravant un peu la chose d’une morsure plus douloureuse. Mais j’aimais sentir les pulsations du cœur à ces moments, et les ressentis du corps. Je relevais mon visage vers les siens… et d’un regard tendre, je le séduisait, une fois de plus, à même cette position. | |
| Sujet: Re: P.ô.i.s.0.n ( P r i v é ) Jeu 3 Mar 2011 - 10:08 Une heure, rien que moins d'une heure s'étais passé et il étais en train de titiller, mordiller et caresser des zones des plus intimes. Mais avant cela, il s'en étais passé des choses...
Elle avais paré toute ces attaques, aucune n'étais passé. Même la dernière, elle n'avait eu qu'a se transformer en chat. Evidement, elle avais exécuté les enchaînement avec une grâce féline et agréable regarder. Apres s'être transformé en chat, elle redevint humaine et s'approcha du comédien pour lui marler. Il avais fait exactement le même coup il y avais quelques secondes alors il se méfia et posa une de ces mains sur un de ces pistolets.
Arretons nous là… je pense que notre petite confrontation pour figurer n’a pas besoin de durer. Nous aurons largement le temps de montrer nos potenciels plus tard… lorsque nous serrons face à ce détraqué dont tu parlais tout à l’heure.
Elle s'éloigna alors, vers un chemin, comme si elle souhaitait vraiment en finir. C'est la qu'il compris et qu'il se détendis mais avant de partir, il la regarda de dos: c'étais une silhouette parfaitement sculpté avec des jambes musclés et fines, des fesses fermes, un buste élégamment mis en valeur et enfin des cheveux noir je jais accordé avec des oreilles de chats particulièrement mignonne. Il se repris finalement et décida de la suivre. Alors qu'il marchait a coté d'elle, il repensa a ce qu'elle venait d'avoir dit: elle voulais devenir son coéquipier? Apparemment, la chance n'avais as frappé qu'une seule fois. Il n'avait d'ailleurs pas pensé a elle alors que maintenant sa semblais évident. Il aurait alors quelque chose de plus vivant a remercier qu'un robot comme Emerl, ou en tout cas, il savait comment remercier une belle femme...Il approchèrent alors de plusieurs junkies qui semblait a première vue défoncée. Et c'étais dalleurs ce qu'ils étais. Il virent alors la femme et ne réagirent pas mais des qu'ils virent Le comédien, il prirent un air effrayé. Les nouvelles se répandais vite dans les bas fond de Satan city et ces exploits de la nuit dernière avais fait des échos. Il souria alors et leur jeta son cigare a leur pied. Il trouvais sa amusant leur tête et a quel point il avais pu tomber... Il repensa alors qu'il avais laissé archi la bas et lui demanda de les suivrent en pilote automatique du dessus en cas de pépin comme il en avais souvent avec les bandes du quartiers. Mait tout resa calme pendant le trajet, comme si sa nouvelle amie effrayait...
Ils arrivérent alors au niveau d'une grande muraille. Il la connaisait bien vu qu'il passait devant souvent mais il s'étais demandé quel porc pourri de fric vivait dedans. Comme quoi, chez les riches, il y avait de tout. Le portail en or s'ouvrit, le laissant passé lui et elle puis il passérent un grand jardin comme Blake les aimait: Peuplé de plein d'animaux tout mignon a dépecer vivant. Quand il furent en face de la porte, elle s'ouvrit sans qu'ils n'aient rien a faire. Il découvris finalement que c'étais un vieux majordomme qui leur ouvris. Il failli exploser de rire devant la tête de celui ci mais il se retint aved le plus grand mal. Sans avoir a visiter, il savait que cette villa étais enorme et elle n'étais evidement pas que sur un seul étage.Il entrérent alors dans une sorte de grande salle de bain ou il t avais tout les équipements nécéssaire pour passer une bonne soirée. Il avais alors compris comment aller se finir cette soirée: elle étais loin son idée habituelle du télé-pizza.
Faites comme chez vous, vous êtes le bienvenu dans ma demeure. Au fait, je m’apelle Yoruichi
Un nom aussi compliqué que vous vous etes belle
Dit il avec un grand sourire charmeur. Elle sonna une petite clochette, appelant ainsi le majordome et une petite bonne femme au joue aussi ronde q'un hamster faisant ces provisions. La il n'en pu plus et éclata de rire en se fichant de leurs accoutrements et de leur maniéres. Il n'en firent strictement rien et continuérent de préparer ce qui semblait etre un jacuzzi amoureux. Il se calma alors , humant l'odeur e l'encens parfumé enivrant les sens.Yoruichi vint et se colla a lui et la regarda intensément
"Je vais me changer, si vous avez besoin de quelconque maillot, je vous invite à chercher dans l’armoire à cet effet, il y a tout ce don on peut avoir besoin…"
Il la laissa partir derriére un paravent et charcha donc cette armoire. Il en sortis un boxer de bain noir et bleu. Il enleva alors sa combinaison pare balle et finalement fit couler un peu d'eau pour décoler le masque qui tenait par une colle pour visage. Le masque se détacha complètement e sans problème, révélant des yeux marron vert d'une grande profondeur. Il enfila rapidement son maillot de bain et attendis la belle. Elle vint alors dans un maillot deux pièce superbe mettant en valeurs ces formes sans pour autant les exagérer. Blake du penser a autre chose pour ne pas montrer son intérêt total pour la femme. Elle entra dans le jacuzzi et il la suivit, d'un as lent et réfléchi. Il savait que des qu'il serait dans l'eau commencerais un nouveau combat, plus rude mais bien plus doux. Il pris alors un verre de cette magnifique bouteillr et but une petite gorgée, le faisant frissoner de plaisir
Tant de mystère planent autours des justiciers dans votre genre… vous ne dévoilez donc jamais votre véritable identité, hm ? C’est vrai que de vivre en se faisant harceler n’est pas enviable… Mais c’est tellement excitant, ces secrets autours d’une personne, qu’il est difficile de ne pas vouloir tout savoir.
Elle bu et souria avec de superbes canines pointues, pas aussi longue que les vampires dans les film, juste ce qu'il falais, comme tout homme le désirait
J’aimerai vous aider à arrêter le maire de la ville… disons que je pense que son éléction a été trafiqué. Rien que de voir son visage sur les affiches, j’ai déjà cerné le type. Son rictus est si étrange… c’est certainement un ancien détenu.Si ce dénommé Joker était maire, c’est que le roi de la terre l’avait approuvé. Disons que nous pourrions peut-être coopérer sur ce coup-là et d’autres… Satan-City est une ville qui m’est familière. Je ne vais pas laisser cet abruti la déformé.
Il compris alors qu'elle voulait vraiment aider et quele souhaitais liberer satan city. Lui, étais juste jaloux qu'un mec qui s'assumait autant que lui soit au pouvoir: même objectif, différentes raisons... Il souria alors
Je pense vraiment que nous pouvons former un tandem pour arreter ce fou. Tu en as l'étoffe
Il avais volontairement tutoyé la jeune femme qui s'approcha de lui et qui se mit au dessus ce qui ne manqua évidement pas de faire réagir le comédien mais il essaya de ne pas parraitre totalement charmé. Elle se frotta alors a lui, avec le paisible mouvement de l'eau, pour finalement plonger sa tete dans sa nuque, mordillant l'épaule. Il lui caressa tout doucement le dos, le plus lentement possible. Il avais vu a quel point elle avais réagi quand il lui avais léché l'oreille et recommença, plus sensuellement cette fois i, plus délicatement. Elle descendis alors, de plus en plus bas jusqu’à atteindre le torse ou les morsures étais plus douloureuses mais au combien agréable. Elle devais surement voir qu'il avais réagis par sa tenue et son jeu de séduction. Elle le fixa d'un regard plein de sensualité et de passion. Il plongea ces yeux dans les siens. Dans cette position, il ne pouvait rien faire sans compromettre tout le jeu délicat qui s'étais instauré alors il souria, pas l'habituel mais d'un sourire franc et sensuel, totalement différent. Cette nuit, il le savait, serait longue, tres longue... | |
| Sujet: Re: P.ô.i.s.0.n ( P r i v é ) Mar 26 Avr 2011 - 21:23 (Bon j'y vais, j'ai une ville a liberer moi!^^)
La soirée... Quelle soirée... Il voyais Yoruichi dormir paisiblement, rien ne la reveierait apparemment
Un nouveau jour ce léve. Il pleut. Il est temp.
Tout prédis une mort certaine d'un gouvernement abusif tenu par un fou. Blake se rhabilla et se dirigea alors vers la sortie. Son équipemment mis, il étais fin pret a partir a l'assault de la forteresse qu'étais la mairie de Satan City. La pluie acide battais dehors et Archi étais fin pret.
Un cigare au lèvres, Blake fonca vers le centre de la ville, endroit envahis de ce qui semblait etre une parodie de comics ou des milluions de méchants étais face au seul héros de cette planète capable d'arreter cette folie. Riant aux éclats, le comédien fonca le lus vite possibme | |
| Sujet: Re: P.ô.i.s.0.n ( P r i v é ) | |
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